Lallégorie de la caverne[modifier | modifier le - TopicsExpress



          

Lallégorie de la caverne[modifier | modifier le code] Caverne.svg Dans une demeure souterraine, en forme de caverne, des hommes sont enchaînés. Ils nont jamais vu directement la lumière du jour, dont ils ne connaissent que le faible rayonnement qui parvient à pénétrer jusquà eux. Des choses et deux-mêmes, ils ne connaissent que les ombres projetées sur les murs de leur caverne par un feu allumé derrière eux. Des sons, ils ne connaissent que les échos. « Cest à nous quils sont pareils1! » Que lun dentre eux soit libéré de ses chaînes et accompagné de force vers la sortie, il sera dabord cruellement ébloui par une lumière quil na pas lhabitude de supporter. Il souffrira de tous les changements. Il résistera et ne parviendra pas à percevoir ce que lon veut lui montrer. Alors, Ne voudra-t-il pas revenir à sa situation antérieure ? Sil persiste, il saccoutumera. Il pourra voir le monde dans sa réalité. Prenant conscience de sa condition antérieure, ce nest quen se faisant violence quil retournera auprès de ses semblables. Mais ceux-ci, incapables dimaginer ce qui lui est arrivé, le recevront très mal et refuseront de le croire : « ne le tueront-ils pas ? » Un premier décryptage[modifier | modifier le code] La caverne symbolise le monde sensible où les hommes vivent et pensent accéder à la vérité par leurs sens. Mais cette vie ne serait quillusion. Le philosophe vient en témoigner par une interrogation permanente, à laquelle Platon se livre tout au long de lœuvre, ce qui lui permet daccéder à lacquisition des connaissances associées au monde des idées comme le prisonnier de la caverne accède à la réalité qui nous est habituelle. Mais lorsquil sévertue à partager son expérience avec ses contemporains, il se heurte à leur incompréhension conjuguée à lhostilité des personnes bousculées dans le confort (illusoire) de leurs habitudes. Contexte et rôle de cette allégorie dans La République[modifier | modifier le code] Lallégorie de la caverne expose sa théorie de lacquisition des connaissances. Platon montre que la connaissance des choses nécessite un travail, des efforts pour apprendre et comprendre. Il en vient à démontrer que les dirigeants de la cité doivent être formés pour ne venir au pouvoir que par nécessité non par lattrait que peut représenter lexercice de lautorité : « Il ne faut pas que les amoureux du pouvoir lui fassent la cour, autrement il y aura des luttes entre prétendants rivaux2. » La création dune cité juste est la fin ultime de Platon dans la République, laquelle est elle-même la condition de la justice dans les individus. Or, cela nest possible que si les philosophes prennent le contrôle de lÉtat ou, selon la formule de Platon, uniquement si les rois se font philosophes ou les philosophes se font rois. Cette idée tient à ce que, selon Platon, seuls les philosophes disposent des compétences nécessaires pour diriger la Cité par leur connaissance des Idées, et plus particulièrement de lIdée de Bien. Lallégorie de la caverne est introduite par Socrate afin de faire comprendre à ses interlocuteurs la nature de lIdée de Bien et, malgré sa portée ontologique et épistémologique, elle est inséparable du contexte politique et éthique de la République. Platon a recours à trois figures de rhétorique dont les deux premières ont un caractère introductif à la troisième, lallégorie de la caverne. Il sagit de lanalogie du soleil (508a 509d) et le symbole de la ligne (509d-511e) dans le livre VI, analogies qui expliquent la signification ontologique, épistémologique et métaphysique de lallégorie de la caverne. Allégorie ou mythe ?