L’INTELLIGENCE DE LA MATIERE par Dumitru Constantin-Dulcan - Sommaire - Sommes-nous seuls dans un univers hostile et avons-nous la liberte de lutter pour survivre par n’importe quels moyens qui puissent servir au but propose, ou bien nous trouvons ici par la grace d’une volonte, d’une force intelligente qui nous a crees ayant une finalite precise et que nous devonsconnaitre pour l’accomplir ? Ceci nous parait etre la question fondamentale que se pose a l’homme moderne, dont l’existance sur un e planete nommee Terre semble etre menacee par le son lugubre du gong final. Terrorise par par de permanents dangers qui menacent sa vie, angoise par des evenements qui aneantissent sa quietude, il pose cette question a la science, a la religion et a la philosophie, mais sa destinee reste toujurs sous la signe de la non-realisation, des drames et de la mort. D’où vient l’echec de cet etre qui se programme lui-meme comme etant raisonnable et omniscient ? Ou se trouvent les limites de la science ? Et celles de la religion ? Pourquoi, au lieu de completer les donnees de la science et de la religion, les a-t-on exclues, avec des consequences tellement nefastes pour l’hummanite, alors que perssone ne peut jamais connaitre la verrite absolute? Est-ce qu’ilnexiste une possibilite pour sortir de l’impasse? Que savons-nous vraiment sur nous et quelle est, en consequence, la voie a suivre? Ce livre se propose de repondre aux questions fondamentales de l’homme, construisant un ample discousqui traverse toutes les sources de connaissance accesibles – de la science a la religion, de la l’experiment de laboratoire a l’experience clinique propre au domaine de la neuropsychiatrie. Il existe un principe de la coherence universelle. L’ensemble coherent de l’Universe se forme moyennant une evolution du simple au complexe, de l’inorganique a l’organique, du non-vivant au vivant, selon un schema general. Grace a ce schema general le monde entier, celui vivant y compris, a des caracteristiques communes d’organisation et de fonctionnement. A la base de l’Univers il y a une intelligence organisatrice organisatrice et coordinatrice presente dans le premier « logos » ou dans l’information primordiale. On ne peut pas connaitre la source de cette information primordiale, mais seulement ses effects. L’evolution ne peut etre expliquee en partant du hasard. Sans une cause coordinatrice il ne peut y avoir que du desordre. Le teme d’evolution ne peut s’espliquer par soi-meme, attendu que, aux formes considerees comme etant evoluees par rapport a d’autres precedentes du point de vue philogenetique, il apparait des organes aux performances reduites. Par exemple, bien que l’homme soit considere comme evolue par rapport au chien, il ne possede pourtant pas l’olfactin performante de ce dernier, ni l’acuite visuelle du vautor. Pourtant, l,objectiv de l’evolution ne semble pas etre l’etat de fonctionnement des parties, mais la finalite de l’entier. L’evolution semble ne pas avoir eu d’autre but que le perfectionnnement des formes de traitement del’information jusqu’au stade ou elle est capable de saisir sa source et sa finalite. La vie est un ordre dans un univers entropique et est fondee sur des connexions de type informationnel. L’information est une condition sine qua non de la vie Toutes les structures vivantes, n’importe le degre d’evolutions ou elles se trouvent, sans tenir compte si elles disposent de structures nerveuses ou non, sont pourvues de la capacite de recevoir et traiter l,information aux fins d’elaborer un comportament adequate au milieu ou elles vivent. Le système nerveux nous apparait comme une structure necessaire au traitement de l’information, mais non pas indispensable, vu qu’on ne l’a pas encore decrit chez les protozoaires et chez les plantes. Il y a plusieurs dimensions d’organisation du monde vivant : celle informationnellement-energetique ou primaire, celle biochimique et moleculaire ou morphologique. Toute action, pensee ou modification physiologique au niveau du vivant traverse obligatoirement ces trois plans. La dimension primaire, informationnellement-energetique ou le biochamp, constitue selon notre opinion la matrice suivant laquelle tout système vivant s’organise et fonnctione. Le code genetique pourrait etre secondaire, expresion