LA DANGEREUSE RELIGION SOCIALISTE (par Maurice D.) Il y a une - TopicsExpress



          

LA DANGEREUSE RELIGION SOCIALISTE (par Maurice D.) Il y a une erreur largement répandue parmi les gens de droite, surtout ceux qui croient aux principes républicains, c’est de penser que le socialisme est une doctrine politique. Une simple idéologie comme une autre, bâtie autour de valeurs servant à justifier une action, et qui pour ce faire se croit autorisée à mentir et à fausser le débat démocratique si cela lui permet daccomplir sa mission évangélique. Dans le Coran aussi, Allah conseille aux croyants de mentir si cela peut amener les infidèles à croire, ou permet de les piéger pour les tuer sils refusent de se convertir. Nous utilisons bêtement pour définir les socialistes des termes comme parti, militant, progressiste, alors que ces mots sont totalement vides de sens en ce qui les concerne. En réalité, le socialisme est bien une religion. Comme la chrétienté ou lislam, Dieu en moins. Mais peu importe finalement le dieu invoqué pour la justifier. Une religion cest avant tout un système coercitif par son église et ses prêtres (ou imams) qui pose et impose des règles et des interdictions, sanctionnées en cas de manque (dans le cas de lislam, cela peut aller jusquà la mort). C’est aussi un dogme, étayé dun système de pratiques et de croyances. Cest peu de choses, mais cest dramatique parce quil ny a rien de tel que la foi pour pousser aux crimes les plus abjects au nom de lEtre suprême. Les jacobins, ancêtres des socialistes, lont montré en instaurant la Terreur, mais avant eux les Guerres de religions qui ont ensanglanté la France et dautres pays en Europe, et aujourdhui les attentats aveugles des musulmans contre les infidèles. Cela peut étonner un esprit logique, pétri dhumanisme, mais cest une réalité historiques et lune des raisons pour lesquelles les socialistes ne veulent pas que lon enseigne lhistoire à nos enfants, pour ne pas éveiller leur esprit critique et leur faire prendre conscience de la réalité. Le Grand Inquisiteur, le père Vincent Peillon-de-Torquemada, y veille. En considérant le socialisme pour ce quil est, un acte religieux, on arrive presque à le comprendre. Chaque Français sait que derrière le projet socialiste il n’y a rien. Pourtant certains espèrent et croient quil a un objectif bon pour le peuple. Les socialistes approuvent, mais habiles au jeu des mots parlent de cap. Jai un cap dit le Président. Il a un cap confirme le Premier ministre. Nous suivons le cap défini par le Président, concluent les ministres dans leurs incantations. Ils sen tiennent à ce mot, cap, qui ne veut rien dire sil nest pas complété par vers : un cap, mais vers quoi ou vers où ? Là, pas de réponse, car reconnaître que ce cap est une société égalitariste dans la misère et le flicage les plus durs pour tous, sauf pour eux les élus, leur est impossible. Ils ne veulent même pas limaginer de peur de perdre la foi, excepté ceux qui sont déjà aussi cyniques que les ministres socialistes dOrwell, je pense à Fabius, Valls et Taubira, trois pions de loligarchie mondialiste, les autres ne comptent pas. Aucun raisonnement, aucun argument, aucune preuve, aucun chiffre, aucun fait réel, vérifiable et tangible n’a jamais convaincu aucun socialiste que leur projet politique était voué à l’échec car irréaliste ou simplement contre-productif pour les habitants de ce pays. Autant demander à un scientifique de convaincre un chrétien ou un musulman que Dieu n’existe pas. C’est impossible. La foi, c’est inexplicable, inexprimable et impénétrable pour celui qui ne l’a pas. Et tout comme l’athée qui ne comprend pas le sens et l’intérêt d’une puissance divine, le (la) citoyen(ne) de droite laïc ne comprend rien à cette religion socialiste qui lui semble inutile, désuète ou même dangereuse. Mais le croyant socialise s’en fiche pas mal et il continue à croire. Prenons un exemple concret : les derniers propos du président de la République. Il déclare : Nous sortirons de la crise grâce au cap que je maintiendrai fermement. Le pense-t-il ? Assurément. Pas le moindre doute chez lui. Notez que le choix et le vote du peuple n’entrent pas le moins du monde en ligne de compte dans sa pensée, pas plus que ce qui est inscrit dans la Constitution. Tous les arguments que vous pourriez à cet instant imaginer pour le convaincre quil est dans lerreur n’auraient, n’ont et n’auront aucune sorte d’influence sur lui. Encore plus fort, tel un prophète psalmodiant dans le désert armé de sa seule foi, le président ajoute : La preuve en est que la courbe du chômage va sinverser