NBA 2012-2013, QUELLE SAISON !!!!!!!! La NBA (association - TopicsExpress



          

NBA 2012-2013, QUELLE SAISON !!!!!!!! La NBA (association nationale de basketball) est le championnat de référence du basketball à l’échelle planétaire. Il est vrai qu’il y a des divergences entre la NBA et la FIBA (fédération internationale de basketball) sur certains aspects du jeu tels que : le nombre de lancées pour une faute technique, la sanction pour une faute flagrante, la légèreté en ce qui a trait au pivot dans la NBA, le temps pour un quart (12 minutes dans la NBA et 10 minutes pour la FIBA) etc. Mais un fait est certain la NBA est convoitée par tous ceux qui driblaient et qui driblent le ballon orange. Elle est même plus populaire que la FIBA en soit, preuve le nom DAVID JOEL STERN commissionnaire de la NBA se retrouve dans toute les discussions de basketball, mais souvenez-vous du nom du président de la FIBA sans consulter GOOGLE? Je le savais, la réponse est ce qu’elle est. Depuis le jubilé de MJ, la NBA était comme amputée de son agent de marketing. Du point de vue internationale c’était le désintéressement total seuls les mordus continuaient à laisser de la place pour la NBA dans leur train-train quotidien. Plusieurs saisons se sont succédées, certaines sont qualifiées de passables, d’autres passent inaperçues. Sincèrement on se perdait à propos de la NBA, le feeling y était totalement absent. C’était des années de disettes pour la NBA Bang ……. La saison 2012-2013, permettez-moi le saut, je la considère comme étant l’année phare de la NBA après MJ. Désolé je laisserai l’initial ainsi pour dire que ces quelques phrases sont dédiées aux fans de 5 ans au moins de la NBA, d’ailleurs je nommerai les joueurs que par leurs initiaux. Il faut un minimum de temps d’apprentissage et d’observation avant de comprendre ou de faire des commentaires avisés à propos de ce sport si précis et élégant. Cette saison a commencé avec tant de contraste dans les 2 conférences : dans l’OUEST, les fans de LA ont été très déçus, malgré l’acquisition du meilleur center de la ligue, à l’époque, en la personne de DWIGHT H, d’un meneur expérimenté NASH, sans oublier la présence du remplaçant par excellence de MJ, je veux parler de BLACK MAMBA, LA a connu un début de saison difficile, une série de défaites successives, congédiement du coach et j’en passe. Toujours dans la même ville c’est-à-dire à LA, il y a eu une partie qui ne connaissait que des victoires, cohabitation parfaite du fondement même de la création. LAC dominait la conférence avec CP3 qui a rejoint ses rangs après que DAVID S. a personnellement refusé l’achat de ce dernier par les LAKERS. Le duo CP3 et BLAKE G, d’après plusieurs commentateurs et analystes, suffisait amplement pour conduire les LAC à la finale de conférence et pourquoi pas la finale de la NBA, preuve CP3 et BLAKE étaient les plus commandités de la saison. Cependant d’autres ont prédit le contraire, ce qui était notre avis, je veux parler de moi-même et de Kénel Valméus un ami avec qui je discute basketball tous les matins presque régulièrement il y a un lustre. On disait que cette équipe était constituée pour du show business et non pour un titre quelconque, car il y avait trop d’impureté dans leur jeu, trop de fantaisie, on dirait du globetrotter. Après une vingtaine de matches la réalité a fini par avoir gain de cause sur l’euphorie, le superflu. Les SPURS, OKC ont remis les pendules à l’heure juste et ceci jusqu’à la fin de la saison régulière. Dans l’EST on a assisté à une prééminence des KNICKS avec MELO qui finalement a accepté d’obéir aux consignes et à la définition élémentaire du sport qui veut que l’attaque fasse remplir le gymnase et la défense fasse gagner l’équipe. Il a simplifié sa façon de jouer, il