Message de Saint Moïse à la Pentecôte : la vraie histoire du - TopicsExpress



          

Message de Saint Moïse à la Pentecôte : la vraie histoire du déluge sur l’Egypte du temps du Pharaon Par admin le Aoû 10, 2013 | Dans Divers Moi on m’appelle Moïse. Vous entendez parler de moi et de l’histoire de ma vie sur terre. Je souhaite que l’un d’entre vous qui connait bien mon histoire se porte volontaire pour la raconter. Un fidèle raconta brièvement l’histoire de Moise Saint Moïse : « Avant toute chose, Je voudrais apporter quelques rectificatifs à l’histoire. Moise, n’avait pas trois (03) mois lorsque sa mère le mit dans le panier. Moïse avait un mois et demi. Ce ne fût pas à la tante de Moïse que fût confié le soin de trouver quelqu’un pour s’occuper de l’enfant. C’est l’une des esclaves de la mère de Moïse. ... Chers frères chrétiens. Voilà un peu l’histoire telle que cela c’était passé. C’est PAPA qui m’a envoyé pour vous parler de cette époque-là et pour vous conseiller sur les conduites à tenir face aux événements à venir. Le plus important de l’histoire n’est pas de la naissance de Moïse à sa vie personnelle. Moi Je suis un berger ; et telle que les évènements se sont déroulés, Je vais vous les narrer. Je conduisais mon troupeau et je vis de loin quelque chose. La distance à laquelle je semblais voir la chose était comparable à la distance de la sainte colline ici à la paroisse sainte Odile de Banamé (environ 2Km). Voulant m’en approcher, j’ai dû marcher sur une bonne distance comparable à celle d’ici Covê (12 Km environs). Lorsque je m’en approchai, je vis un feu qui brûlait effectivement. Il a été dit que c’était un buisson ardent. Moi je ne sais pas si l’on désignera cela par un buisson. Mais je suis sûr d’avoir vu quelque-chose comparable à une maison. A l’intérieur, je ne sais pas si ce sont des hommes ou des arbustes au milieu du feu ; mais le feu était sur eux. Il n’y avait pas de cendre par terre et de plus, contrairement à la façon dont brûle un feu normal, il n’y avait ni fumée, ni braise, mais le feu brûlait. Tout à l’heure, celui qui vous contait mon histoire a dit qu’à l‘approche : « Dieu cria vers Moïse lui disant de ne pas s’approcher car cette terre est une terre sainte ! ». L’Eternel n’a pas dit ça. Lorsque Je m’en suis approché ; Je n’ai entendu aucune voix. Ce fût ma curiosité qui me poussa à me déchausser et à m’approcher. Car je me disais que voici un feu étrange qui brûle mais non à la manière d’un feu ordinaire. C’est à cet instant que j’entendis la voix de l’Eternel. Tout d’abord, IL m’appela par mon nom de naissance que ma mère m’a donné : « Siribé » ; ce qui signifie : « cet enfant ne mourra pas ». IL m’appela donc Siribé. Surpris, Je restai silencieux car Je ne voyais personne. Alors Il me demanda si j’avais peur ! C’est le DIEU de Jacob, le Dieu d’Abraham. J’avais déjà entendu parler d’eux. J’avais déjà entendu parler de l’histoire d’Abraham et Je savais que DIEU s’était révélé à Lui. Donc je compris que voici l’ETERNEL mon DIEU. Je baissai donc ma tête en signe de respect. A ce moment-là, il n’y eut personne devant moi. IL me demanda de redresser la tête et alors, je vis devant moi l’ETERNEL DIEU. IL m’apparut en vieillard, un homme très âgé qui avait complètement vieilli, debout au milieu des flammes et enveloppé d’une lumière éclatante. IL me dit : « Voici JE t’envoie sauver tes frères d’Egypte. Tu n’avais pas à fuir l’Egypte comme tu l’as fais. Tu devras y retourner ». Alors, je LUI répondis que si j’y retourne, Pharaon me mettrait à mort car il aurait déjà découvert mon crime. Alors IL m’a dit : « Tu iras en Egypte et rien ne se passera ». Chrétiens mes chers Frères, c’est la confiance en DIEU que nous devons cultiver et obéir à tous ses commandements. Si nous voulons suivre notre logique humaine nous ne ferons jamais la volonté de l’ETERNEL. Je ne savais pas si Je survivrais une fois retourné en Egypte. C’est DIEU qui a parlé et Je me suis mis en route. IL a aussi ajouté : « Si tu ne sauves pas les fils d’Israël du pays d’Egypte, c’est ce qui arrivera bientôt sur l’Egypte que JE t’ai montré ». Je n’eus pas une compréhension claire de ce qu’IL voulait dire. Mais, suite à mon retour en Egypte, beaucoup de choses se sont produites et Je ne saurais