[modifier | modifier le code] Allégorie de la caverne par Pieter Jansz Saenredam. La phrase introductive établit clairement la nature allégorique (c’est-à-dire métaphorique) du propos. Socrate dit à Glaucon : « Représente-toi de la façon que voici létat de notre nature relativement à linstruction et à lignorance ». Néanmoins on découvre, dans dautres dialogues, notamment dans le Phédon, que Socrate considère le monde sensible comme la prison de lâme. Quant au monde intelligible, auquel peut accéder lâme par la philosophie, il est la seule réalité authentique. Lallégorie de la caverne est pour Platon plus quune simple métaphore, mais en aucun cas un mythe3. Il sagit dune représentation de la réalité de ce que peut vivre une personne ayant fait son chemin de réflexion, délévation delle-même, cest-à-dire son propre parcours initiatique quelle ne doit pas réserver pour elle-même mais quelle doit savoir offrir aux autres, jusque dans laccomplissement dun devoir auprès de ses semblables, devoir de prise de responsabilités publiques. Origine du texte[modifier | modifier le code] Selon toute vraisemblance, ce texte faisait partie des enseignements pythagoriciens et aurait été acheté par Platon4 — avec le texte du mythe dEr le Pamphylien et notamment celui qui constitue le Timée5 — à lun des derniers philosophes de lécole pythagoricienne décimée, le philosophe Philolaos de Crotone6. En effet, Pythagore a suivi les enseignements de Phérécyde de Syros, qui enseignait dans une caverne7. Pythagore aurait vécu dans une grotte, où se réunissaient vingt-huit disciples : elle évoque la caverne de son maître Phérécyde. (…). Porphyre rappellera que pour les pythagoriciens la grotte symbolise le monde réel7. Selon les différentes hypothèses examinées par Robert Baccou, auteur dune traduction de la République publiée chez GF Flammarion, le Livre VII aurait été écrit selon toute probabilité par Platon après un voyage en Sicile, ce qui correspond à la période de lachat évoqué ci-dessus des trois livres à Philolaos de Crotone. La Cité à lépoque de Platon[modifier | modifier le code] À lépoque de Platon, Athènes est sur le déclin. Le siècle de Périclès est passé, et la cité voit son modèle démocratique perverti. On peut lire le texte de Platon comme une critique de sa propre cité, dont il stigmatise les défauts. Platon évoque le monde illusoire dans lequel vivent les citoyens de lAthènes antique. Cette démocratie ne le satisfait pas depuis la condamnation et la mort de Socrate et la persécution de Pythagore. Mais il était alors dangereux de citer le Maître de lécole pythagoricienne qui avait été décimée et dispersée. Lallégorie comme exposé de métaphysique[modifier | modifier le code] Laccès au réel, le mouvement ascendant[modifier | modifier le code] Le message certainement le plus fort est de ne pas prendre pour vraies les données de nos sens et les préjugés formés par lhabitude. Platon met en évidence la difficulté des hommes à changer leurs conceptions des choses, leurs résistances au changement, lemprise des idées reçues. Une clef de compréhension de lallégorie est fournie par Socrate lui-même dans le livre VII de La République : « […]cette remontée depuis la grotte souterraine jusque vers le soleil ; et une fois parvenu là, cette direction du regard vers les apparences divines[…] voilà ce que toute cette entreprise des arts que nous avons exposé a le pouvoir de réaliser. » (532c). Il sagit donc de passer de lopinion (fournie par les sens et les préjugés) à la connaissance de la réalité intelligible des Idées. Le philosophe séchappe de la caverne grâce à lexercice de la dialectique, « sans le support daucune perception des sens » (532a). À mesure que son regard shabitue à la lumière vive du monde des Idées, il parvient « au terme de lintelligible » (532b)8. Allégorie de la caverne et ontologie platonicienne[modifier | modifier le code] Platon utilise cette allégorie pour faire comprendre sa théorie des Idées. Dans un monde changeant où toutes les formes sont imparfaites, la régularité des choses ne peut provenir que de lexistence dun moule commun : lIdée, donc par exemple, lIdée du cheval, lIdée de lhomme, lIdée de la justice, etc. Cette théorie est dualiste, car elle sépare la réalité en deux parties bien distinctes. Elle est idéaliste, car elle fait primer le monde intelligible (le Ciel des Idées) sur le monde sensible (le Monde Matériel). Enfin elle est réaliste, car les Idées existent indépendamment de nous qui les concevons, formant ensemble la seule véritable réalité. Elle forme