Pour connaître la vie de victoire, il faut apprendre la - TopicsExpress



          

Pour connaître la vie de victoire, il faut apprendre la simplicité. Combien nous lavons compliquée, cette voie ! Des volumes ont été écrits à ce sujet. Des formules sans nombre ont été données ; on nous a dit que le secret était ici ou là. Mais, pour la plupart dentre nous, tout cela est tellement compliqué que, bien que nous le connaissions en théorie, nous ne sommes pas capables de lappliquer à la vie quotidienne. Esaïe 35:8 : “Il y aura là un chemin frayé, une route, Quon appellera la voie sainte; Nul impur ny passera ; elle sera pour eux seuls; Ceux qui la suivront , même les insensés, ne pourront ségarer . ”, nous fournit une image caractéristique de la vie de victoire : « Il y aura là un chemin frayé... quon appellera la voie sainte » Cest limage dun chemin construit au-dessus des plaines marécageuses qui représentent le monde. Bien que ce chemin soit étroit et quil monte, il nest aucun dentre nous qui ne puisse y marcher, car « même les simples ne pourront sy égarer » Les dangers sont nombreux si nous quittons cette voie, mais nous sommes en parfaite sécurité si nous y demeurons, car « sur cette route point de lions ; nulle bête féroce ne la prendra ; nulle ne sy rencontrera » Une seule catégorie sen voit interdire laccès : « Nul impur ny passera » Et cela comprend non seulement le pécheur qui ne connaît pas Christ comme son Sauveur, mais le chrétien qui, tout en le connaissant, continue à demeurer dans des péchés non confessés et non purifiés. Le seul accès à ce chemin frayé est une petite colline sombre et peu engageante, la colline du Calvaire. Elle se gravit sur les mains et les genoux -surtout sur les genoux. Si nous sommes satisfaits de notre vie chrétienne, si nous ne sommes pas possédés dune faim et dune soif irrésistibles darriver jusquà cette voie sainte, nous ne tomberons jamais à genoux et ne pourrons par conséquent jamais gravir la colline. Mais, si nous sommes mécontents, affamés, alors nous trouverons le chemin qui monte. Ne vous hâtez pas : laissez Dieu créer en vous cette soif pour la voie sainte, et susciter dans votre coeur les soupirs de lEsprit. Les simples touristes navancent guère sur ce chemin. « VOUS ME TROUVEREZ QUAND VOUS ME CHERCHEREZ DE TOUT VOTRE COEUR » Au sommet de la colline, gardant laccès à la voie sainte, se dresse la Croix. Sombre et âpre, elle divise le temps et les hommes. Au pied de la Croix se trouve une porte basse, si basse que, pour la franchir, il faut se baisser et ramper. Cest le seul accès à la voie sainte, au chemin frayé sur la hauteur, et il nous faut y passer si nous voulons pénétrer plus avant. Cette porte sappelle la porte des brisés. Seuls ces derniers peuvent y passer. Être brisé, cest pouvoir dire : « Non plus moi, mais Christ » En chacun de nous se trouve un «moi» orgueilleux, au cou raide. Ce cou a commencé à se raidir dans le jardin dEden, où Adam et Eve, qui sétaient toujours soumis à la volonté de Dieu, se rebellèrent, réclamèrent leur indépendance, cherchant à être «comme des dieux». A travers toute la Bible, Dieu reproche à son peuple davoir le cou raide ; or, nous lavons aussi : nous sommes durs et révoltés, susceptibles et facilement offensés. Nous nous irritons ; nous envions, critiquons ; nous refusons de pardonner et gardons rancune. Nous luttons par nous-mêmes et essayons daccomplir par nos propres efforts ce qui devrait être laissé à Dieu. Nous sommes indulgents envers nous-mêmes -et combien souvent cela nous conduit à limpureté ! Toutes ces choses et beaucoup dautres ont leur source dans notre moi orgueilleux. Si Christ le remplaçait vraiment en nous, nous naurions pas ces réactions. Avant que nous puissions pénétrer sur les hauteurs de la voie sainte, il faut que Dieu courbe et brise le moi, de sorte que Christ règne à sa place. Etre brisé, cela signifie navoir plus de droits, ni devant Dieu, ni devant les hommes ; non pas simplement les abandonner, mais reconnaître que nous nen avons point, si ce nest celui de mériter lenfer. Cela signifie ne plus rien posséder en propre, ni temps, ni argent, ni biens, ni position. Pour en arriver là, Dieu nous conduit au pied de la Croix, où Il nous montre ce quest le brisement véritable. Là, nous voyons ces mains et ces pieds blessés, ce visage empreint damour et couronné dépines, et le brisement complet de celui qui a dit : « Que ta volonté soit faite et non la mienne » tandis quil buvait jusquà la lie la coupe amère de nos péchés. Ainsi, cest en regardant à Lui, et en réalisant que ce sont nos péchés qui lont cloué là, que nous serons brisés à notre tour. En contemplant lAmour et le brisement de Dieu mourant à notre place, nos coeurs se fondront, nous voudrons être brisés pour lui, et cette prière deviendra la nôtre : Sauve-moi de moi-même, ô mon Sauveur, Je veux me perdre en toi, Que ce ne soit plus moi, Mais toi, Jésus, qui demeure en mon coeur. our