IFA LE GRAND ARCHITETE DE LA FRANC-MACONNERIE L’origine de la - TopicsExpress



          

IFA LE GRAND ARCHITETE DE LA FRANC-MACONNERIE L’origine de la Franc-maçonnerie est tout aussi obscure que son appartenance éthique. Une assemblée de maçons constructeurs tenue à Strasbourg en 1275, semble être la plus ancienne trace de leur existence en tant que groupuscule opératif. Mais la date conventionnelle de la naissance de la Franc-maçonnerie spéculative est celle de 24 juin 1717 avec la participation de 4 loges opératives qui se réunirent à Londres, sous la direction de Anderson et Désagutier ; deux pasteurs puritains protestants soupçonnés d’être les fondateurs de la maçonnerie anglaise (ils constituèrent la grande loge moderne de Londres). En france l’influence de la Franc-maçonnerie débuta vers 1685 avec l’arrivée d’Henriette d’Angleterre, veuve de Charles 1er en territoire français, puis par la formation des loges spéculatives en 1689, sous la houlette des Jacobites exilés alors en France. Mais c’est entre les années 1733 et 1737 que la Franc-maçonnerie commença sérieusement à influencer la couronne française, avec l’aide des officiers appartenant à l’Ordre Sublime des Chevaliers, qui encouragèrent les nobles à se faire recrutés à travers les loges appelées "Bleue Jacobite". Le but de la Franc-maçonnerie est : d’enseigner aux hommes à se placer au-dessus de tout ce qui les divise, pour les amener à pratiquer entre eux la véritable fraternité universelle. L’initiation des constructeurs devint le thème de cet enseignement. Il s’agit d’édifier le temple, c’est-à-dire la société humaine idéale, rendue parfaite grâce à la MAÎTRISE DE L’ART ROYAL ET L’ART SACERDOTAL DU GRAND ARCHITETE DE L’UNIVERS. Le dogme de la Franc-maçonnerie, serait dit-on celui de l’école d’Alexandrie (Egypte Ancienne), héritière de toutes les initiations antiques, et leur devise est : « rendre la liberté à tout homme qui est esclave ». L’ordre avait pour mission d’abolir la monarchie en territoire européen et ensuite pourquoi pas à travers le monde. Mais comment se libérer de la domination des rois ? La Franc-maçonnerie s’inspire de l’adage suivant : « ON NE SUPPRIME QUE CE QU’ON REMPLACE ». Chaque initié est appelé à devenir son propre roi et son propre prêtre. Il sera roi quand il régnera sur lui-même, et quand ce qu’il y a de plus élevé en lui se fera obéir par ce qui est inférieur. Ensuite, il s’initiera aux mystères de l’Art Sacerdotal, afin de ne pas se laisser abuser, ni du représentant de Dieu qui promet le paradis, ni du charlatan politique, prétendu détenteur de la panacée universelle mettant fin à la toutes les misères sociales. L’art royal et l’art sacerdotal doivent être enseignés, comme autrefois en Egypte et en Chaldée où des soins particuliers furent donnés à l’éducation des hommes appelés à régner spirituellement ou matériellement. Des écoles enseignèrent un art sacerdotal raffiné destiné à former des prêtres et un Art Royal préparant à devenir Roi. Pour les maçons, c’est uniquement le GRAND ARCHITETE qui met à la disposition de tous les humains, cette instruction supérieure, visant au plus haut perfectionnement intellectuel et moral des individus. La Franc-maçonnerie recherche en tout indépendance la lumière qui affranchit de tout esclavage et de l’ignorance. Cette lumière est notre soleil. Elle nous fait penser à l’affirmation du prologue de St Jean sur la lumière éclairant tout homme en venant en ce monde. Elle est enfouie au plus profond de nous dans le subconscient et ça doit être le travail de notre vie de la découvrir et de la raviver. Chaque maçon doit faire sortir la lumière originelle du dessous des cendres sous lesquelles elle est enfouie en lui pour lui permettre de donner tout son éclat. La lumière appelée Logos, Parole, Verbe est lumière intellectuelle incréée, antérieure à toutes choses, était le but, mais elle ne pouvait être le but que parce qu’elle était déjà en nous. Mais comment le maçon pourrait-il partir à la quête de ce qu’il ignorerait complètement s’il savait que c’est seulement les préoccupations quotidiennes matérielles et banales du monde de la causalité et du destin le détournait d’elle ? C’est pourquoi le Maître Hiram, l’a désigné "la parole perdue". Il est important de savoir : que le serment maçonnique se prêtait jadis sur l’Evangile selon St Jean, qui débute comme suit : « Au commencement était le Verbe et le Verbe était Dieu. Il était au commencement avec Dieu. Toutes les choses ont été faites par lui, et sans lui, rien de ce qui a été fait n’aurait été fait. En lui était la vie, et la vie était lumière des hommes. Et la lumière luit dans les ténèbres ; mais les