La vraie Debbie que je suis La vie nous parait parfois belle, - TopicsExpress



          

La vraie Debbie que je suis La vie nous parait parfois belle, mais quel est son vrai visage ? Et l’être humain cet être auquel DIEU a donné tout ce qu’il pourrait offrir de beau et de bon aujourd’hui chacun essaie de ce forger une personnalité d’être quelqu’un d’unique d’autre n’y arrive pas et se contente d’imiter je ne suis ni une scientifique ni un philosophe ni une femme du monde.je ne suis juste qu’une jeune femme qui tout au long de sa vie s’est posée de multiples questions sur qui elle était. Je suis Debbie Anna Petkins et ceci est mon histoire si vous lisez ce document aujourd’hui c’est que je ne suis plus de ce monde et que ce livre comme j’ai voulu est un héritage de mes enfants j’espère juste qu’à travers ma vie et les multiples épreuves que j’ai eu à subir, ils connaitront plus vite que moi qui ils sont. Ma mère m’a dit un jour : regard au fond de toi Anna et dis moi qui es tu ? Aujourd’hui je suis en mesure de lui répondre et ceci est mon journal. Nous sommes en 1990 les premières meilleures et pire années primaires de ma vie et c’est ici que ma vie va prendre un autre chemin. Mercredi 27 juin 1990 Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire, joyeux anniversaire Anna joyeux anniversaire ouah. Aujourd’hui toute la famille est réunie maman, papa, mes deux grands frères Yves et Austin, tante olive et tante Simone, oncle Paul, oncle Armand, oncle Antoine, grand-mère Mie, bref pas toute la famille mais ceux qui sont beaucoup plus proche de papa et maman il est 16h lorsque je m’apprête à souffler sur mes bougies et à faire un vœu et à cet instant je réalise à quel point la famille c’est important. - Allez Deb. fait un vœu. Lui c’est max, mon meilleur ami toujours en train de faire des bêtises - Laisse-la !! max t’es trop con. Et elle c’est Ali ma meilleure amie à 3 on formait un trio de choc - Ok j’y vais. - Il était temps ‼ ! - Tais toi max. dit toute la famille en chœur d’un coup de souffle j’éteins toutes les bougies et c’était fait j’avis désormais 15ans. Ma mère et mon père n’était pas de gens très riches juste de valeureux battants mon père était un ouvrier et ma mère une femme au foyer. Des jours il lui arrivait de vendre des légumes de son jardin pour avoir des sous ma vie d’enfance n’a pas été des plus fantastiques ou magiques mais elle a pu me marquée indéfiniment. On acheva donc la dégustation du gâteau et après moi et mes meilleures amis quittèrent la pièce pour aller se réfugier dehors. C’était les vacances et à cet époque de l’année il y avait beaucoup de visiteurs dans le quartier et la maison qui accueillait le plus de vacancier était celle des Johnson. A eux seul ils occupaient une très grande villa or ils n’avaient pas d’enfant du au faite que madame Johnson était stérile. Donc pendant les vacances on se retrouvait souvent à jouer avec des enfants de tout âge pour une certaine période puis partaient et d’autres arrivaient et c’était ainsi tout l’été. Mais aujourd’hui c’était particulier Galitch un beau métisse américain allait arriver aujourd’hui. Mélodie, une des nièces de madame Johnson qui vivait dans les parages n’arrêtait pas de vanter son cousin dans tout le quartier comme ci il était une grande célébrité et tout le monde n’avait qu’envie de voir ce fameux Galitch même les plus petits. Lorsque leur coccinelle se gara devant l’entrée du gigantesque manoir des Johnson une ruée d’enfants se dirigea vers la voiture histoire de voir ce Galitch. Quand il descendit de la voiture je ne pu m’empêcher de laisser échapper un ≪ Waouh qu’il est canon≫ en effet Galitch n’était pas exactement comme l’avait décrit