rentrer dans les détails ici. Je passai beaucoup d’années en Egypte avant que les fils d’Israël n’acceptèrent de me suivre. La tâche ne fût pas aisée. A mesure que le temps passait, DIEU m’informait du compte à rebours. Nous étions donc en Egypte et le jour choisi pas DIEU pour frapper le pays s’approchait. Un jour vint où je Le suppliai de sauver les Egyptiens de cette catastrophe. Alors, IL me révéla que si je voulais qu’ils soient sauvés, il fallait que je les informe. Ils devaient marquer le fronton de leurs portails du sang des animaux qu’ils sacrifieraient au cours de la fête de pâques. Et l’information fût lancée. Ce ne fût pas du tout une tâche aisée. Certains en riaient ; d’autres renvoyaient carrément ceux qui leurs apportaient la nouvelle. Peu de gens furent informés. Même les fils d’Israël s’en moquèrent et très peu acceptèrent. Ils sont allés jusqu’à proposer que si je disais vrai, que mon DIEU leur parle à eux aussi. Je me retournai vers DIEU et IL m’ordonna ce qui suit : « Va voir le Pharaon. Une fois là-bas, JE me révèlerai à lui. J’exécutai ses recommandations et DIEU démontra à Pharaon sa puissance de plusieurs façons, mais rien n’y fit. La foi du Pharaon n’a pas bougé d’un cran. Bien au contraire, il s’exprima en ces thèmes : « Moïse est parti pendant des années et voyez ce qu’il nous a ramené ! Il veut détruire notre pays. Il est allé apprendre la magie et la sorcellerie pour venir nous détruire ». Car en cette époque-là, c’est la magie et la sorcellerie qui gouvernait. Et je me retournai tristement. Et pourtant, DIEU renforça mon courage et le travail continua pendant des années. Les Egyptiens ne peuvent pas dire qu’ils ne furent pas prévenus ; DIEU a envoyé des messages des années durant. Avant le début de la catastrophe, DIEU me demanda de mettre à l’abri tous les fils d’Israël. Les hostilités vont durer (03) trois jours exactement. Ce jour-là, en moins de dix minutes, une lourde obscurité s’installa. Les fils d’Israël se mirent à l’abri avec des stocks de vivres et en union de prière. Ce ne fût pas une obscurité ordinaire qui permit de distinguer ou de reconnaitre son habitué ou d’aller quelque part. Ce fût la panique générale et la catastrophe. Ce fût seulement ce jour-là que je compris ce que l’Eternel me montra au désert. Le feu brûlait sans cendre ni fumée sur l’Egypte. Les Egyptiens souffraient et hurlaient. Toutes les maisons et les villes égyptiennes furent au cœur du feu. Des bâtiments entiers disparurent vers le néant. Tout ce que l’homme mit des années à bâtir brûlait sous ses yeux. C’était mystérieux ; tout ce qui se passa dans cette obscurité pendant les trois jours était effroyable et indescriptible. L’Eternel DIEU, puisque c’est récemment que nous avions eu la compréhension que c’est DIEU Esprit-Saint qui se trouve être DIEU le PERE, est descendu sur l’Egypte et l’a entièrement rempli. Ce fût un mystère pour les yeux qui le virent. IL fût descendu sous une forme humaine ; une forme humaine qui debout, surplanta toute la nation égyptienne. IL prononçait son jugement contre chaque création, et cela s’accomplissait aussi précisément que formulé. Des monuments entiers s’écroulaient, les gens mourraient. Il y eût tellement de morts ; presque tous les fils du Pharaon y perdirent la vie. Le lendemain, ce fût la tristesse, les cris et les larmes. Des époux se perdirent de vue, des amoureux ne se retrouvèrent pas ; et ce fût le deuil et la tristesse en terre d’Egypte. A la suite de tout cela je demandai à DIEU la raison pour laquelle IL épargna le Pharaon. IL me répondit qu’il restait beaucoup d’autres choses à démontrer au Pharaon. C’est à la suite de cela que ce dernier périt avec toute son armée dans la mer. Chers Frères chrétiens ; si c’est la même catastrophe qui s’est produite en Egypte qui s’annonce, ce sera une grande tristesse. En effet, je me rappelle qu’en Egypte, à l’époque des événements, le feu a brûlé deux (02) jours durant. Au cours de la deuxième journée où le feu a semblé s’éteindre, on assista a une crue sévère du Nil qui se déversa dans les rues. Cela créa la perte de nombreuses vies. Une multitude de personnes qui pensèrent être hors d’atteinte périrent car nous étions à un (01) jour seulement de la fin de la catastrophe. Des milliers d’âmes