ténèbres ne l’ont point reçue…». Ce texte divinise l’intelligence, la lumière des Hommes. Il est, le pasteur des Hommes comme dans le Timée de Platon, Dieu est au-dessus de la matière ; mais il ne la tire pas du néant. L’intelligence ordonne le monde d’après un modèle idéal qui est raison ou sa parole, le logos de Platon. Deux mille ans avant le don de la Bible, la théologie memphite (Memphis), stipule que la création du monde fut dirigée par la PAROLE sacrée du dieu Ptah. Cette théologie est proche de la doctrine du Verbe biblique : « Au début était le Verbe et le Verbe était Dieu, Ptah [pth], le dieu qui ouvre, ayant pouvoir de créer en prononçant les paroles sacrées : Celui qui créa toutes choses et fit naître les dieux… Ainsi, Ptah fit satisfait après qu’il eu créé toutes les choses ainsi que l’ordre divin ». (Genèse Bible araméenne 1-12, 1-18- 1- 21). Ptah est le dieu de la création du monde, celui qui créa le ciel et la terre par la divine parole. Ptah est le dieu de "l’ouverture de la bouche. Dans la décomposition du nom : Ptah, la lettre "Pé" qui signifie bouche en égyptien, s’écrit avec : "Pe" et "He" représentant le souffle divin. La lettre "Pe" est identique à la lettre "Fe". Dans l’ancienne Egypte il existait une ville mythique appelée Pé ou Fé, symbolisée par l’étoile à huit branches ….. Les chaldéens dans leur écriture primitive l’idéogramme de l’étoile à huit branches se lit Dieu. Cette étoile à huit rayons est la vérité une et nue, symbole de l’Espérance et de la Parole perdue que le peuple du Golfe du Bénin nomme FA ou Odu (parole sacrée). L’étoile de Fa, est donc l’emblème sacré d’ISHTAR, la déesse des chaldéens. Le dieu chaldéen de la sagesse suprême est d’EA. Dans l’histoire du déluge chaldéen, le grand architecte de l’univers est identifié à l’intelligence créatrice, c’est-à-dire au dieu d’EA. Obéissant à Ea, le maçon ne doit pas s’attacher à ce qui séduit les autres hommes ; mais il doit chercher la vie en construisant l’arche d’alliance et en y recueillant tout ce qui est digne de survivre. Si les humains veulent s’immortaliser, ils doivent faire comme l’homme d’EA en s’identifiant avec l’impérissable. Mais comment devenir l’Homme d’EA ou l’Homme de FA ? Le grand architecte nous demande de se faire ami avec le FA ou EA parce que FA, la sagesse suprême est le dieu des eaux de l’océan primordiale. Il est symbolisé par l’arcane 17 du Tarot Etoile de l’Espérance, la PHE. Le Maçon n’a plus à choisir délibérément entre deux routes, car il est prédestiné ; à son décret divin, ou sa parole perdue qui lui trace un sort auquel il ne songe pas à se soustraire, puisqu’il s’abandonne docilement au FA, l’ami des hommes qui doit le conduire à l’illumination mystique. L’étoile flamboyante, qui domine deux colonnes marquées J et B et la lettre G au milieu est l’astre de la compréhension qui éclaire seul le Maçon. L’étoile flamboyante est l’étoile du génie humain, de l’intelligence appliquée, servie par des organes de perception et d’action. Elle symbolise, l’homme en possession du maximum de ses moyens de réalisation. Cet astre qui n’est autre que l’étoile à huit branches, instruit ceux qui doivent conférer l’enseignement initiatique. Son rayonnement ne s’arrête pas à la surface des choses, car il révèle l’ésotérisme de la lettre G qui se détache sur un fond pourpre. Cette lettre signifie Géométrie et Gnose, c’est-à-dire la connaissance initiatique. Le maçon attentif doit tout simplement oser renverser le pentagramme ou l’étoile flamboyante, pour voir apparaître la lettre G inversée qui correspond à la "Phe", la 17ème lettre de l’alphabet hébraïque : l’étoile de l’espérance. Cette étoile est la vérité qui est "nue", parce qu’elle n’est recouverte d’aucun des oripeaux dont nous affublons généralement les choses du monde, par peur du vide certainement. L’étoile est la vérité une et nue sortant de la bouche de Ptah, le génie de la sagesse des peuples du golfe du Bénin. Chaque étoile du FA est une parole perdue, un soleil ou la lumière en chacun de nous. Quiconque cherche le secret de sa vie, doit aller au FA. FA est identique au dieu d’EA de la sagesse suprême et qui est le seul principe de Dieu qui puisse révéler la Vérité. Il est l’ultime message de Dieu, le plan de vie et une ligne de conduite tracée par le GRAND ARCHITECTE. L’homme pour connaître sa parole perdue doit aller au FA. Par lui, l’homme détient son décret divin afin de tirer meilleur profit de sa destinée et s’y harmoniser. Fa devient indispensable à la vie en procurant à celui qui parvient à lui, les moyens de construire sa pyramide, la forme symbolique de l’homme – dieu. Il est important de souligner que le mot pyramide a