Mélodie il était tout simplement super mais encore c’était le plus beau mec noir ou métisse du quartier que je n’avais jamais vu bien évidemment je n’étais pas la seule à l’avoir remarqué Mathilde l’avait aussi remarqué. Comme toute les filles de la quinzaine je rêvais de sortir avec le mec le beau du quartier et d’être également la fille la plus belle du quartier le seul problème c’était Mathilde cette Mathilde elle piquait tous les beaux garçons du quartier était considérée comme l’une des filles les plus belles du quartier elle avait gagnées 3 fois QUI SERA LA PLUS BELLE cette Mathilde. Je la détestais mais au fond de moi je savais bien que c’était juste de la jalousie mais bon comment aurais je pu rivaliser avec elle, ces parents étaient très riches les miens non elle s’habillait uniquement chez de grands couturiers moi non je portais des vêtements bon marché… bref Mathilde était mon opposé en tout et ma jalousie pour elle c’est petit à petit transformée en haine. Après avoir vu le visage du garçon tant vanter au quartier les enfants commencèrent à se disperser Galitch lança un coup d’œil autour de lui et comme s’était prévisible il s’attarda lorsqu’il vit Mathilde elle lui décrocha un sourire qu’elle le lui rendit. -Waouh il est beau Galitch dommage les mecs comme ca ne s’intéresseront jamais à nous. Disait Ali. Je n’étais pas avec elle je regardais Mathilde et cette facilité qu’elle avait de prendre n’importe quel homme et je me disais pourquoi pas les autres pourquoi c’était toujours elle qui héritait des plus beaux. - eh Deb t’es avec moi !‼ - ouèh ouèh ‼ - je n’ai pas vraiment eu l’impression tu vois. - Non non Ali je t’écoutais t’inquiètes et tu vois tu as raison sauf que les filles comme nous ca se bat jamais pour obtenir quelque chose - Tu veux me dire quoi la Deb - Bah je dis juste que l’on devrait apprendre un peu plus souvent à se battre pour obtenir ce que l’on veut - Va droit au but madame - Euh je ne sais pas et si Galitch s’intéressait à moi ‼ ! - Ah ma parole toi tu hallucines déjà j’ai l’impression. - Non pourquoi tu dis ca ce n’est pas impossible tu sais ! - Ouais pour les filles comme Mathilde on n’est pas dans cendrillon Deb ici c’est la réalité. - Je ne refuse pas Ali mais…. - Chut tais toi écoute très bien chère rêveuse les hommes c’est méchant et les riches encore plus il viendra peut être a toi comme tu rêves tant mais il t’utilisera juste et te laissera tombé rares sont ceux qui viennent avec de bonnes intentions et ma chérie si tu pense que le mieux pour toi c’est de courir après ces riches sache que tu vas beaucoup souffrir crois moi Deb laisse ces gens riches entre eux et arrêtent de penser que toi aussi tu peux sortir avec l’un des leurs plus vite tu comprendras mieux se sera. Et puis il se fait déjà tard nos parents nous cherche peut être déjà surement. Ali, Ali ma meilleure amie était souvent un peu parano ces parents lui avaient donné une éducation de ouf elle avait 15ans mais s’exprimait comme quelqu’un de 20ans elle avait tellement appris de la vie qu’elle savait désormais ou était sa place dans la société parfois je l’apprenais comme un model mais je me rendais compte quel baissait trop vite les bras face certains problèmes sois disant parce qu’elle connaissait sa place dans la société. Moi je rêvais du changement je rêvais de devenir quelqu’un de meilleure de me sortir moi et ma famille de la galère car il le méritait je rêvais d’être aussi dans la cour des grands et je réfutais l’idée de penser que certaines choses appartenaient au riches et d’autres aux pauvres ou aux moyens je refusais l’idée selon laquelle cette place que j’occupais aujourd’hui était ma place dans la société. Donc quand je