une ontologie (théorie de lêtre) qui aura une influence considérable et qui sera aussi extrêmement critiquée9. Lallégorie comme leçon sur les devoirs du philosophe[modifier | modifier le code] Le mouvement descendant[modifier | modifier le code] Mais le philosophe voit que sa mission est de montrer aux prisonniers leur erreur, eux qui discourent sans fin sur les ombres, persuadés quelles sont la seule réalité. Il revient faire leur éducation. Mais là, il est fort mal reçu par ces mi-aveugles qui ne croient pas en lexistence du monde des Idées, pourtant le véritable monde, car lêtre humain est une âme bien plus quun corps. Un être humain est une âme immortelle appartenant au monde des Idées, une âme enchaînée dans un corps prisonnier des apparences sensibles. Autorité, soumission et pouvoir[modifier | modifier le code] Il sagit aussi de tirer un ensemble denseignements portant sur les relations dune personne qui sait avec celles qui ne savent pas. Platon fait notamment la démonstration de la difficulté quil y a à apprendre et à enseigner. Par extension, le philosophe établit le lien avec les relations à lautorité, la soumission, la rébellion et la fuite. Une allégorie intemporelle[modifier | modifier le code] Dans la caverne, les humains sont enchaînés de sorte quils ne « peuvent voir que devant eux ». Une lumière leur vient de derrière eux, dun feu allumé sur une hauteur. La lumière extérieure passe par une ouverture de la caverne, de sorte que le corps de chaque prisonnier projette son ombre sur les parois. Les enchaînements représentent les croyances, certitudes, convictions, préjugés et autres a priori. La difficulté à rompre les chaînes image celle de se défaire de ce quelles représentent et traverse les âges dans les préoccupations des philosophes. Une allégorie du déni de réalité (René Descartes)[modifier | modifier le code] « Considère maintenant (…) quon détache lun de ces prisonniers, quon le force à se dresser… ». Ici, le philosophe en appelle à lidentification du prisonnier soudainement confronté à un brusque changement, incarné par une situation nouvelle pénible ou par une idée nouvelle remettant en cause les préjugés anciens. « Il souffrira et léblouissement lempêchera de distinguer les objets dont tout à lheure il voyait les ombres ». Le philosophe aborde le déni de réalité, première étape de la confrontation violente de lesprit humain à linattendu : lannonce dune rupture, dun rejet, dune transformation radicale des habitudes aussi évidentes que « confortables ». Platon dénonce le conformisme intellectuel dans lequel les habitudes dopinion sont considérées à tort comme normes représentatives de la condition humaine. Le philosophe poursuit son développement de lallégorie. À la découverte du monde réel, la perplexité du prisonnier est naturellement grande. La réalité perçue avec plus de justesse ne saurait lui apparaître que « fort douteuse et incertaine » (René Descartes - Première Méditation). Une allégorie du conditionnement ?[modifier | modifier le code] Lallégorie de la caverne propose une réflexion sur le conditionnement des esprits. La pensée du philosophe chemine jusquà la manière dexercer le pouvoir et de sy maintenir. Il fustige la recherche vaine de profits et démontre la nécessité dune grande rigueur dans la formation des personnes susceptibles dexercer des relations dautorité en loccurrence dans la cité. Platon invite ses contemporains à rejeter toutes formes didées reçues et de se montrer vigilants sur lexercice du pouvoir, sur le choix des hommes destinés à exercer lautorité dans la Cité. Le philosophe met laccent sur lesprit de responsabilité qui doit animer les citoyens, puisque les prisonniers de la caverne représentent ceux qui préfèrent ne pas sinterroger ni remettre en cause un ordre établi, aussi inapte soit-il. Le philosophe prend un risque de partager sa vision du monde, dans la mesure où sa perception bouscule par nécessité lordre établi. Plusieurs auteurs ont été inspirés par lallégorie de la caverne, tels que Pierre Abélard, Edwin Abbott (auteur de Flatland), Cervantes (Don Quichotte), mais