le même sens que le nom "PHARAON" qui est l’équivalent de "PER – AA", qui signifie "la grande maison". Elle est le domaine, le lieu saint de Pharaon. La Bible parle du lieu saint où réside le divin "Makon". Jacob s’étant réveillé s’écria : « Assurément l’Eternel est présent en ce lieu [Makon] et moi, je l’ignorais ». Et saisi de crainte, il ajouta : « Que ce lieu est redoutable ! Ceci n’est autre que la maison du Seigneur, et c’est ici la porte du ciel ». (Genèse XXVIII, 16). En hébreux, "Pharaon" est identique à son homologue égyptien. Seule la prononciation, "Par oo" est légèrement différente. Le mot égyptien "soleil" écrit dans sa forme hiératique, se rapproche de "Pharaon" en hébreux. PER –A A = PAR’OO La véritable signification du nom PAR’OO est liée à plusieurs pharaons. C’est le lieu sacré où réside le roi (Ha – melkh), le dieu soleil. Dans le judaïsme, Dieu unique est appelé Ha-melkh (le roi), ou Hamakon (le lieu). La lecture comparative de pharaon est : le Grand Dieu est issu de la bouche de RA et Ptah. La décomposition est la suivante : PHA / RA /ON PHA = PHE Bouche de PTAH, étoile à huit branches RA = Soleil OM = ONI = Fils de Soleil = Soleil On peut conclure que chaque signe de FA nommé aussi "Odu" est une étoile à huit branches donc un Pharaon. L’étoile emprisonnée dans la matière de chacun est "l’enseigne de Dieu", or l’enseigne à pour fonction, d’enseigner, de rediffuser la connaissance acquise et connaissance teintée, enrichie de sa propre expérience actualisée. L’étoile donne l’attribut à l’homme "connaissant" du Maçon, le rôle d’enseigner, de rendre fertile la terre de ses semblables et en même temps que la sienne propre. La lettre hébraïque "Phe", associée dans la cabale, à l’arcane de l’Etoile est l’initiale du mot "Phe" qui veut dire "la bouche", symbole d’ouverture dynamique, qui contient derrière la protection des livres et des dents qui sont les gardiens de la vérité. Image du logos – de la parole le mot "Phe", signifie donc la "Parole". Cette parole n’est pas le bavardage dont nous usons ordinairement pour combler notre vide intérieur. Mais la parole, l’image du Verbe divin ; la parole créatrice et libératrice. Par extension, elle est la "tradition" c’est-à-dire le flambeau des mystères qui est une étincelle divine qui demeure néanmoins intrinsèquement à l’intérieur de chaque humain. Mais cette dernière se trouve aveuglée dans la nuit terrestre par le fait de son incarcération dans l’enveloppe charnelle. Elle constitue le fil d’Ariane du Maçon et de l’étudiant alchimiste encore nommé amoureux de la science divine. Selon Platon, les mathématiques divines qui est la loi des nombres constitue "le fil d’Ariane". Elles ont été qualifiées de "Divines" parce qu’elles contribuent à la connaissance du concept de Dieu, l’univers et par conséquent de ce que nous sommes. Ce sont celles que Pythagore apprit en Egypte et qu’il enseigna. Pythagore était-il un contemporain du roi Salomon ou de son architecte : Hiram ? Sous la conduite de Hiram l’architecte du Temple, les Maçons savent qu’ils doivent s’armer du flambeau des mystères en identifiant en soi l’étincelle divine, qui n’est autre que la marque et le nom de l’étoile sortant de la bouche de Ptah. L’association des Maçons est très ancienne et prétend détenir des secrets remontant à Hiram, le modèle archétypal du "grand architecte". La lecture attentive de la Bible nous apporte plus de précisions sur Hiram ABIFF des Francs – Maçons : (chronique 2 : 11 – 14), (l’extrait de l’Exode 31 : 1 – 7) et (le livre 1 des rois chapitre 7 : 13 – 21) Ainsi nous avons des informations déconcertantes au sujet d’Hiram. On constate sans grandes de difficultés que les passages énoncés proviennent de la même source, bien que les uns parlent de la construction d’un temple et les autres celle d’une tente. L’un des problèmes est bien sûr que, selon la bible, les deux événements sont séparés par un laps de temps. Il est à noter également les curieuses similitudes de noms entre Huram-Abi du passage des chroniques II et Hur, le père de Bezalel, apparenté à Aholiad de la tribu de Dan. Tout aussi curieux est le nom de Bezalel, qui ressemble pas mal à celui de Jezabel, identifié comme étant une princesse phénicienne fille d’Ethbaal, roi de Tyr. Plus étrange encore est l’affirmation de l’inscription de Dan, selon laquelle lors de la destruction de la cité de Dan, la maison de David avait été détruite. Quelle était la connexion entre la tribu de Dan et la Maison du bien-aimé ? S’agissait-il comme ces indices semblent l’indiquer, d’une seule et même personne ? Dans l’exode, on constate qu’une subtile substitution s’était produite : la tribu de Juda a été