voyais Ali baisser les bras de cette façon sois disant parce qu’elle connaissait sa place dans la société ca m’exaspérait. Et oui j’avais pris la décision de me battre désormais pour obtenir ce que je voulais dans la vie même si aux yeux des autres c’était impossible. Ces hommes rares qui viennent chez des filles comme nous avec de vrais sentiments pourquoi Galitch n’en serait-il pas un ? Et pourquoi moi je ne devrais pas espérer à en trouver un ? Sous prétexte que je ne suis pas assez riche je devrai baisser les bras et me dire bah ≪c’est pour les fameux≫. Tout ces préjugés sur les quels on se laissait juger moi je n’adhérais pas. J’avais donc décidé de tenter d’obtenir Galitch quoi que ca allait m’en couter. Mercredi 4 juillet 1990 Savais déjà 1 semaine que Galitch c’était installé au quartier et il avait déjà commencé à trainer avec Alex et sa bande des mecs que je détestais surtout Alex l’ex de Mathilde un mec prétentieux orgueilleux et qui se croyais être le plus futé du monde parce qu’il était intelligent et fréquentait dans une grande école. Le fait que Galitch puisse marcher avec ces gens ne me décourageait en aucun cas même comme je savais que s’il traine avec Alex il serait plus proche de Mathilde, mais bon je torturais à croire que Galitch avait quelque chose de différent et que lui il serait mon prince riche. Donc ma mère m’avait envoyé chez les Johnson leur vendre quelques uns de ses légumes. Madame Johnson en raffolait. Ma mère en vendait les meilleures car elle adorait son jardin donc madame Johnson préférait venir en acheter à ma mère que d’aller en acheter dans de grand super marché à des prix exorbitants. J’avais demandé a Ali de m’y accompagné, elle adorait entrer à chaque fois dans le manoir Johnson et chaque fois que ma mère m’y envoyais elle ne pouvait refuser de m’y accompagner je trouvais ca paradoxale qu’elle refuse d’avoir plus grand que le bout de son nez mais qu’elle aime bien regarder plus grand moi par contre si j’avais bien accepté d’aller dans ce manoir aujourd’hui c’était juste pour voir Galitch de plus près et qui sait avoir une discussion avec lui. Ali et moi on s’approchait donc de la villa moi avec l’espoir de croiser Galitch et Ali elle avec celui de pouvoir marcher dans les couloirs du manoir. - Bonjour que puis je faire pour vous jeunes filles ? demanda le gardien de la demeure. - Bonjour monsieur Jacque je suis venu déposer les légumes qu’à commander madame Johnson à ma mère. - Entrer donc mademoiselle Petkins vous et votre amie - Merci monsieur Jacque. - Merci monsieur On se dirigea donc vers le salon d’accueil en attendant l’avenue de madame Johnson. Ali admirait la pièce comme ci elle n’y était jamais entré moi je voulais tant croiser Galitch. Madame Johnson arriva donc toujours bien habiller avec de la haute couture comme d’habitude cette femme je l’enviais tellement. - Bonjour Anna ca va ? - Oui Madame Johnson - Et toi Ali ca va ? - Oui oui madame Johnson - Je vois que ta maman m’a déjà envoyé le paquet de légume que j’ai commandé avant-hier. - Oui ils avaient déjà fleuri et comme vous aimez les secs elle a pris soin de cueillir les plus secs pour vous. - C’est bien gentil à elle. Ludivine veillez prendre ce paquet et le mettre à la cuisine vous demanderez au chef de m’en faire une soupe il connait la recette. - Oui madame. - Alors Anna nous nous apprêtions à aller prendre du petit déjeuner ca vous dirait de nous y rejoindre ? - Euh merci madame Johnson mais……………. Dit Ali lorsque je lui pinçai la cuisse et je la regardai d’un regard la suppliant de changer d’avis - Elle veut dire volontiers madame Johnson volontiers on prendrait bien une tasse de thé avec vous - Ok suivez-moi alors. - La