Néosanté Hebdo "Vaccin Polio: ce qu’on ne vous dit - TopicsExpress



          

Néosanté Hebdo "Vaccin Polio: ce qu’on ne vous dit jamais" Pour justifier la condamnation de parents voulant éviter de vacciner leur enfant, des juges belges ont abdiqué toute indépendance et se sont mués en dociles perroquets de la propagande officielle. Sur la poliomyélite, ses vraies causes et ses faux remèdes, il y avait pourtant matière à porter un jugement éclairé. Voici ce qu’on ne vous dit jamais à propos de la polio et du vaccin censé nous protéger de cette « horrible maladie ». Yves Rasir N.B : cet article du journaliste Michel Manset a été publié dans la revue Néosanté de mai 2013. Comme il a suscité beaucoup d’intérêt chez de jeunes parents, nous avons décidé de le partager largement et gratuitement. N’hésitez pas à le transmettre à vos contacts 1) L’obligation de vacciner n’a plus de sens Admettons la théorie dominante selon laquelle la vaccination antipolio a fait disparaître la maladie : pourquoi, dès lors, faudrait-il continuer à se vacciner ? En Belgique, le dernier cas remonte à 1979. Et l’Europe a été déclarée indemne de polio en 2002. C’est aussi le cas sur tout le continent américain et dans le Pacifique occidental, Chine comprise. Pour justifier la poursuite du programme vaccinal, on nous raconte qu’il faut « éradiquer le virus de la surface de la planète. » Comme si l’homme pouvait éradiquer un virus ! Eliminer une maladie, on veut bien, mais cette fable de l’éradication virale, c’est du n’importe quoi. Les virus sont partout et celui de la polio est toujours bien là. La circulation du virus sauvage demeure la meilleure des protections puisque sa présence dans nos intestins nous immunise naturellement. On nous brandit évidemment la sacro-sainte « couverture vaccinale » : pour protéger la collectivité, il faut contraindre les individus. Or rien ne prouve que les lois liberticides soient impératives. La littérature scientifique montre qu’il n’y a pas de lien direct entre le fait qu’une vaccination soit obligatoire et un meilleur niveau de couverture vaccinale. Pour la polio, celle-ci doit atteindre les 80% . Or ce taux est largement atteint dans des pays (Allemagne, Pays-Bas…) où la vaccination est facultative. Curieusement, on cite maintenant le pourcentage de 90% comme seuil d’efficacité. Mais ça laisse encore à 10% de la population la possibilité de refuser le vaccin sans représenter une (prétendue) menace pour autrui. Il y a de la marge… 2) La vaccination, ça ne marche pas Chaque fois pareil : quand ils relatent des flambées de polio, les médias nous expliquent aussitôt que c’est dû à une vaccination insuffisante. En 2010, par exemple, une épidémie au Tadjikistan été mise sur le compte d’une méfiance islamique envers les vaccins. Or, comme dans toutes les anciennes républiques soviétiques, on y a toujours vacciné à tour de bras. Et l’OMS avait même fièrement déclaré le pays débarrassé du mal. Idem quand ça se passe en Inde ou en Afrique : on nous dit qu’on n’ y vaccine pas assez alors que le Tiers-Monde est en général survacciné grâce à l’Unicef, le Rotary ou la Fondation Bill Gates. En Occident, les rarissimes foyers infectieux sont attribués à des sectes antivaccins, comme en Hollande en 1978 et 1992. Problèmes : la majorité de ses membres étaient dûment vaccinés et aucun cas n’a été relevé parmi les 400.000 personnes non vaccinées pour d’autres motifs que religieux. La vérité, c’est qu’il y a de multiples contre-exemples (Oman, Finlande, Israël…) montrant que la polio redémarre après des campagnes de vaccination ou qu’elle se développe dans des populations vaccinées. Dans deux cas (l’ile de Madère dans les années 60 et l’Albanie dans les années 90), la coïncidence entre l’arrivée du vaccin et le retour de la poliomyélite fut absolument flagrant. 3) On fait mentir les statistiques Selon une croyance entretenue par le dogme médical, la mise au point du vaccin nous a sauvé d’un effroyable fléau qui ravageait le monde entier depuis des siècles. La réalité est toute différente. Les épidémies de polio sont nées dans les pays industrialisés à la fin du 19ème siècle . En France, dans les années 1920, la polio évolue à bas bruit avec moins de 200 cas par an en moyenne. Il y a un gros pic en 1930, deux nouvelles pointes en 1943 et 1946, jusqu’à la grande épidémie de 1957. Arrivé sur le marché l’année précédente, le vaccin est inoculé massivement en 1958, avec le succès que l’on nous vante puisque la courbe amorce sa plongée jusqu’à son plancher actuel. Le hic, c’est qu’il y a un tour de passe de passe : on a escamoté des statistiques la brutale remontée de 1959 ! Dans son livre (1), Michel Georget raconte comment les autorités sanitaires de l’époque ont camouflé ce fiasco vaccinal. Le biologiste souligne aussi le phénomène du « rediagnostic » : avant le vaccin, on voit la polio partout. Après, on ne le voit plus nulle part. Les chiffres en sont forcément faussés. Ce qu’on nous cache aussi, c’est que le taux de létalité a suivi une pente inverse de celle de l’incidence. Autrement dit, plus la polio diminuait, plus sa gravité augmentait. Le nombre de décès parmi les sujets atteints a explosé à partir de 1964, date de l’obligation vaccinale. La suite sur neosante.eu/newsletter/lettre_hebdo/newsLetterHebdo20130710.html
Posted on: Mon, 15 Jul 2013 06:11:43 +0000

Recently Viewed Topics




© 2015