reliée à la tribu de Dan et à préséance sur elle. L’architecte Hiram, envoyé vers David, dont la mère était de la tribu de Dan et le père Huram-Abi, est à présent relégué à une position subalterne auprès de Bezalel de la tribu de Juda, qui est à présent " fils de Hur". Ce qui est très important, c’est que on s’aperçoit qu’un membre de la tribu de Dan à été le bâtisseur de l’arche. On peut dès lors se demander si la tribu de Dan était la vraie "maison de l’aimé ou la lignée davidique. Et dans l’affirmative, qui seraient-ils ? Sur la piste de la source de cette tribu, on remarque beaucoup de choses intéressantes. Au chapitre 30 : 1 – 6 de la Genèse, on découvre que Dan était l’enfant de Bilha servante de Rachel. Cette histoire est remarquablement semblable à celle de Saraï et Hagare aux Chapitre : 16 : 1 – 5 et 11 de la Genèse. Un autre indice apparaît au chapitre 49 de la Genèse ; le patriarche Jacob, sur son lit de mort, a rassemblé autour de lui tous ses enfants afin qu’il puisse leur annoncer leur destinée. Lorsque vint le tour de Dan, aux versets 16 à 18, il dit : « Dan jugera son peuple, comme une autre des tribus d’Israël. Dan sera un serpent sur le chemin, une vipère sur le sentier qui mord les talons du cheval, et celui qui monte tombe à la renverse. J’ai entendu ton salut, ô Eternel ». Cela est dit pratiquement comme si l’activité de Dan était le salut ! Dans Deutéronome 33 V 22, Moise bénit la tribu de Dan en disant : « et de Dan il dit : Dan est un jeune lion, il s’élance de Basan ». Mais dans la bénédiction de Jacob, au chapitre 9 V 8 – 9 de la genèse : le lion est attribué à Juda. Pour ce qui concerne la "précision sur Hiram Abiff des Franc-maçon : la maison de David est la tribu de Dan, et que cette lignée appartient à Ismaël et Esau, et non à Jacob. On découvre aussi que cette lignée est aussi celle de l’architecte du temple de Salomon, le concepteur et constructeur de l’arche d’alliance, le bras droit du légendaire roi Salomon. Il faut noter que l’histoire de la lutte de Jacob avec l’ange se trouve au chapitre 33 de la Genèse, et le verset qui nous enseigne que Jacob a transmis quelque chose à Esaü est le 11ème. Esau serait-il le père légendaire des Arabes ? En retournant vers les versions bibliques des mêmes mythes, on constate qu’Abraham était le père d’Ismaël, qui est également le "père des arabes", selon les textes hébraïques. Hermès est supposé avoir été le père Arabus, aussi appelé "père des arabes". Cet Arabus est le père du légendaire de Cassiopée (Arcane 2, la papesse du Tarot). On en déduit aisément qu’Arabus est identique à Ismaël. Ainsi Abraham, ou Hermès des égyptiens est identique à Céphée, roi d’Ethiopie époux de Cassiopée, Agar mère d’Ismaël. Céphée ou Abraham est le monarque africain. Il est aussi, le Parabrahm, Apsou, l’abîme sans fond, l’AÏN SOPH (les seize illimités). Après la légende de l’arche de Noé ; apparaît celle d’Abram qui devint Abraham en incluant la lettre divin "He"(grand dieu). La décomposition des deux noms est la suivante : Le nom d’ABRAM se divise en AB, signifie le père, l’autorité, la dignité de celui qui est au-dessus, RAM, RAMA, fils de soleil, père d’une incarnation de l’Inde Antique : le VISHNU dans la mythologie de l’Inde (le RAMAYANA). Celui d’ABRAHAM se compose comme suit : AB, signifiant père RA = le soleil HE = grand souffle (grand dieu) AM= AMON Le père d’AMON-RA ou RA-AMON, ce qui signifie le père qui réside dans RA, le grand dieu souffle, d’AMON (Ptah). Dans le nom d’Abraham ou Ibrahim, on retrouve le mot : RAHAM identique au mot : Rahim. Le mot RAHIM est l’anagramme du nom Hiram (HARAM). Par un subtil jeu de mot, scribes passèrent le message suivant : HIRAM, le grand architecte n’est autre qu’ABRAHAM. Si on ajoute le préfixe AB ou BA qui signifie Père, au nom d’HIRAM, il devient : HIBARAM qui veut dire : création et se trouve être aussi l’anagramme de ABRAHAM. Dans Genèse 5 V 2 il est écrit : « Il [Dieu], les créa male et femelle, les bénit et les appela l’homme [ADAM], le jour de leur création (HIBARAM). On peut donc admettre qu’ADAM n’est autre qu’ABRAHAM, le grand architecte, HIRAM ABIFF des Maçons. Comme sus souligné, la tribu de Dan, qui était la tribu d’Ismaël et également celle de HIRAM, n’était qu’au commencement que la tribu de la CREATION d’ADAM. On note encore une remarque étrange à propos de la tribu de DAN dans le livre des Juges 5 : 17 « Galaad est demeuré au-delà du Jourdain ; et DAN, pourquoi a-t-il séjourné sur les navires ? Aser est resté au bord de la mer, et il est demeuré au Port ? ». Cette allusion à un peuple de marins est bien étrange. Mais le prophète AMOS paraît être convaincu que cette tribu