“Je me sens prisonnière de ma lame, comme dun jeu auquel je nai pas choisi de jouer. Je ne veux plus jouer, ce nest plus drôle du tout. Je suis prise au piège. Ma peau blanche, trop nette, mexaspère. Je me sens devenir folle, mais ce nest pas la première fois... Je suis fasciné par la beauté de mon acte. Je suis apaisé que lorsque que je sens le sang couler, le long de mon bras, dont il épouse amoureusement les courbes. Cette sensation, si pure, si douce et mon addiction. Je me suis détruite, je ne sais plus comment me reconstruire. Jai peur, je crois que je ne suis pas prête pour ce monde. Jai peur de vivre. Je pleure la vie, je pleure la mort, je pleure.
Posted on: Fri, 29 Nov 2013 10:13:41 +0000
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