marquait, il faisait passé le ballon, il saisissait les occasions de tirs enfin il a gagné en leadership et ca a été payant car il était à la tête du classement des meilleurs marqueurs de la ligue jusqu’à la fin de la saison régulière. Donc candidat potentiel pour le MVP. Après un bon trimestre de primauté des KNICKS dans la conférence EST, les tenants du titre c’est-à-dire les HEATS menés par D WADE, CB et LBJ the king, ont remis la température à la normale jusqu’à finir la saison régulière en tête et ceci avec tant de record : sur l’ensemble des 82 matches les HEATS ont gagné 66 et ont perdu 4 seulement à domicile et 12 sur la route Ils ont fait 27 victoires d’affilées. Loin de moi l’idée de faire l’apologie des HEATS, il n’y a pas assez de place d’ailleurs…….. Faits importants à relater, tout d’abord la performance des PACERS à l’abri des projecteurs des curieux internationaux, ils ont commencé la saison à une vitesse inférieure à la normale puis ils ont fait les corrections nécessaires jusqu’à avoir une place de choix au classement de la conférence EST malgré l’absence de leur leader GRANGER. Ensuite il y avait la blessure de D ROSE, l’un des meilleurs joueurs de la ligue, MVP de la saison 2010-2011. Sa présence aux côtés des BULLS cette saison aurait augmenté le challenge dans la NBA que ce soit au niveau des différentes rencontres mais aussi au niveau des distinctions. Avant la fin de la saison régulière on a eu le match de gala baptisé ALL STARS à HOUSTON le 17 février. Le trophée du meilleur joueur de cette soirée des étoiles était décerné à CP3 qui d’ailleurs était le capitaine de la conférence OUEST et D WADE celui de la conférence EST. Un mois après le match de gala, soit le 20 avril, ont débuté les séries éliminatoires (PLAYOFFS). Force est de faire remarquer qu’il n’y a pas eu beaucoup de surprise parmi les équipes qualifiées mise à part de LA dont l’orgueil fouetté a pu sortir la tête de l’eau pour faire les éliminatoires, ne serait-ce que les quarts de final les LAKERS en sont quand même sortis par la grande porte considérant leur piètre performance tout au long de la saison régulière. A part ca toutes les équipes qualifiées méritaient leurs places aux playoffs. Dans l’OUEST les résultats des matches éliminatoires obéissaient sagement aux pronostics des meilleurs commentateurs et analystes tels que David Aldridge, Kenny Smith, Charles B, MAGIC, SHAQUILLE O. etc et des amateurs tels que vous et moi. Une seule équipe a réussi à fausser un peu les prédictions, ce sont les WARRIORS menés par le jeune CURRY, joueur confirmé, en battant les NUGGETS en quart de final et rendre l’âme de fort belle manière devant les expérimentés SPURS au septième match de semi final. Le GOLDEN S est considéré comme l’équipe émergeante de la ligue cette année, à preuve elle a été accueillie en grande pompe chez elle après leur défaite face aux SPURS. A l’EST c’était tout le contraire, les connaisseurs de la NBA se sont vus se contredire par le principe de l’équilibre : travaillez et vous réussissez. Les PACERS étaient entichés de ce principe, personne ne s’attendait pas à vivre la ténacité, cette vigueur, cet acharnement, cette discipline, ce dévouement dont faisaient preuve les PACERS et ceci pendant toute la saison mais loin de l’admiration du public. Qui aurait imaginé que les PACERS allaient corriger les KNICKS qui pour les savants de la NBA étaient une des favories de la NBA, d’ailleurs ils avaient même du mal à se prononcer sur un éventuel résultat entre les KNICKS et les HEATS en final de conférence et c’étaient ce qu’ils prévoyaient. Définitivement R HIBBERT est le meilleur center de la ligue considérant que T DUNCAN est très proche de la retraite et l’idée de comparer R HIBBERT et D. HOWARD ne tienne plus (fiche