représentait une menace sérieuse pour YAHVE. Il écrit au chapitre 8 : 14 « ceux qui jurent par le péché de Samarie (sa/marie) et qui disent : DAN, ton Dieu est vivant ! Et : la voie de Beer-shéba est vivante ! Et ils tombent et ne se relèveront jamais ». Est-ce que le péché de Samarie est relié également à la tribu de Dan qui est le veau d’or ? Pour ce que l’on sait : Jésus dans l’évangile a promis l’eau vive à la veuve Samarie (la Samaritaine). L’eau vive d’après les alchimistes appelés également les amoureux de science divine est composée de deux mots : aqua + unda, ce qui donne le résultat suivant : EWE. En hébreux la lettre W = V qui se lit VO ou VAU. Ewe (l’eau vive) est donc identique à EVE d’où le nom sacré EVOHE. Ce mot mystérieux, étant le nom des trois lettres primitives de la langue mère : le HE, l’image de la coupe des libations, signe de la maternité divine, le VAU (VO) qui uni l’ensemble, et avait pour figure dans l’Inde (pays de RAMA), le grand et mystérieux LIGAN. La lettre HE, maternelle paraissait une seconde fois pour exprimer la fécondité de la nature et de la femme. Ce mot sacré ne se prononçait pas. Il s’épelait et se disait en trois mots sacrés : HE VAU HE. Evohé est l’EAU VIVE de la VEUVE DE SAMARIE. L’addition théorique du mot sacré HEVAUHE = 5 + 6 +5 = 16. Oswald Wirth fit remarquer que "le nombre 16 semble avoir été celui des lettres de l’alphabet primitif. Selon la traduction ancienne, tout message, qui provient des hommes vers les dieux ou des dieux vers les hommes ne doit s’exprimer que par le nombre 16. Les Tunnels de Seth, frère jumeau d’Osiris (le dieu Enki), sont les seize connexions que seuls les adeptes de Thot Djehouti (Ptah/Fa) peuvent maîtriser. Le phœnix, ou l’oiseau mythologique qui, une fois brûlé, renait de ses cendres à pour nombre divin 16. Pythagore dans le "Nombre D’or", explique : «le temps de l’homme par le nombre occulte 16 ». Il souligne que 16 est le nombre de la félicité. Chez les hébreux le mystère de l’Aïn soph qui correspond au secret du livre d’Hénoch ou d’Hermès, le père Arabus est le mystère des 16 illimités qui confère à l’homme des prérogatives en apparence surhumaines. Nul n’a besoin d’ajouter au début du mot sacré à trois lettres (EVOHE), le mot IOD afin d’arriver au tétragramme des hébreux : IOVOHE (IOD – HE – VAU – HE) ou (JOD HE VAU HE). L’IOD ou JOD, symbole du cep de vigne ou du sceptre paternel de Noé n’est que la matrice de la mère où l’homme doit retourner pour renaître (lieu où ils naîtront à eux-mêmes). L’IOD est la roue du destin "ou karma" : cycle de naissance et de mort successives… C’est la roue de divination qui énonce la loi d’Hathor (EVOHE). Cette roue de divination est personnifiée par Salomon, l’enfant du ciel qui dans le ventre de la mère énonce les lois. La divination est ainsi : "la porte étroite", la "porte des dieux", la "porte du soleil". Le roi Salomon (Solomon) chez les hébreux, ODIN, chez les Scandinave correspond au signe de FA Odi Meji. Ce signe correspond à l’oracle, la science divine, science de la Grande Déesse Universelle que la Bible désigne "ASTARTE" en Grec. La déesse "ASTARTE" est "ASTAR" en cananéenne, HATHOR en Egyptien. Dans la langue cananéenne, "ASTAR" signifie astre, étoile, ce nom passe dans la langue européenne sous les formes suivante : "Astre" en français, "Aster" en grec, "Astra" en Latin, "Star" en anglais, et désignant la déesse égyptienne "ANAT". On retrouve dans la bible le nom de cette déesse épouse de Baal, dans les noms suivant : ASANAT (Genèse 41 – 45), ANAT (Juge 3 : 31), ANATOT (Josué 21 : 18), Bet – ANAT (Josué 19 : 38) qui deviendra plus tard Bet – ANI (Jean 1 : 28). Notons que la Viege Marie, "Stelle Marie" est suivant représentée auréolée d’étoiles (ASTRE). EVOHE (EVE) est donc Isthar des chaldéens, Vénus en tant que Stella Marie. L’unique tâche dans notre vie limitée est l’accomplissement de notre destinée. Pour accomplir cette mission, il faut devenir homme d’EA, celui qui exécute fidèlement son programme de vie. Nul ne s’incarne sans que son programme, dans sa grande ligne ne soit tracé, sans qu’un objectif ne soit assigné au voyageur terrestre. Une mystérieuse feuille de route désigne les étapes. Tout homme doit obligatoirement aller à l’oracle comme l’a indiqué Pythagore. Quiconque cherche le salut de sa vie doit aller interroger la "roue du destin" afin que la mère des étoiles (EVOHE) lui révèle sa parole perdue, qui n’est autre chose que la révélation primitive de son décret divin. En Afrique Occidentale, plus précisément sur la côte-ouest des Esclaves, interroger la "roue du destin" c’est s’initier au FA, le génie de la sagesse. Seul le FA appelé dieu d’EA des