Kaya le médian créatif, freiné par une angine, a quitté son - TopicsExpress



          

Kaya le médian créatif, freiné par une angine, a quitté son lit pour rejoindre les Zèbres aux Pays-Bas: «Je suis vraiment malade!» Il a posé devant lui, sur la table basse du lobby du Golden Tulip de Noordwerth, un petit empilage de boîtes de médicaments. Comme si, inconsciemment, il voulait montrer que l’angine que le toubib lui a diagnostiquée dimanche passé n’est pas du pipeau. Onür Kaya, qui va mieux, mais ne respire pas encore la grande forme, a retrouvé ses coéquipiers hier, sur le lieu de stage des Zèbres. Et il veut mettre les choses au point! « Comme j’ai été absent de l’entraînement un jour de la semaine passée pour des raisons privées (NDLR : en accord avec le club) et que, cette fois, une angine m’a cloué au lit, m’empêchant de participer au début du stage, les gens s’imaginent tout et n’importe quoi. J’ai lu sur des forums que certains supporters me soupçonnaient de vouloir forcer un transfert. Mais ça ne va pas, ou quoi? D’un côté, la sollicitude des fans, qui n’ont pas envie de me voir partir, me touche. D’un autre, je n’accepte pas qu’on pense que j’agis comme l’a fait Kagé la saison passée. Si je quitte Charleroi, c’est que cela arrangera toutes les parties. Pour le moment, il n’en est pas question». Même si, on le sait, Kaya est, à l’heure actuelle, le joueur qui serait le plus «rentable» en cas de départ aux yeux de sa direction. «Je ne suis pas un idiot, poursuit-il. Je sais que si Mehdi Bayat m’a proposé un beau contrat de 4 ans, c’est aussi pour augmenter ma valeur marchande. D’ailleurs, il n’est pas complètement impensable que j’aille au bout de ce contrat.» « Abbas Bayat m’avait sorti du terrain » Une chose est certaine, un éventuel départ au nom des besoins financiers du club, serait un petit séisme au point de vue sportif pour les Zèbres. Car Kaya est devenu le dépositaire du jeu du Sporting. «Je sors d’une grosse saison, c’est vrai. J’ai progressé. Parce que je sens que le club croit en moi et me donne la confiance dont j’ai besoin. C’est vital pour moi. Je n’ai d’ailleurs jamais été aussi fort que depuis qu’Abbas Bayat est parti car, lui, il n’avait pas beaucoup de considération pour moi. D’ailleurs j’ai toujours en travers de la gorge le soir où il a demandé en plein match, à l’entraîneur du moment (NDLR : Csaba Laszlo?) de me faire sortir.»
Posted on: Thu, 27 Jun 2013 19:09:23 +0000

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