Mise au point Il ya une règle d’or en matière de communication qui dit ceci : ‘’ Lorsque vous ne dites pas ce que vous faites, les autres diront ce que vous ne faites pas ‘’. Ceci étant, il n’est pas dans mes habitudes de faire de telles sorties, surtout sur des sujets mettant à l’index ma petite personne. J’ai de tout temps conseillé à des artistes mondialement connus qui m’ont maintes fois fait l’honneur de les conseiller sur certains sujets ceci : Ne répondez pas aux articles de presse. Qui se justifie, s’accuse, dit-on. Ou à tout le moins, ça ne sert pas de répondre du tic au tac. A ce niveau, permettez-moi de citer un garçon qui excelle dans ce domaine. J’ai nommé, A’salfo (très bon communicateur), lead vocal du groupe Magic System. Cela dit, pour en venir à l’actualité reprise pompeusement sur les sites internet et réseaux sociaux. Mon constat est que les auteurs de ces articles ont pratiquement tous repris les écrits de Hervé Honla, Journaliste culturel burkinabé publié sur la page facebook ‘’ensemble pour un Burkina culturel émergent’’. Laquelle sortie d’Hervé Honla n’a été nullement et aucunement diligentée par GV communication, encore moins les autres relais que l’on a pu lire. Permettez que je ne m’exprime pas sur ces articles. Pour ce qui est donc du faux bond de DJ debordo, jusque là, en tant que Directeur Général de GV communication, je n’ai encore rien dit sur le sujet. Au moment opportun, je le ferai. Pour l’heure, je souhaiterais rassurer tout un chacun de ce que ma présence et celle de deux de mes collaborateurs (Maestro de Balzak et Alain Bolou) en ce moment à Ouaga répond à des vacances. Cinq mois de boulot intense, c’est énorme. Un petit repos s’impose. D’içi fin Juillet, nous rentrerons au bercail. Pour l’heure, Dieu fait grâce. Nous sommes logés à l’hôtel Ouaga Beach dans le quartier Ouaga 2000 à Ouagadougou. Contrairement à ce que j’ai pu lire. Que comme quoi, nous sommes bloqués. Secondo, je voudrais faire la précision suivante : la mise sur pied de GV communication répond à un idéal. Celui de s’essayer à d’autres pans des métiers de la communication. Avec quatre évènements majeurs (concert Soum Bill le 3 mai 2008 au complexe de Yopougon, Arafat au Faso en Décembre 2012, Debordo le 31 mars 2013 au palais de la culture et Debordo au faso ) , notre jeune structure s’est donnée de la visibilité. Puisse ma petite personne en souffrir, mais en 13 ans dans le show biz , je me suis bâti une certaine crédibilité qui ne peut souffrir des désidératas et comportements moyenâgeux des artistes que nous signons. Exit la confiance que m’a témoigné de nombreuses personnalités artistiques et du sponsoring que je ne citerai pas içi. A ce titre, je voudrais bien me rappeler une conversation que j’ai eue en 2006 avec Ernest Adjovi lorsque j’étais en France. Il m’a dit ceci : ‘’Vergès, pour faire la première édition des Koras, j’ai vendu mon champ de canne à sucre en Namibie…’’ C’est dire que pour bâtir de grandes œuvres, l’on consent de grands sacrifices….Je suis Gohi Bi Toa Guillaume Vergès, né le 11 Janvier 1979 dans un petit village perdu de la région de Vavoua. Mon père Zoman Bi Gohi, planteur est mort, il ya deux ans. Ma mère Toa Lou Dry , très âgée, est en ce moment malade. Je n’ai aucun parent dans l’administration ivoirienne. Mon seul soutien, c’est Dieu. Je me suis toujours battu pour me faire une petite place, et ce combat, je le mènerai jusqu’au bout. Je ne me suis jamais considéré comme un enfant de parents pauvres. La pauvreté étant un état d’esprit. Pour moi, il me faut réussir, quoi que cela me coûte. Je me battrai jusqu’au bout. Et avec la grâce de Dieu, en langue moré, ‘’ramonwendé’’, j’y arriverai. Dieu est fidèle…Merci à tous ceux qui nous soutiennent. Et qui savent que les épreuves et expériences forgent. Voilà ma richesse, mes épreuves et expériences. La manne, c’est Dieu qui donne. Il suffit d’y croire. Le combat continue…..Guillaume Vergès
Posted on: Fri, 12 Jul 2013 18:09:40 +0000
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