chaldéens et Enki des mésopotamiens permet à l’homme d’accomplir le dernier terme de l’adage de Socrate : « … et les dieux ». Il faut renaître différent pour avoir détruit l’homme terrestre. Dans la Bible il est écrit : « Nul ne peut parvenir au royaume de cieux s’il ne renait d’abord ». L’une des épithètes d’ENKI sous son nom Akkaden EA est "celui qui est le maître-d’œuvre ou le maître-maçon " Enki/EA qui correspond à la divinité Egyptienne dénommé Ptah [FA]. FA est le génie de la sagesse il est donc le grand architecte des Maçons. FA, est l’exercice de la divinité. Il est l’ouvrage d’Hermès, la science du Savant. Abraham n’a-t-il pas dit : FA (Dieu) est le savant qui n’a pas besoin d’être sollicité par une requête, prière et qui ne saurait se montrer négligeant. C’est pourquoi moi Abraham j’affirme « la science qu’il a de ma situation me dispense de lui demander quoi que ce soit ». FA ou le dieu d’EA est la Science du Savant. Les Savants ne sont-ils pas des devins à leur manière, car qui dit invention, dit divination et ce terme est lui-même synonyme de la découverte ; c’est pourquoi on parle de l’invention de la Sainte Croix : le Merkaba. En maçonnerie, la pierre cubique est le Merkaba qui donne la possibilité de se transformer en un être super-lumineux pour qui le passé, le présent et l’avenir n’existent pas comme pour l’homme ignorant. Dans la même logique essayons de montrer le lien qui existe entre le FA et les autres ordres : la Rose Croix, et l’Eckankar. L’Etoile flamboyante des franc-maçons s’apparente symboliquement à la Rose. La croix s’inscrit au centre de huit centres qui forment la Rose. Le nombre huit (8) est sacré. Il correspond à la lettre G inversée au milieu de l’étoile flamboyante. Le symbolisme de la rose croix signifie : « l’âme s’épanouit dans le creuset de sa création ». Il faut noter qu’en alchimie la croix signifie creuset et la rose représente la pierre philosophale en plein murissement. Le creuset, la croix correspond au corps physique. La rose représente l’âme. En pratique, seuls les alchimistes encore appelés les adeptes de FA ont réussi le grand œuvre. Hiram, personnification de l’Empereur est symbole de la stabilité. Mais il ne peut trouver cette stabilité dans ce monde c’est au contraire seulement dans la mesure où il parvient à sortir de ce monde qu’il peut la trouver. Il n’y a de stabilité que pour celui qui s’est dégagé de toutes l’illusions de notre monde et par là a pu parvenir à Ifè, pays de l’Amour et du Soleil. Mais la masse des Hommes veut la trouver dans ce bas monde, qui lui est contradictoire : c’est une attitude purement insensée. Chaque maçon ou chaque adepte de FA, dès ici-bas doit commencer par œuvrer pour Ifè encore appelé Jérusalem céleste. Mais nul ne peut arriver à Ifè sans le dépouillement total de la matière, la croix. Tout homme désirant de se connaître et retrouver son état tel qu’il était sorti des mains du créateur doit retourner au FA, l’unique initiation qui puisse lui révéler sa parole perdue. Les enseignements des sciences du monde sont les même pour tous. Tout homme profite du résultat de leurs recherches sans avoir eu à y participer lui-même. C’est parce que leur base repose sur des faits matériels contestables, s’opposants et s’imposant à tous : leur évidence est à l’extérieur de l’homme. L’initiation au FA va au contraire à l’encontre des faits ; est chose intérieure à l’homme. Sans le FA, le grand architecte nul autre dieu ne peut montrer le chemin. Mais le FA ne peut gravir le chemin pour nous. Le paresseux ne peut en ce domaine sacré, comme dans celui des sciences de la matière, compter sur le travail des Savants. FA donne la possibilité à chaque homme d’être Savant, l’inventeur du secret de sa vie. FA est ainsi la révélation primitive de la divinité enfouie dans le subconscient de l’homme. FA est la Parole qui lui fait sentir ce que doit être son destin supérieur d’être de pensée appelé à dépasser le domaine des apparences pour trouver derrière elle l’ESSENCE SUPREME. Cette Parole est véritablement le fil d’Ariane qui guide l’homme dans le labyrinthe où il est s’enfermé. Chaque signe de FA ou parole sacrée nous conduit à la rencontre avec l’inconnaissable, avec le mystère de la divinité et avec l’infini. FA révèle continuellement à l’homme le message éternel de la vérité. L’homme a besoin de la Parole perdue qui provient de l’infini et de l’absolu et qui, par conséquent sert de clef pour dévoiler les mystères de l’être humain et de l’univers. La parole perdue ou le signe de FA destin est un don du ciel qui permet à l’homme de passer du fini à l’infini. Seule la grâce salvatrice du signe de FA destin rend possible le