avant la fin de lannée. Il aurait dit : Je vais transformer leau en vin aux robinets des cités ou Je guérirai les écrouelles de tous ceux qui me baiseront les pieds, il aurait été plus crédible ! Absolument aucune trace de rationalisme ou de réalisme dans son affirmation et pas l’ombre d’une preuve dans ses propos. Cen est émouvant, il se voit déjà statufié au Panthéon, sa foi de charbonnier dans le socialisme est indécrottable. Pourquoi, lui qui aime tant se promener dans lavion de Sarko pour aller faire du tourisme dans les pays étrangers ne va-t-il pas questionner les Chinois, les Vietnamiens, les Cubains, les Russes, les dirigeants des pays de lEurope de lEst et ceux dAsie centrale et leur demander : Pourquoi avez-vous abandonné léconomie socialiste pour revenir à léconomie libérale ?. Il ne le fera pas parce quil est convaincu que sils ont échoué cest que leur foi vacillait, nétait pas à la hauteur de la mission qui est la sienne : montrer au monde que le socialisme est la religion de lavenir, et la France la fille aînée de son église. La fin de lannée ? On y est, ne restent que quelques jours et les fermetures dentreprises continuent à senchaîner. Il trouvera un bouc émissaire pour expliquer et justifier son échec : les sales patrons qui nont pas été assez taxés, ou lextrême droite nauséabonde qui a noyauté lINSEE et Pôle emploi pour saboter son ordre dinverser la courbe du chômage. Il fera peut-être même virer un directeur ou deux comme il vient de le faire au ministère des Finances, pour que les multiples ministres qui y sévissent comprennent que la prochaine fois il pourrait viser plus haut sils ne trouvent pas une issue à la révolte fiscale. Il trouvera une explication, il a la foi. François Hollande, et la majorité qui le soutient à lAssemblée n’ont rien vu, rien prouvé, rien expliqué de la Terre Promise quils annoncent dans leurs prêches, mais ils y croient quand même. Et stupidement, on pense qu’ils ont tort de le croire et surtout de continuer à enchaîner les erreurs. Alors qu’ils sont eux toujours très heureux d’y croire. Car ils ont la foi. Et c’est juste ça le discours socialiste : une profession de foi. À l’aune de cette hypothèse, on comprend parfaitement l’impossible dialogue entre la droite et le socialisme. Des mécréants contre des fidèles, que peuvent-ils partager spirituellement ou intellectuellement ? Rien. C’est l’incompréhension mutuelle. Mais concrètement, pour nous autres pauvres rationalistes dans le monde impie des infidèles, qu’est ce que ça nous apporte ? Et bien des pistes pour connaitre l’avenir pardi ! Car si le socialisme est une religion, il a forcément les mêmes buts, les mêmes effets et les mêmes travers. Par exemple, il existe dans le monde socialiste une volonté intacte consistant à vouloir d’un côté conquérir les cœurs et les esprits (ce que fait tout parti politique) mais de l’autre à vouloir nier la réalité (ce que font toutes les religions), Il existe même une volonté de la combattre si elle n’entre pas dans le carcan du dogme. Et si le peuple, presque unanime, dit : Vous vous trompez et vous nous ruinez avec votre stupide obstination à vouloir régler tous les problèmes par limpôt, les socialistes répondent : Faisons une pause le temps de changer de peuple, faisons venir dailleurs des gens qui seront plus disposés à nous croire et à se convertir à notre religion. Et comme le peuple proteste, La France est dévoyée par le racisme, ajoutent-ils, il faut changer la France. Ces pauvres desprit ne voient toujours pas la réalité : la seule chose qui dévoie la France cest 11 % de chômage, bientôt peut-être 12 % au train où vont les licenciements ; cest 2 trillions de dettes, soit 2 000 milliards deuros (2x1012) ; cest 84 nouveaux impôts en deux ans ; cest leur incapacité à faire une vraie réforme… Concrètement, que pouvons nous faire ? Attendre que le socialisme séteigne de lui-même comme cela sest passé dans la majorité des pays du monde et comme le font un jour ou lautre toutes les religions ? Ça risque dêtre long et la France que nous aimons sera morte avant. Nous révolter pour accélérer, voire bousculer le processus ? Ce sera bientôt indispensable, mais dangereux et difficile. LHumanité écrivait le 12 novembre dernier : La rue nous appartient. Nous ? Le peuple. Au vu des scores électoraux communistes et du Front de gauche, on peut rire de ce soi-disant peuple de gauche, mais ne nous faisons pas dillusions, ce sera une guerre de religions, il y aura des Saint Barthélémy. Maurice D.
Posted on: Thu, 21 Nov 2013 19:32:19 +0000

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