concrete de functionnement de la dimension primaire. Il existe un modele energetique de l’individu, de l’espece, du monde vivant entier. De la capacite dessystemes vivants de recevoir de traiter et de remettre des informations, il resulteaussi celle d’etablir une relation informationnelle avec un autre biosysteme en d’autres termes, de communiquer. La communication est un attribut fondamental du monde vivant. Depuis les formes les plus simples jusqu’aux plus developpees, depuis le protozoaire, josqu’a l’homme, le monde vivant entier communique. Nous apprecions que l’essence-meme du vivant reside dans son intelligence, exprimee par la capacite de discerner, de traiter les informations. L’intelligence, au sens attribue au monde vivant entier, consiste en sa capacite de resoudre ses propres problemes. Selon la conception de l’auteur, il existe une seule intelligence qui traverse toutes les structures visibles et invisibles de l’Univers. C’est l’intelligence qui organise et ordonne le monde jusqu’aux quanta d’energie. On distingue pour l’Intelligence presente dans l’Univers les suivants niveaux de representation : L’intelligence cristallisee au niveau de l’atome, exprimee par la valence; l’intelligence basale nonverbalisee, presente au niveau de toutes les cellules vivantes, des plantes et des animaux ; l’intelligence hummaine verbalisee, l’intelligence cosmique – support des lois d’organisation de l’Univers. C’est l’lintelligence organisatrice et coordinatrice de l’Univers, ou ce que l’lauteur comprend par l’Intelligence de la matiere. On distingue, de meme, un double caractere de cette intelligence – celui d’etre intrinseque a la matiere – exprimee par des reactions biochimiques, code genetique etc., et celui d’etre extrinseque , agissant a l’interface individu-monde. L’intelligence extrinseque coordone les functions de deux organisme differents en vue de l’accomplissement d’un but unique. C’est une intelligence transcendante par raport aux structures et aux fonctions d’un organisme. Le siege de l’intelligence extrinseque pourrait-etre situe au niveau du champ informationnel universel ou sont probablement sedimentes tous les modeles morphogenetiques du monde objectif. Ceux-ci purraient etre consideres-en vision moderne- ce que Platon comprenait par idees et Jung par archetypes. Le champ universel ou fondamental devient la source d’information et le coordinateur – de l’ombre – du monde entier. Ce « cerveau invisible » a sa representation, inclusivement au niveau de l’individu. Le circuit de l’information pourrait etre schematise ainsi : champ fondamental – monde vivant – champ fondamental. Au niveau du monde vivant sans langage articule, l’intelligence s’exprime par des instincts. Les instincts apparaissent ainsi comme tresoriers d’intelligence avec une finalite adaptative et de conservation individuelle. Chaque etre dispose du niveau d’intelligence qui lui est necessaire pour l’accomplissement de sa finalite. Au niveau humain,le champ fondamental est exprime par les structures du sous-conscient ou sont stokes tous les programmes , les schemas fonctionels ou les « patterns » necessaires aux evenements qui ont lieu dans l’organisme. On produit plusieurs arguments, les uns provenusde l’experience personelle, en faveur du phenomene de prediction. Si la prediction existe, cela signifie que la vision entiere sur le monde, cultivee par la science depuis plus d’un siecle, doit etre revisee. Le monde parait avoir une predetermination et, en meme temps, un contrôle permanent qui adapte, en fonction d’une situation nouvellement issue, ce qui avait été preetabi. C’est seulement de cette manière que nous puissions avoir une explication pour le caractere evolutif du monde et non pas statique, tel qu il devrait etre s’il avait une predetermination rigide. Les experiences de telepathie efectuees au laboratoire, inclusivement celles de l’auteur, sous contrôle scientifique, imposent une serie de consequences dans le domaine ontologique. Il parait que le transfer d’information d’un cerveau a l’autre sont possible, sur un canal qui ne peut encore etre precise. La transmission exclusivement mentale d’un message entre deux cerveaux trouves a distance presume un support materiel, un champ energetique module en signaux