technique à l’appui). P GEORGES le joueur qui s’est amélioré le plus pendant ces trois dernières années. FRANK VOGEL le jeune coach qui s’est distingué par sa rhétorique, GRANGER le meilleur joueur de l’équipe qui s’est vu forcé d’accompagner l’équipe presque toute l’année sur le banc à cause d’une blessure pourra sans doute faire partie des cinq de départ l’année prochaine. Si l’effectif de cette équipe est consolidé pour la saison prochaine je vois une meilleure saison 2013-2014 pour INDIANA car elle était la révélation de cette année. Ensuite il y eu ce match HEAT vs BULLS, semi final de conférence, ce fut une catastrophe pour la beauté de la NBA, on s’en souvient et si j’avais le pouvoir j’enlèverais ce math de l’ensemble des matches discutés dans la série des éliminatoires et le placé dans la UFC (ULTIMATE FIGHTING CHAMPIONSHIP ) épargnez-moi cette réflexion qui veut faire croire que ce match était physique, on en a connu des matches physiques dans le temps : les BULLS de MJ vs (NIKCS de EWING, les SUNS de C BARCLAY, ORLANDO de SHAQ et HARDAWAY) LES LAKERS vs ORLANDO de D HOWARD finale 2008 avec un ARTEST qui rendait la vie difficile à BLAKC MAMBA et tant d’autres, jamais on a connu un match aussi bestial joué par des professionnels dans une série de playoff, si vous vous en souvenez je vous laisse de la place pour me citer quelques un. …………………………… Heureusement le Dieu du Basketball avait voulu que les parcours des HEATS et des PACERS se croisaient pour offrir une finale de conférence EST que jusqu’à présent je continue à consulter des dictionnaires pour trouver le maitre mot à fin de qualifier ce match à sa juste valeur, je ne trouve pas. Jusqu’à présent je fais une fixation sur cette série de sept matches. Ce fut un récital ou tout y était : discours de motivation, stratégie d’attaque et de défense, tactique de marquage, les accomplissements personnels tels que les pénétrations, les tirs à trois points, les rebonds, les dunks, les passes, les steals, les picks, les rotations etc les joueurs se respectaient mutuellement et ils se protégeaient. Encore ce fut wo On ne s’y attendait, on était ahuri face à de telle performance de part et d’autre. Enfin la finale de la NBA entre les SPURS, conservateurs, simples, rigoureux, old school et les HEATS modernes, spectaculaires, flexibles. Les HEATS ont rêvé d’un back to back, LBJ voulait se confirmer une fois de plus en accumulant de titre pour non seulement être dans le HALL OF FAME c’est-à-dire le panthéon de la NBA mais aussi s’arranger du côté de IRVING G. BILL RUSSEL, ABDUL J. WILT CHAMBELAIN, LARRY BIRD, MJ, SHAQUILLE’ MAMBA et pourquoi pas KING JAMES qui pour une quatrième fois est sacré MVP de la saison. Les SPURS voyaient leur désir de remporter un cinquième titre à moitié satisfait, MC GRADY se consolait parce que même étant sur le banc il pouvait être pour la première fois sacré champion de la NBA. En sommes la finale était de bon augure, c’était ce à quoi on s’attendait, sept bons matches au meilleur des quatre, on ne pouvait espérer mieux. MIAMI n’a pas du tout démérité du titre mais pour moi la plus grande victoire allait aux fans d’un peu partout à travers le monde. Le spectacle a triomphé, les passionnés de la ligue ont doublé comme du règne de MJ, la NBA dominait toutes les conversations sur l’ensemble des réseaux sociaux tous les jours, même quand j’ai mes réserves sur certains commentaires mais la NBA a reconquis les brebis égarés, regagné l’estime des fans les plus exigeants, a rendu justice aux mordus. Déjà les fans pour la plupart sont nostalgiques et d’autres impatients pour la saison prochaine. Qui l’aurait cru………. 2012-2013 quelle saison!!!!!!!!!
Posted on: Wed, 26 Jun 2013 16:57:02 +0000

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