voyage de l’âme de l’extérieur vers l’intérieur. En raison du rapport intime entre l’âme et le cosmos ce voyage est la fois une pénétration au centre de l’âme et une migration au-delà du cosmos en un lieu qui, en réalité ne fait qu’un avec le centre de l’âme et dans lequel réside la présence divine. Eckankar, l’ancienne science du voyage de l’âme, nous parle, de Eck-vidya c’est-à-dire l’ancienne science de la prophétie, le modus operandis pour observer le passé le présent et le futur. On peut constater que Eck-vidya prend source dans le FA, la révélation du dieu Ptah. La preuve est que 9600 av JC ; Thot (Hermès) nous adresse ce message : « O âme aveugle armes-toi du flambeau des mystères, et dans la nuit terrestre, tu découvriras ton double lumineux, ton âme céleste. Suit ce guide divin et fais-en ton génie car il détient la clé de tes existences passées et futures (Le Livre des Morts Egyptiens). Ce voyage de l’âme ne peut se faire sans la pierre cubique des maçons, le Merkaba des égyptiens encore appelé le char de la divinité. Le Merkaba est donc notre corps spirituel, constitué d’une géométrie sacrée appelée l’étoile de David. Le Merkaba est composé de deux mot : "Mer" et "Kaba". "Kaaba " signifie cube en arabe, et c’est ce bâtiment cubique qui habite la pierre noire à la Mecque. Cet édifice est supposé avoir été bâti par Ismaël et Abraham. Ainsi donc nous avons "mer", la mer ou la mère combinée avec kaaba, qui est la pierre cubique. Cette pierre ou Merkaba est l’aboutissement de la maçonnerie et le but d’Eckankar, ceci consiste à tailler sa pierre cubique ce qui n’est en réalité la construction du char de la divinité afin d’accomplir le voyage de l’âme vers Ifè. Ce voyage est le secret du Liber 777 de la Rose-Croix. D’après les enseignements d’Ekanckar, pour faire une vraie lecture du Eck-vidya, il faut posséder la parole sacrée ou le Ziquin. Ce mot est composé de "Zi" qui signifie au dessus et "Quin" signifie cinq. Le Ziquin veut ainsi dire : « au-dessus des plans psychiques, des mondes inférieurs : le physique, l’astral, le causal, le mental et l’éthérique. Il faut noter que le Ziquin est identique au mot drala des prêtres tibétains. Ce mot est formé de "la" qui signifie au-dessus, et de "Dra" qui veut dire ennemi ou conflit. Le sens de Drala est : au-dessus des conflits, au dessus des ennemis. L’ennemi dont il s’agit est le Mental Egotique. La parole sacrée, le Ziquin qui est le mot sacré permet d’être au-dessus des ennemis est ici le mot : HU (prononcé "Hyou"). Oswald Wirth dans le Tarot des imagiers du moyen âge, a symbolisé la sagesse de HU dans l’arcane 11 du Tarot : la Force. HU, est l’énergie suprême, à laquelle ne résiste aucune brutalité. Ce n’est point la vigueur physique, celle des muscles qui glorifie l’arcane XI ; il s’agit de l’exercice d’une puissance féminine, bien plus irrésistible dans sa douceur et sa subtilité que toutes les explosions de la colère et de la force brutale. Le fauve, incarnations des fourgues indisciplinées et de véhémences passionnelles est ce lion dévorant du zodiaque, dont le retour annuel marque l’époque où le soleil, devenu brûlant dessèche et tue la végétation. Ce lion n’est pas une bête malfaisante en dépit de sa férocité. Livré à lui-même, il accapare, dévore et détruit avec une rage égoïste ; il n’en est plus de même s’il est dompté. Il rend d’immenses services à qui sert le dominer. Le mot HU ou la force (arcanne XI du Tarot) ne nous demande pas de tuer l’animal, même en notre personnalité, à la manière ascètes le sage respecte toutes les énergies fussent-elles dangereuses, car il estime qu’elles existent en vue d’être captées puis judicieusement utilisées. Dans l’épopée de Gilgamèss, un chef-d’œuvre, de la très ancienne littérature chaldéenne, Gilgamèss, se garde bien d’étouffer le lion qu’il presse sur son cœur après l’avoir étourdi à l’aide d’une arme constituée par un sac de peau rempli de sable. Cet initié ne maîtrise rien de ce qui est inférieur ; il envisage comme sacré jusqu’aux instincts le moins noble, car ils sont les stimulants nécessaires de toutes actions. HU, « la maîtrise vitale exige que les forces qui tendent aux mal soient communiées en énergie salutaires. Ce est vil ne doit pas être détruit mais anoblie par transmutation, à la manière du plomb qu’il faut savoir élever à la dignité de l’or. En Ifa, l’attribut du mot HU est symbolisé par le signe WOLI MEJI ou IWOLI. Woli exprime l’idée de regarder ou de couper (WO) la tête (LI). WOLI MEJI est considéré comme remplissant des fonctions de coupeur de tête dans un monde inconnu. C’est à lui, que Mahu a confié le sabre d’OGOU. L’expression couper la tête veut dire : aller au-dessus