furent emportées. Ce fût horrible. Par suite, l’on retrouva des milliers de cadavres au bord du Nil. Certains présentèrent des plaies et blessures profondes ; d’autres par contre perdirent la vue pour toujours et d’autres encore devinrent invalides et muets. Il eut mieux valu pour certains de mourir. Je Compris tristement que tout cela était la punition divine. Suite à cette catastrophe, l’Egypte passa plusieurs mois dans l’amertume et la tristesse. A peine six (06) à huit (08) pourcent (%) de la population avait survécu. L’Egypte se vida. Ce fût seulement à ce moment-là que les enfants d’Israël ayant survécus prirent peur, commencèrent à croire un tout petit peu et décidèrent de m’écouter. C’est ainsi qu’ils se décidèrent à me suivre pour sortir d’Egypte. Ce fût donc suite à cette catastrophe que ceux qui étaient destinés à être sauvés commencèrent à être un peu obéissants et à croire. Aujourd’hui, c’est encore vous qu’On veut sauver, qui êtes têtus. Moi, je demande à PAPA de vous pardonner vos offenses ; car, c’est seul celui qui n’a jamais été soumis à l’épreuve qui ne comprend pas ce dont on parle. C’est la femme qui ne s’est jamais trouvée en situation difficile qui prétend que si jamais son époux se mettait à se chercher une autre femme, elle rendrait la vie infernale à cette dernière. Il arrive de traverser des difficultés sans pouvoir piper mot ; quand bien même on a raison. J’ai été témoin de ce dont on parle. Même moi à partir d’un moment, je fus pris de panique et d’incertitudes au point de me demander si je n’allais pas y passer. On finit par douter à partir d’un moment. A l’heure où nous sommes, nombreux parmi vous sont dans le calme et le plaisir. Le moment venu, l’incertitude et le doute vont vous assaillir. Vous vous demanderez quelque soit votre assurance si vous y survivrez. Que PAPA Lui-même vous accorde les grâces de la certitude et de la foi dont vous aurez besoin pour ne pas douter en ces jours-là. C’est un évènement très douloureux et très triste. L’on perd pratiquement tous les êtres qui vous sont chèrs. Il arrive de perdre des frères, des amis, son époux ou son épouse. On porte le deuil des années durant avant que les blessures ne se cicatrisent progressivement. Car aujourd’hui, vous vous dites que les vôtres qui n’ont pas foi à Banamè peuvent crever s’il le faut. Mais quand cela arrive à se produire, la perte d’un être chèr est toujours une épreuve difficile. Soyez en prière afin que PAPA Lui-même vous aide à vous en sortir indemnes. Si jamais on vous permettait de participer à cela, vous serez traumatisés. Si vous voyiez comment les choses se passent, si vous pouviez regarder un être cher à vous au milieu d’un feu en train de brûler jusqu’à la cendre, cela vous hanterait pour toujours. C’est toujours triste. Même après les évènements, à votre sortie, lorsque l’on regarde les dispositions des cadavres, ce sont des pleurs à n’en point finir. On n’en tire aucune joie. Chers Frères chrétiens je vous en supplie, soyez obéissants. Car, c’est vous les enfants d’Israël d’aujourd’hui ; c’est le Bénin l’Israël d’aujourd’hui. Fils d’Israël, permettez que votre DIEU qui a sauvé vos ancêtres ; vous sauve à votre tour. Du temps de vos ancêtres, c’est par moi qu’ils furent prévenus. Aujourd’hui IL s’est rendu compte que même s’IL vous envoyait quelqu’un, non seulement vous ne l’écouteriez pas mais vous chercheriez à l’exécuter et alors, IL s’est décidé Lui-même à descendre vous le dire de PERE à fils. Ecoutez-LE donc, respectez-LE et suivez Ses commandements. C’est suite à tous ces évènements que DIEU m’appela : « Moïse, c’est maintenant que tu es l’enfant que l’on a sauvé de la saison difficile ; autrement de la guerre. A partir de ce jour, on pourra appeler tous les fils d’Israël Moïse ». Donc chacun d’entre vous est Moïse, car malgré cette guerre qui s’est déclenchée, DIEU n’a pas permis que vous soyez atteints. Que chacun d’entre vous devienne donc des prophètes auprès de vos frères exactement à l’image de Moïse auprès des Israélites et des Egyptiens. Que les grâces du Seigneur demeurent sur vous jusque dans l’éternité. Je vous remercie. SECRETAIRERIE DU PAPE CHRISTOPHE XVIII
Posted on: Thu, 22 Aug 2013 08:35:42 +0000

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