connaître la vie de victoire, il faut apprendre la simplicité. Combien nous lavons compliquée, cette voie ! Des volumes ont été écrits à ce sujet. Des formules sans nombre ont été données ; on nous a dit que le secret était ici ou là. Mais, pour la plupart dentre nous, tout cela est tellement compliqué que, bien que nous le connaissions en théorie, nous ne sommes pas capables de lappliquer à la vie quotidienne. Esaïe 35:8 : “Il y aura là un chemin frayé, une route, Quon appellera la voie sainte; Nul impur ny passera ; elle sera pour eux seuls; Ceux qui la suivront , même les insensés, ne pourront ségarer . ”, nous fournit une image caractéristique de la vie de victoire : « Il y aura là un chemin frayé... quon appellera la voie sainte » Cest limage dun chemin construit au-dessus des plaines marécageuses qui représentent le monde. Bien que ce chemin soit étroit et quil monte, il nest aucun dentre nous qui ne puisse y marcher, car « même les simples ne pourront sy égarer » Les dangers sont nombreux si nous quittons cette voie, mais nous sommes en parfaite sécurité si nous y demeurons, car « sur cette route point de lions ; nulle bête féroce ne la prendra ; nulle ne sy rencontrera » Une seule catégorie sen voit interdire laccès : « Nul impur ny passera » Et cela comprend non seulement le pécheur qui ne connaît pas Christ comme son Sauveur, mais le chrétien qui, tout en le connaissant, continue à demeurer dans des péchés non confessés et non purifiés. Le seul accès à ce chemin frayé est une petite colline sombre et peu engageante, la colline du Calvaire. Elle se gravit sur les mains et les genoux -surtout sur les genoux. Si nous sommes satisfaits de notre vie chrétienne, si nous ne sommes pas possédés dune faim et dune soif irrésistibles darriver jusquà cette voie sainte, nous ne tomberons jamais à genoux et ne pourrons par conséquent jamais gravir la colline. Mais, si nous sommes mécontents, affamés, alors nous trouverons le chemin qui monte. Ne vous hâtez pas : laissez Dieu créer en vous cette soif pour la voie sainte, et susciter dans votre coeur les soupirs de lEsprit. Les simples touristes navancent guère sur ce chemin. « VOUS ME TROUVEREZ QUAND VOUS ME CHERCHEREZ DE TOUT VOTRE COEUR » Au sommet de la colline, gardant laccès à la voie sainte, se dresse la Croix. Sombre et âpre, elle divise le temps et les hommes. Au pied de la Croix se trouve une porte basse, si basse que, pour la franchir, il faut se baisser et ramper. Cest le seul accès à la voie sainte, au chemin frayé sur la hauteur, et il nous faut y passer si nous voulons pénétrer plus avant. Cette porte sappelle la porte des brisés. Seuls ces derniers peuvent y passer. Être brisé, cest pouvoir dire : « Non plus moi, mais Christ » En chacun de nous se trouve un «moi» orgueilleux, au cou raide. Ce cou a commencé à se raidir dans le jardin dEden, où Adam et Eve, qui sétaient toujours soumis à la volonté de Dieu, se rebellèrent, réclamèrent leur indépendance, cherchant à être «comme des dieux». A travers toute la Bible, Dieu reproche à son peuple davoir le cou raide ; or, nous lavons aussi : nous sommes durs et révoltés, susceptibles et facilement offensés. Nous nous irritons ; nous envions, critiquons ; nous refusons de pardonner et gardons rancune. Nous luttons par nous-mêmes et essayons daccomplir par nos propres efforts ce qui devrait être laissé à Dieu. Nous sommes indulgents envers nous-mêmes -et combien souvent cela nous conduit à limpureté ! Toutes ces choses et beaucoup dautres ont leur source dans notre moi orgueilleux. Si Christ le remplaçait vraiment en nous, nous naurions pas ces réactions. Avant que nous puissions pénétrer sur les hauteurs de la voie sainte, il faut que Dieu courbe et brise le moi, de sorte que Christ règne à sa place. Etre brisé, cela signifie navoir plus de droits, ni devant Dieu, ni devant les hommes ; non pas simplement les abandonner, mais reconnaître que nous nen avons point, si ce nest celui de mériter lenfer. Cela signifie ne plus rien posséder en propre, ni temps, ni argent, ni biens, ni position. Pour en arriver là, Dieu nous conduit au pied de la Croix, où Il nous montre ce quest le brisement véritable. Là, nous voyons ces mains et ces pieds blessés, ce visage empreint damour et couronné dépines, et le brisement complet de celui qui a dit : « Que ta volonté soit faite et non la mienne » tandis quil buvait jusquà la lie la coupe amère de nos péchés. Ainsi, cest en regardant à Lui, et en réalisant que ce sont nos péchés qui lont cloué là, que nous serons brisés à notre tour. En contemplant lAmour et le brisement de Dieu mourant à notre place, nos coeurs se fondront, nous voudrons être brisés pour lui, et cette prière deviendra la nôtre : Sauve-moi de moi-même, ô mon Sauveur, Je veux me perdre en toi, Que ce ne soit plus moi, Mais toi, Jésus, qui demeure en mon coeur.
Posted on: Tue, 22 Oct 2013 22:48:48 +0000

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