Les saisons tombent peu à peu, dehors, cette magnifique neige - TopicsExpress



          

Les saisons tombent peu à peu, dehors, cette magnifique neige blanche qui glacent les rues et les personnes qui nont pas de maison souffrant de se malheureux temps dhivers. Malgré que la température, les pauvres se réunissent sous une cabane et des logements vites. Quelques mètres plus loin, moi qui était assise sur mon balcon en train de regardée des malheureuses personnes qui ne peuvent pas avoir de la chaleur. Ils devraient rester dehors à geler. Sans doute jai pensée à quelque chose dinouï. « Pourquoi ne pas donner quelques flamme de chaleur ? » En parlant avec mes parents, suite à ce que jai vu plus tôt, ils se sont mis daccord pour quont leur donnes des soins et quelques trucs à manger. Pendant que eux puissent se faire un feu dans les poubelles, je le retiens dallumer son allumette. Il me regardait dun air fâché et me demande de partir. Jai tendue mon bras en lui offrant des cannes de nourritures. Son air à toute suite changer. Il sempresse à prendre une par une les cannes que javait mis dans une glacière. Heureusement, jai trouver une maison vite, mais fonctionnel. Des prises électriques encore en bonne état. Puis quand il mas regarder, ce jeune homme dau moins 16 ans il mas remercier dun sourire. Assez triste je pourrait dire, même inquiet. Je lui tant une canne de soupe chaude. Il mas regarder et mas demander pourquoi je voulais tant de bien pour des gens pauvres qui ne servent quà rien. Sans doute quil était en dépression depuis que sa famille est morte dans un accident dauto récemment. Sans hésité je lui est expliquer pourquoi je vessait ça pour lui. « Je naimes pas voir des gens souffrir. Je ne laisserais personne mourir de froid. » Il à froncé les sourcils en baissant les yeux. Partis en larme. Jaurais bien voulue lui donner un câlin mais.. Lodeur.. Ouf, indescriptible. Il relève la tête, voulant me donner un câlin. Il cest retenue puis, il mas dit : « Tes la seule personne que jai entendue dire cette phrase là. Mes parents mont dit quune personne comme toi ce pointerait au début de lhivers mais, eux ils ne lont pas vue. Si ils seraient encore en vie et quils ne seraient pas là, ils nauraient pas crue. » Jai restée bouche bée. Je me suis dit dans ma tête Était-je.. Non impossible. Je ne pourrait pas être ça. Jen croyait toujours pas. Moi ? Pourquoi les parents du jeune homme savait que jallais arrivée ? Enfin, il était passée 10 minutes et mes parents mappelaient. Je devait y aller mais, je voulait quil continue son histoire avec ces parents. Jai pivoter sur moi même et jai sentie une main douce mais un peu grasse me toucher la main. Cétait le jeune homme, il ne voulais pas que je parte. Mais bon, mes parents pouvaient bien attendre un peu.. Peu après, jétait morte, prètes à dormir dans mes couvertures douces mais comme jétait encore assise sur le sofa, le jeune homme continuait à me parler de ces parents. Je doit dire que je nécoutait pas trop ce quil disait. Je mendormais sur place. Puis un bruit venait de dehors, surement mes parents qui me cherche. Puis je lui est poser la question au plus vite. « Quel-est ton nom ? » Il cest levé, prend une arme et sort dehors en chuchotant « Jordan ». Jétait sûre quil voulait tuée mes parents pour que je reste avec lui pour toujours. Toujours dehors, Jordan frissonnant, tombe au sol. Il navait plus aucune énergie. Mes parents ! Ils étaient là. Une chance quils étaient pas venue avant. Ma mère qui me demande ce que je fessait avec le garçon, elle ce posait des questions.. Sans hésité jai relevé Jordan qui était tombé au sol et le rend jusquà la maison. Mes parents me suivaient toujours. Jai déposé Jordan sur le sofa et commençait à sendormir. Je lui est mis des couvertures pour pas quil aille froid. Au moins dans la maison, il fessait pas trop froid ni trop chaud. Juste bien pour Jordan. Jai rentré cher moi. Au bon milieux de la nuit, Jordan ce réveillait. Il ne savait pas où jhabitait et encore plus mon nom, il hurlait dans les rues. Jai sursauté et jai regardée par la fenêtre. Je lai vue avec une autre présence qui le suivait puis il sais tournée vers ma fenêtre en me fixant avec un sourire. Jai cligner des yeux et il avait disparût. Cétait surement quune illusion. Je me repose dans mon lit en me posant des questions. Mes parents navaient pas entendue ces hurlements ? Étrange, habituellement ils mentendent quand je me lève pour aller boire de leau ou quoi que ce sois. Jai sentie le froid de dehors prendre possession de mon corps, jétait figée ! Incapable de bouger. Puis les frissons se sont dissipés. Jétait en train de rêvée ? Je ferme les yeux et je vois cette genre de lueur pâle, grise dessiner des traits et jai pu lire « Die or Love » Jai hurlée de chagrin. Mes parents étaient dans la chambre en face de la mienne. Ma mère cest levée et puis venue me réconfortée. Je lui est expliquer ce que jai vue dans la fenêtre, dans mes pensées et ce que mon corps à subis. Elle nen croyait pas, pleurant de rire. Elle mas dit de mendormir, parce que javais de lécole le lendemain. Jétait incapable de fermée les yeux. Jai été sur mon ordinateur pour voir mes messages sur Facebook en attendant de me changée les idées. Puis un document était ouvert cétait écris : DIE DIE DIE DIE. Jai fermer lordinateur puis, jai regarder dessus de lordinateur et puis des Dies commençait à apparaître peu à peu. Jai sursauté et ma mère mas emporter des médicaments pour maidée à dormir. Puis jai commencer à pleurer devant elle. Les dies étaient restées marquées quand finalement je me suis retrouver dans un cauchemars ou plus tôt dans une autre dimension. Ma mère appel mon père pour quil appel le 911, jétait dans un genre de comas. Cétait le lendemain matin, je commençais à peine à me réveillée. Puis je me suis levée. Jétait pas dans une chambre d’Hôpital, mais ça lui ressemblait énormément. En fait les murs était rouge foncé sang, des panneaux pourris indiquait ma chambre, le 43. Une horloge était adossé au mur et les aiguilles indiquait 9h. Je commençais peu à peu à me réveillée quand jai entendue un son provenir de la porte à ma droite. Cétait surement mes parents qui venait me voir. Finalement, jai eu une surprise, cétait ni mes parents, ni les médecins, cétait Jordan. Il est entré avec un bouquet de fleur mais, comme il était pauvre je me demandait où il les avait acheté. Peu importe, il était plutôt Gentleman. Chapitre II : Lécole et Jordan paranoïaque ?
Posted on: Thu, 21 Nov 2013 22:57:25 +0000

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