du mental, transcender le mental. WOLI MEJI est le secret du Yoga, la science totale de l’homme. Il n’est pas une religion mais un moyen de transcender complètement tous les fragments. WOLI nous permet de faire le saut dans le mystère une fois arrivé aux confins de la raison. La raison cartésienne isole l’Homme de Dieu qu’elle ne peut atteindre. Elle ne peut l’atteindre parce qu’il est l’inconnaissable. Il échappe à la prise d’essence. Il dépasse les capacités de l’argumentation. C’est pour cela que le signe de FA - WOLI MEJI nous demande de "couper la tête", d’aller vers l’inconnu, la pensée pour se diriger, s’appuyer sur la mémoire liée à l’essence même de la vie, à la création dans son ensemble (mémoire universelle) que Ekanckar nomme « Archives Akasiques). Le signe de FA WOLI MEJI (Conjonctio en latin) représente le sud, les bêtes féroces. Sous ce signe sont venus au monde les animaux qui se repaissent la nuit dans la forêt Les bêtes féroces (le lion de l’arcane XI de Tarot). WOLI est donc la forêt de Dante, la nuit terrestre où l’initié doit rentrer quand il est prêt à se détacher de la matière, à sortir du "cadre" afin de voler de ses propres ailes. WOLI MEJI donne les moyens à l’initié prêt à quitter le monde des quatre éléments qui nous a certes structuré, mais qui, s’il n’est pas à tant dépassé risque fort de devenir notre "ultime carré long", notre tombe. Une des devises de WOLI MEJI est la suivante : « Ajanu-xla e do yu ! e na du nu. Si le xla (l’hyène) crie yu c’est qu’elle va manger». Le son yu-yu est identique au mot HU qui se prononce Hyou ou You =Yu. WOLI MEJI représente le Sugmad, comme tous les autres signes de FA qui sont les fils de Sugmad, Dieu (chaque fils de FA est un dieu, égal du père). La marque du signe WOLI MEJI sur le sol est souvent voilée par le signe de la croix X. Dans l’alphabet hébraïque, la croix en X correspond à la lettre-nombre TAV ou TAU. On retrouve ainsi le croisement d’un plan horizontal et d’un axe vertical, du matériel et du spirituel, des fonctions féminines et masculines dans l’être. Qui dit croisement, dit point de jonction et d’union. Or, c’est précisément à ce point de jonction de la matière et de l’esprit que fleurit éternellement la vie (LA ROSE), et "par delà la mort", l’étoile de l’Espérance au centre même des épreuves et des vicissitudes de l’existence - FA, AFA qu’on retrouve dans le dictionnaire hébraïque « est formé de trois lettres : AÏN – PE – HE ». AFA est l’expression de la pensée de la créatrice, c’est par elle Dieu créa le monde. Les kabbalistes l’appellent la «VOIX DE JACOB » ou la «VOIX D’ISRAËL ». Pour les Templiers le Merkaba désigne un emblème complet des traditions secrètes de l’Ordre. Il s’agit de : "du feu enfermé dans l’eau, une "pierre ardente dans l’eau". Si nous revenons au FA, le mot Merkaba désigne la calebasse fermée de chaque signe de FA nommé Odu ou gbaadou. Gbaadou, ou le vodu est le symbole du ciel et de la terre ; le feu et l’eau dans leur union féconde, détenteur suprême des connaissances de FA, qui a pour but de fixer un sentiment ésotérique de symbiose universelle. Le Merkaba ou la calebasse fermée était pour les maîtres de FA le symbole de la divinité (Mawu-Lissa). Chez les Ogboni, ancien ordre de la religion yoruba, chaque signe de FA est une parole sacrée nommée Ogbé, suivie de l’épithète d’Osiris : Oni qui signifie LE SOLEIL. D’après tout ce qui précède on peut déduire que le Vodu qui est désigné par la calebasse fermée est "le mystère du Christ", mystère de la matière crucifiée d’où la Rose-Croix et l’Etoile Flamboyante des Maçons. La calebasse fermée devient ainsi le mystère du soleil et le mystère de l’amour : c’est la résurrection. C’est la pensée la plus profonde du FA qui est la vraie magie, la victoire remportée sur la loi de la mort par une autre loi plus puissante : l’amour qui ressuscite. A tous ceux qui désir connaître le secret de leur vie et avoir ainsi la connaissance parfaite de leur Merkaba ou la calebasse fermée, l’ONG LA PHE dirigé par l’imperator ou scribe Sylvain KUASSI leur demande de prendre contact avec nous à l’adresse suivante : ONG LA PHE : 02 BP 712 Tel : (00229) 97 77 44 99 Email : albares7yahoo.fr Site : laphe.org A tous nos lecteurs, la Phe vous adresse le message suivant : Nous sommes tous porteur d’un véhicule Merkaba, ou vodu autour, et avec nous, mais l’activer fait de nous des êtres conscients et libres ! Libres d’être qui nous sommes, libres de voyager où nous voulons, libres de prendre conscience de notre unité dans la divinité et de notre grandeur dans l’univers.
Posted on: Wed, 11 Sep 2013 15:20:26 +0000

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