vraie Debbie que je suis La vie nous parait parfois belle, mais quel est son vrai visage ? Et l’être humain cet être auquel DIEU a donné tout ce qu’il pourrait offrir de beau et de bon aujourd’hui chacun essaie de ce forger une personnalité d’être quelqu’un d’unique d’autre n’y arrive pas et se contente d’imiter je ne suis ni une scientifique ni un philosophe ni une femme du monde.je ne suis juste qu’une jeune femme qui tout au long de sa vie s’est posée de multiples questions sur qui elle était. Je suis Debbie Anna Petkins et ceci est mon histoire si vous lisez ce document aujourd’hui c’est que je ne suis plus de ce monde et que ce livre comme j’ai voulu est un héritage de mes enfants j’espère juste qu’à travers ma vie et les multiples épreuves que j’ai eu à subir, ils connaitront plus vite que moi qui ils sont. Ma mère m’a dit un jour : regard au fond de toi Anna et dis moi qui es tu ? Aujourd’hui je suis en mesure de lui répondre et ceci est mon journal. Nous sommes en 1990 les premières meilleures et pire années primaires de ma vie et c’est ici que ma vie va prendre un autre chemin. Mercredi 27 juin 1990 Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire, joyeux anniversaire Anna joyeux anniversaire ouah. Aujourd’hui toute la famille est réunie maman, papa, mes deux grands frères Yves et Austin, tante olive et tante Simone, oncle Paul, oncle Armand, oncle Antoine, grand-mère Mie, bref pas toute la famille mais ceux qui sont beaucoup plus proche de papa et maman il est 16h lorsque je m’apprête à souffler sur mes bougies et à faire un vœu et à cet instant je réalise à quel point la famille c’est important. - Allez Deb. fait un vœu. Lui c’est max, mon meilleur ami toujours en train de faire des bêtises - Laisse-la !! max t’es trop con. Et elle c’est Ali ma meilleure amie à 3 on formait un trio de choc - Ok j’y vais. - Il était temps ‼ ! - Tais toi max. dit toute la famille en chœur d’un coup de souffle j’éteins toutes les bougies et c’était fait j’avis désormais 15ans. Ma mère et mon père n’était pas de gens très riches juste de valeureux battants mon père était un ouvrier et ma mère une femme au foyer. Des jours il lui arrivait de vendre des légumes de son jardin pour avoir des sous ma vie d’enfance n’a pas été des plus fantastiques ou magiques mais elle a pu me marquée indéfiniment. On acheva donc la dégustation du gâteau et après moi et mes meilleures amis quittèrent la pièce pour aller se réfugier dehors. C’était les vacances et à cet époque de l’année il y avait beaucoup de visiteurs dans le quartier et la maison qui accueillait le plus de vacancier était celle des Johnson. A eux seul ils occupaient une très grande villa or ils n’avaient pas d’enfant du au faite que madame Johnson était stérile. Donc pendant les vacances on se retrouvait souvent à jouer avec des enfants de tout âge pour une certaine période puis partaient et d’autres arrivaient et c’était ainsi tout l’été. Mais aujourd’hui c’était particulier Galitch un beau métisse américain allait arriver aujourd’hui. Mélodie, une des nièces de madame Johnson qui vivait dans les parages n’arrêtait pas de vanter son cousin dans tout le quartier comme ci il était une grande célébrité et tout le monde n’avait qu’envie de voir ce fameux Galitch même les plus petits. Lorsque leur coccinelle se gara devant l’entrée du gigantesque manoir des Johnson une ruée d’enfants se dirigea vers la voiture histoire de voir ce Galitch. Quand il descendit de la voiture je ne pu m’empêcher de laisser échapper un ≪ Waouh qu’il est canon≫ en effet Galitch n’était pas exactement comme l’avait décrit Mélodie il était tout simplement super mais encore c’était le plus beau mec noir ou métisse du