porteurs d’information. La consequence logique immediate est l’idee que de ce point de vue les penseesrepresentent une force materielle exprimee par l’energie emise par le cerveau et modulee en sinaux porteurs d’information. De ce fait, le pensee exercera sur un autre cerveau une double action : semantique par son contenu ideatif et energetique par l’emission de champ qu’elle suppose comme substrat. Suivant cette acception, d’autres consequences ont lieu dans le domaine de la connaissance. Les relations interhumaines marquees de compatibilite et d’incompatibilite, de sympathie et d’antipathie, la la psychoterapie et tout particulierement la suggestion et certaines practiques therapeutiques empiriques nous apparaissent comme etant motivees par un submateriel reel. Nous devons admettre, de meme, qu’il existe une pensee sans paroles, limitee seulement au niveau de l’image, qui a été tellement controverse. C’est un champ porteur d’information mentale qui precede la parole. Ce prelangage constituerait, dans la conception de l’auteur, le langage universel de la vie, non-medie par des paroles et accessible a tous les etres, depuis les cellules vivantes isolees jusqu’aux plantes, protozoaires et l’homme. Il existe unetat intermediaire de la conscience (connaisance) nomme aussi etat transpersonnel par la psychologie moderne et qui nous releve l’existance d’une autre dimension de la realite dont, josqu’a present, seulement la connaisance esoterique et les religions nous ont parle. Ainsi est prouvee l’existance de trois sources de connaisance - empirique, scientifique et esoterique. La phihique moderne nous apporte des arguments pour l’existance d’une dimension invisible de la realite, situee au-dela de la possibilite de discerner par la voie de la logique formelle, sugette plutôt aux rigueurs mathematiques qu’a celles de la raison commune. C’est le territoire sur lequel s’est developee la pensee pre-scientifique – la mytologie, l’esoterisme, les religions, les traditions et les coutumes presentes dans la vie de tous les peuples. Pour cette raisson, la connaisance de la realite suppose une manière unifiante d’abordage, qui tienne compte de toutes les sources existentes qui distingue leurs element communs pressentes seulement dans une manière differente, d’apres le temps et le lieu ou ils sont apparus. En vertu des possibilites actuelles d’entamer le probleme, il y a des questions auxquelles on peut repondre et des questions auxquelles on ne peut pas repondre – telle celle concertant les origines de l’Univers et de la vie. En fonction de la source que nous attribuons a l‘Univers et a la vie, on distingue un territoire du Sacre et un autre de Profane. Les religions sont des codifications qui se passent au niveau du sacre. Elles remplissent l’espace vide a partir du moment zero jusqu’au moment du Big-bang imagine car la science, offrant une reponse couverte de symboles aux inquietants problemes que l’homme s’est toujours poses. Les but de l’evolution de la vie parait etre exactement celui d’atteindre le stade ou l’homme devient capable de saisir la cause et l’essence de sa propre determination. La voie qui mene a la realisation de cet objectif est constituee par la penetration dans les profondeurs de son univers interieur, neglige par la civilisation moderne, celle-ci etant elle-meme un reflexe dominant de l’univers humain exterieur. Dans les profondeurs de l’univers interieur se trouve inscrit notre etre essentiel qui est co-substantiel a la source intelligente ordinatrice d’univers. C’est le contrôle auto-impose de la pensee qui constitue l’instrument de perfectionnement de l’etre humain, de son optimisation au niveau du potentiel createur avec lequel il a été doue. La pensee est information, champ coordinateur, sorce de creation. Moyennant la pensee, bon gre, mal gre, nous nous impliquons dans la physique del’Univers, en fonction du contenu de nos pensees positives ou negatives. C’est pour cette raisson que le contrôle auto-impose de la pensee est l’unique instrument d’acccomplissement, d’ optimisation de notre etre, pour retrouver le Soi perdu dans un monde ou il n’a aucune autre change d’avoir la paix et la tranquilite.
Posted on: Thu, 13 Jun 2013 13:28:59 +0000
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