Le vent se dressai cruellement face a lui, cela faisait deux jours quil luttait pour conserver en lui le fin espoir dun futur libre, dun destin ou il continuerai son metier de batteur de pave, dalcoolique et de client regulier chez les filles de joie. Deux jours quil poussait sur ses membres meurtris sur un sol humide...suivit de pres par deux paires de jambes appartenant a des representant des forces de lordre et de leur deux molos qui le hacherai en qq instants...Cette vision de sa chair partir au quatre vent le terrifiait, non il ne voulait pas mourir et oui il voulait continuer, poursuivre dans sa vision du monde ou il abuse cruellement et aisement des gens de son espece "Le violeur viole est ma seule veritable fierte", cest ce quil disait aux pauvres victimes innocente histoire quelles ne voient en lui, non pas un monstre mais plutot une bonne ame disposant dun mental derange. Cette reputation ne le genais en rien et il continua a fuir, le sol boueux et humide se fit parseme de cailloux et de rochers incrustes dans le sol et qui manquais a chaque fois de le faire basculer. Tout autour de lui, le vent chantait entre les sapins, rythme par les aboiements de plus en plus rapproche des animaux qui participaient au dessein de le jeter derriere les barreaux, voir, entre 4 planches! Le ciel setait fait en degrade du jaune au bleu fonce en passant par le rouge, au loin, le soleilprevenait le patron que sa chaleur et sa lumiere allaient labandonner...Le patron naurait que peu de chance de sen sortir, les chiens avaient du flair, pas lui, de plus il etait epuise et ne tarderai pas a seffondrer, son moyen de defense etait hors circuit, aucune balle ne residait dans le flingue quil portait dans sa main, seul la transpiration qui se degageais de sa paume pr secouler sur le manche, lui rappelais ke com tt homme, ses mains pouvaient le defendre, tt comme il les utilisait pour soumettre les autres a sa volonte avant de penetrer leur intimite. Comment tout cela avait il commence deja?Ah oui; un 69 qui a mal tourne, non il ne regrettais pas ce quil avait accompli, ce genre daction etait pour lui que murement reflechi *Elle parlait trop*ragea til en forcant davantage sur ses jambes. Il glissa sur un cailloux et chuta, la pente etait en declinaison et il roula quelques metres dans la direction de ses poursuivants, sen suivit un silence de mort, il etait sur le dos a se tenir le bras gauche qui avait ete endommage durant la chute,*LES MAINS EN L AIR!!!PLUS UN GESTE!!!*ils etaient sur lui, la lumiere de la lampe torche laveuglait et les aboiement repetes des chiens rendaient son esprit confus,illeva les mains en tremblant...Les deux policiers lui passerent les menottes quils serrerent tres fort pr lui faire mal *Tu nous aura donne du fil a retordre!*le patron resta qq instant sur ce sol, a plat ventre, les bras tirees vers larriere, a reflechir, a reprendre sa respiration. Son ventre hurlait, suppliant quil acquiert un quelconque contenant tandis que ses poumons recrachaient un souffle ardent mele a des glaires quil avait accumules depuis ses deux jours de fuite, il crachait et cherchait une meilleur position pr respirer sous les 8 yeux attentifs de ses anciens poursuivants. Les femmes, tout etait la, elles etaient responsable de son desir pathologiquement eleve mais restaient egalement les limites inebranlables et profondement enfoncees de sa liberte.
Posted on: Sat, 27 Jul 2013 10:24:56 +0000