aussi, à un autre niveau, Saint-Exupéry dans Lettre à un otage : (« cest toujours dans les caves de loppression que se préparent les vérités nouvelles »). Et plus récemment Franck Pavloff (auteur de Matin Brun) ou encore José Saramago, avec son roman La Caverne10. Le livre Matrix, machine philosophique consacre un chapitre à linterprétation de la trilogie Matrix comme une version de science-fiction de cette allégorie11. Le troisième et dernier tome de la trilogie12, de Calvo et Krassinsky, repose essentiellement sur lallégorie mise cette fois au service de la BD. Plus récemment, en janvier 2012, on peut signaler la publication du roman de Régis Jauffret, Claustria, qui fait explicitement référence à la Caverne de Platon. Au chapitre 1113 de son livre La République de Platon, le philosophe Alain Badiou reprend le mythe de la caverne pour lappliquer aux représentations fallacieuses du réel produites par les médias. : Imaginez une gigantesque salle de cinéma. En avant lécran, qui monte jusquau plafond, mais cest si haut que tout ça se perd dans lombre, barre toute vision dautre chose que de lui-même. La salle est comble. Les spectateurs sont, depuis quils existent, emprisonnés sur leur siège, les yeux fixés sur lécran, la tête tenue par des écouteurs rigides qui leur couvrent les oreilles. Derrière ces dizaines de milliers de gens cloués à leur fauteuil, il y a, à hauteur des têtes, une vaste passerelle de bois, parallèle à lécran sur toute sa longueur. Derrière encore, dénormes projecteurs inondent lécran dune lumière blanche quasi insupportable. […] Sur la passerelle circulent toutes sortes dautomates, de poupées, de silhouettes en carton, de marionnettes, tenus et animés par dinvisibles montreurs ou dirigés par télécommande. Passent et repassent ainsi des animaux, des brancardiers, des porteurs de faux, des voitures, des cigognes, des gens quelconques, des militaires en armes, des bandes de jeunes des banlieues, des tourterelles, des animateurs culturels, des femmes nues… Les uns crient, les autres parlent, dautres jouent du piston ou du bandonéon, dautres ne font que se hâter en silence. Sur lécran on voit les ombres que les projecteurs découpent dans ce carnaval incertain. Et, dans les écouteurs, la foule immobile entend bruits et paroles. […] Ils nont donc aucune autre perception du visible que la médiation des ombres, et nulle autre de ce qui est dit que celle des ondes. Si même on suppose quils inventent des moyens de discuter entre eux, ils attribuent nécessairement le même nom à lombre quils voient quà lobjet, quils ne voient pas, dont cette ombre est lombre […] Ils nentendent que la copie numérique dune copie physique des voix humaines. Une allégorie de lart pédagogique[modifier | modifier le code] La première phrase du Livre VII est sans ambiguïté. Socrate y débat notamment de la relation à la transmission des connaissances. Il y précise aussi la façon pédagogique : lhomme libre ne doit rien apprendre en esclave (…) les leçons que lon fait entrer de force ny restent point. Alors, comment enseigner et comment apprend-on le mieux ? Les pédagogues les plus avancés (tel Célestin Freinet) auraient pu reprendre cette phrase à leur compte : fais en sorte que (les enfants) sinstruisent en jouant : tu pourras par là mieux discerner les dispositions naturelles de chacun.(536a 537a). Pour Platon, la condition première de lhumanité, cest lignorance dont il faut se départir impérativement : produit de notre éducation et de nos habitudes, elle nous rend prisonniers des apparences. Dans lallégorie de la caverne, Platon décrit à travers la parole de Socrate cette situation de non savoir dans laquelle nous nous trouvons.14 Lexigence platonicienne, un élitisme aristocratique ?