quartier que je n’avais jamais vu bien évidemment je n’étais pas la seule à l’avoir remarqué Mathilde l’avait aussi remarqué. Comme toute les filles de la quinzaine je rêvais de sortir avec le mec le beau du quartier et d’être également la fille la plus belle du quartier le seul problème c’était Mathilde cette Mathilde elle piquait tous les beaux garçons du quartier était considérée comme l’une des filles les plus belles du quartier elle avait gagnées 3 fois QUI SERA LA PLUS BELLE cette Mathilde. Je la détestais mais au fond de moi je savais bien que c’était juste de la jalousie mais bon comment aurais je pu rivaliser avec elle, ces parents étaient très riches les miens non elle s’habillait uniquement chez de grands couturiers moi non je portais des vêtements bon marché… bref Mathilde était mon opposé en tout et ma jalousie pour elle c’est petit à petit transformée en haine. Après avoir vu le visage du garçon tant vanter au quartier les enfants commencèrent à se disperser Galitch lança un coup d’œil autour de lui et comme s’était prévisible il s’attarda lorsqu’il vit Mathilde elle lui décrocha un sourire qu’elle le lui rendit. -Waouh il est beau Galitch dommage les mecs comme ca ne s’intéresseront jamais à nous. Disait Ali. Je n’étais pas avec elle je regardais Mathilde et cette facilité qu’elle avait de prendre n’importe quel homme et je me disais pourquoi pas les autres pourquoi c’était toujours elle qui héritait des plus beaux. - eh Deb t’es avec moi !‼ - ouèh ouèh ‼ - je n’ai pas vraiment eu l’impression tu vois. - Non non Ali je t’écoutais t’inquiètes et tu vois tu as raison sauf que les filles comme nous ca se bat jamais pour obtenir quelque chose - Tu veux me dire quoi la Deb - Bah je dis juste que l’on devrait apprendre un peu plus souvent à se battre pour obtenir ce que l’on veut - Va droit au but madame - Euh je ne sais pas et si Galitch s’intéressait à moi ‼ ! - Ah ma parole toi tu hallucines déjà j’ai l’impression. - Non pourquoi tu dis ca ce n’est pas impossible tu sais ! - Ouais pour les filles comme Mathilde on n’est pas dans cendrillon Deb ici c’est la réalité. - Je ne refuse pas Ali mais…. - Chut tais toi écoute très bien chère rêveuse les hommes c’est méchant et les riches encore plus il viendra peut être a toi comme tu rêves tant mais il t’utilisera juste et te laissera tombé rares sont ceux qui viennent avec de bonnes intentions et ma chérie si tu pense que le mieux pour toi c’est de courir après ces riches sache que tu vas beaucoup souffrir crois moi Deb laisse ces gens riches entre eux et arrêtent de penser que toi aussi tu peux sortir avec l’un des leurs plus vite tu comprendras mieux se sera. Et puis il se fait déjà tard nos parents nous cherche peut être déjà surement. Ali, Ali ma meilleure amie était souvent un peu parano ces parents lui avaient donné une éducation de ouf elle avait 15ans mais s’exprimait comme quelqu’un de 20ans elle avait tellement appris de la vie qu’elle savait désormais ou était sa place dans la société parfois je l’apprenais comme un model mais je me rendais compte quel baissait trop vite les bras face certains problèmes sois disant parce qu’elle connaissait sa place dans la société. Moi je rêvais du changement je rêvais de devenir quelqu’un de meilleure de me sortir moi et ma famille de la galère car il le méritait je rêvais d’être aussi dans la cour des grands et je réfutais l’idée de penser que certaines choses appartenaient au riches et d’autres aux pauvres ou aux moyens je refusais l’idée selon laquelle cette place que j’occupais aujourd’hui était ma place dans la société. Donc quand je voyais Ali baisser les bras de cette façon sois disant parce qu’elle connaissait sa place dans la société ca m’exaspérait. Et oui j’avais pris la décision de me battre désormais pour obtenir ce que je voulais dans la vie même si aux yeux des autres c’était impossible. Ces hommes rares qui viennent chez des filles comme nous avec de vrais sentiments pourquoi Galitch n’en serait-il pas un ? Et pourquoi moi je ne devrais pas espérer à en trouver un ? Sous prétexte que je ne suis pas assez riche je devrai baisser les bras et me dire bah ≪c’est pour les fameux≫. Tout ces préjugés sur les quels on se laissait juger moi je n’adhérais pas. J’avais donc décidé de tenter d’obtenir Galitch quoi que ca allait m’en couter. Mercredi 4 juillet 1990 Savais déjà 1 semaine que Galitch c’était installé au quartier et il avait déjà commencé à trainer avec Alex et sa bande des mecs que je détestais surtout Alex l’ex de Mathilde un mec prétentieux orgueilleux et qui se croyais être le plus futé du monde parce qu’il était intelligent et fréquentait dans une grande école. Le fait que Galitch puisse marcher avec ces gens ne me décourageait en aucun cas même comme je savais que s’il traine avec Alex il serait plus proche de Mathilde, mais bon je torturais à croire que Galitch avait quelque chose de différent et que lui il serait mon prince riche. Donc ma mère m’avait envoyé chez les Johnson leur vendre quelques uns de ses légumes. Madame Johnson en raffolait. Ma mère en vendait les meilleures car elle adorait son jardin donc madame Johnson préférait venir en acheter à ma mère que d’aller en acheter dans de grand super marché à des prix exorbitants. J’avais demandé a Ali de m’y accompagné, elle adorait entrer à chaque fois dans le manoir Johnson et chaque fois que ma mère m’y envoyais elle ne pouvait refuser de m’y accompagner je trouvais ca paradoxale qu’elle refuse d’avoir plus grand que le bout de son nez mais qu’elle aime bien regarder plus grand moi par contre si j’avais bien accepté d’aller dans ce manoir aujourd’hui c’était juste pour voir Galitch de plus près et qui sait avoir une discussion avec lui. Ali et moi on s’approchait donc de la villa moi avec l’espoir de croiser Galitch et Ali elle avec celui de pouvoir marcher dans les couloirs du manoir. - Bonjour que puis je faire pour vous jeunes filles ? demanda le gardien de la demeure. - Bonjour monsieur Jacque je suis venu déposer les légumes qu’à commander madame Johnson à ma mère. - Entrer donc mademoiselle Petkins vous et votre amie - Merci monsieur Jacque. - Merci monsieur On se dirigea donc vers le salon d’accueil en attendant l’avenue de madame Johnson. Ali admirait la pièce comme ci elle n’y était jamais entré moi je voulais tant croiser Galitch. Madame Johnson arriva donc toujours bien habiller avec de la haute couture comme d’habitude cette femme je l’enviais tellement. - Bonjour Anna ca va ? - Oui Madame Johnson - Et toi Ali ca va ? - Oui oui madame Johnson - Je vois que ta maman m’a déjà envoyé le paquet de légume que j’ai commandé avant-hier. - Oui ils avaient déjà fleuri et comme vous aimez les secs elle a pris soin de cueillir les plus secs pour vous. - C’est bien gentil à elle. Ludivine veillez prendre ce paquet et le mettre à la cuisine vous demanderez au chef de m’en faire une soupe il connait la recette. - Oui madame. - Alors Anna nous nous apprêtions à aller prendre du petit déjeuner ca vous dirait de nous y rejoindre ? - Euh merci madame Johnson mais……………. Dit Ali lorsque je lui pinçai la cuisse et je la regardai d’un regard la suppliant de changer d’avis - Elle veut dire volontiers madame Johnson volontiers on prendrait bien une tasse de thé avec vous - Ok suivez-moi alors. -
Posted on: Tue, 30 Jul 2013 17:14:10 +0000

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