[modifier | modifier le code] Lallégorie en vient à témoigner dune exigence très forte en qualités humaines et intellectuelles, telle que rares étaient les prétendants à la direction des affaires de la cité qui pouvaient y satisfaire. Elle contribue ainsi à justifier dans La République un régime aristocratique par les gardiens-philosophes. Versions modernes de lallégorie de la caverne[modifier | modifier le code] Littérature et bande-dessinée[modifier | modifier le code] Le Fauteuil dargent, tome 6 du Monde de Narnia (1953), de Clive Staples Lewis Une rose au paradis (1981), roman de René Barjavel La caverne (2000) de José Saramago La trilogie Kaarib (2001-2004), bande-dessinée de David Calvo et Jean-Paul Krassinsky La caverne des idées (2003) de José Carlos Somoza Et tu deviendras médiateur, et peut-être philosophe, Jean-Louis Lascoux, ME, collection Sequences de médiation, 2008, (ISBN 2-91745-900-X) - Claustria (2012), de Régis Jauffret, éditions Seuil. Cinéma[modifier | modifier le code] THX 1138 (1971) de George Lucas Underground (1995) dEmir Kusturica The Truman Show (1998) de Peter Weir Conte philosophique (La caverne) (1998), court-métrage de Philippe Fernandez La trilogie Matrix (1999-2003) des frères Wachowski V pour Vendetta (2006), de James McTeigue 100jours +33 (2012), de Benoit Perraud Invasion Los Angeles (1988), de John Carpenter Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ La République, VII, 511 a ↑ La République, Livre VII, pag 279. éd. GF Flammarion ↑ République Livre VII, Les intégrales de philo, ed. Nathan, 2005 ↑ Cf. Robert Baccou ↑ [ugo.bratelli.free.fr/Laerce/Pythagoriciens/Philolaos.htm [archive] Diogène Laërce (Traduction de Robert Grenaille, 1933) ↑ Platon achète pour 100 mines le livre de Philolaos quil utilise pour rédaction du Timée. Encyclopédie Universalis. [archive] ↑ a et b Pythagore et les Pythagoriciens, JF Mattei. Que Sais-Je ? PUF, p. 9. ↑ Georges Leroux, La République, aux éditions GF. Flammarion, p. 1698. édition de 2008 ↑ Robert Bacou, La République, éditions GF. Flammarion, p. 38. édition de 1992 ↑ A Caverna, 2000 ↑ Gilles Behnam, [%5Bwww2.cndp.fr/magphilo/philo09/critiquematrix.htm Mag Philo%5D « Critique de Matrix, machine philosophique par Alain Badiou »], sur Centre national de documentation pédagogique, Dernière mise à jour de 2007 (consulté le 29 mars 2013) ↑ KaaribDargaud, 2004 ↑ Alain Badiou, « Qu’est-ce qu’une idée? (502c-521c) », dans La République de Platon, p. 244-245 ↑ - Michel Liégeois, Professeur de philosophie [archive] Voir aussi[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Texte intégral du Livre VII Vers le texte en grec Article sur Platon sur lEncyclopédie Stanford en ligne Traductions en ligne du Livre VII, par Bernard Suzanne : Lallégorie de la caverne, 1999-2001 Commentaire de Socrate sur lAllégorie, 2001 Des philosophes au gouvernement de la cité, 2004 La formation à la rigueur de lesprit, 2004 La formation des futurs dirigeants de la cité, 2006 Le choix des dirigeants, 2006 Lacadémie de Platon par Salvator Rosa 1615-1673 Bibliographie[modifier | modifier le code] La République, traduction par Georges Leroux, Paris, 2002. De lessence de la vérité : Approche de lallégorie de la caverne et du Théétète de Platon par Martin Heidegger, André Gide, Alain Boutot, et Herman Mörchen, Éd. Gallimard, 2001 (de) Platon: Politeia, Otfried Höffe (éd.), Berlin, 1997. Julia Annas, An Introduction to Platos Republic, Oxford, 1981. (en) Platos Republic: A Philosophical Commentary, R.C.Cross and A.D. Woozley, New York, 1964. République, Livre VII, Note et commentaires de Bernard Piettre, Nathan, Les intégrales de philo, 2005 La République, Livre 6 et 7, par Fulcran Teisserenc, FolioPlus philosophie R. Zaborowski, Sur un certain détail négligé dans la caverne de Platon in: Organon 35, 2006 [publ. 2007], p. 209-246 ihnpan.waw.pl Lecture de lAllégorie de la caverne dans Le Cercle sur labîme de Pierre-Marie Hasse, p. 581-683 et IV, p. 251-324, éd.Thibaud de La Hosseraye, 2008 La République de Platon dAlain Badiou, Arthème Fayard, 2012 [masquer] v · d · m Platon Connaissance Théorie des Formes (Argument du troisième homme) · Dialectique · Réminiscence · Maïeutique · Allégorie de la caverne · Analogie de la ligne Politique Anneau de Gygès · Philosophe roi Mythes Atlantide · Er le Pamphylien · Mythe des marionnettes Histoire Socrate · Procès de So
Posted on: Mon, 25 Nov 2013 04:11:30 +0000

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