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RÉVÉLATION : COMPRENDRE LA FACE CACHÉE DE LA CONSTRUCTION DU 2EME PONT SUR LE WOURI J’attends maintenant la vraie lettre, qui sera pour moi la première. Car, les autres ont été des lettres inutiles. Le moment indiqué de parler, d’écrire est actuellement à l’ordre du jour pour la personne qui était en interne le chef de l’un des puissants réseaux à la course cachée à l’alternance du pouvoir au Cameroun avec le soutient des tuto-prédateurs. Un protégé piégé comme les autres concurrents au trône, dans le “terrorisme ” du trésor de guerre par le brigandage de l’argent du peuple. Ils sont en cage pour la plupart et appelé par leurs parrains, « prisonniers politiques ». Pour Monsieur Marafa Hamidou Yaya, il devra prendre son stylo pour éclairer ses compatriotes de sa version des faits sur la construction du 2ème pont sur le Wouri dont il aurait été pendant qu’il était en fonction entouré de son équipe (entre autre, un ministre des travaux publics/député en fuite) les acteurs principaux du marché passé à la France pour presque 120 milliards de F.CFA. Un ouvrage qui connaît la côte part du porte monnaie des camerounais à hauteur de 34 milliards de FCFA. J’accuse le susnommé dans ses ambitions cachées de conquête du pouvoir dont j’ouvre ici la parenthèse pour dire que, pour plaire au tuteur dans le chemin de la course cachée à étoudi, il a sacrifié les siens à la multinationale fruitière du Cameroun, propriétaire des plantations de la production sur le marché internationale de l’une des meilleurs bananes au monde, son compatriote Paul Eric Kingué, ex-maire de Njombé – Penja, qui serait allé en prison pour s’être attaqué aux intérêts de la multinationale française au Cameroun soutient le concerné. Et le même « prisonnier politique », du temps où il était aux affaires, d’avoir mis en difficulté son pays à travers celui qui est le détenteur de la volonté populaire et qui diversifie le partenariat multilatéral par un appel gagnant/gagnant vers d’autres puissances. Deux Secrétaires généraux à la présidence de la république et des ministres de travaux publics n’ont pas pu défaire la combine du marché du 2ème pont sur le Wouri excessivement coûteux pour un ouvrage moindre que la proposition concurrente gigantesque de moins d’un tiers du prix français et que, les camerounais ne déboursait aucun sou en retour. L’offre de la Chine d’une différence de 55 milliards de F.CFA. Difficulté qui aurait amené le Président Paul Biya à la création d’un ministère des marchés publics rattaché directement à la présidence de la république sous son regard pour éviter d’autres surprises désagréables. Raison, le pays à perdu avec la Chine pour l’ouvrage du 2ème pont sur le Wouri, le simple troc de ses matières premières contre les infrastructures. Le partenariat gagnant/gagnant. Alors que la France a récupérée de la main gauche avec les intérêts de 34 milliards de F.CFA l’argent prêté au Cameroun de la main droite pour faire appel après à l’expertise chinoise moins chère et indiscutable dans la construction gigantesque des ouvrages dans le monde. Tel le plus long pont au monde, le pont Georges Washington construit au États-Unis. Il n’y pas match en qualité/prix dans les constructions d’ouvrages dans le monde entre la Chine et les pays occidentaux. Il est mal vu par tous les patriotes Camerounais que la construction de l’ouvrage du deuxième pont sur le Wouri par les entreprises du pays de François Hollande, partenaire traditionnel soit exagérément supérieure à l’offre chinoise qui était appelée à construire le même ouvrage que la France mais à quel prix ? Une différence chinoise de 55 milliards de F.CFA sur l’offre française de 120 milliards. Merde!!! Au Togo par exemple, pour un ouvrage similaire, mais plus grand que celui du Cameroun, la Chine l’a réalisé dix fois moins chère en qualité/prix que ce qui sera construit par le partenaire traditionnel à Douala. A défaut de réussir la prouesse, la France, à travers les jeux troubles de déstabilisation qui ont court dans les pays africains, viens en pyromane éteindre l’incendie et s’installer dans le pays en zone riche en matière première pour piller les richesses en échange d’avoir livrer la guerre aux maquisards/rebelles/terroristes pour asseoir la paix dans le pays. Le Mali ne nous parle-t-il pas à propos ? Pour preuve, depuis que la zone du nord Cameroun a été confié à la Chine pour l’exploration de 7 puits de pétrole dont le partage du butin pétrolier est à égale partie avec le Cameroun, et le 1er meilleur contrat au sud du Sahara, le temps est venu pour la puissance tuto-prédatrice de connaître régulièrement les enlèvements français dans cette zone du nord Cameroun. Tout cela pour justifier plus tard comme au Mali, le prétexte d’installation du stationnement d’une base militaire française pour traquer le terrorisme. Et pourtant la raison est ailleurs : assouvir leur plan de déstabilisation en plaçant au palais leur pion à même de remettre en cause tous les contrats perdus au Cameroun quand une partie du peuple aurait saisi les enjeux de sa souveraineté. Heureusement, que plusieurs « braqueurs » politiques en « col blanc » du trésor de guerre sont aux arrêts et les autres « gangsters » seront démantelés avant la tombée de la nuit sur le Cameroun. Voilà le piège 30tenaire de l’enrichissement illicite des gestionnaires véreux que le patriarche Bantou de Mvomeka à tendu a ses concurrents camarades du parti état, et pions de la France dans la continuité du système néo-colonial d’Aujoulat que lui le prince en faisait partie mais le débride actuellement pour l’intérêt supérieur de son peuple avant de quitter la scène. Dans la prospective géopolitique dans un contexte géostratégique, une autre guerre opposera-t-elle le peuple camerounais contre le camp véreux qui livrera leur pays aux tuto-prédateurs pour prendre le palais du peuple ? Seulement, afin que nul n’en n’ignore, que tous sachent, le peuple a les costauds muscles du bataillon d’intervention rapide – BIR de son côté pour combattre si cela arrivait avec le soutient logistique du G2, la Chine et la Russie avec qui les accords militaires sont déjà au point avec le Cameroun. Puisqu’il est observé de coutume que les officiers supérieurs formés en Europe, notamment en France quittent la barque pour affronter, avec le soutient de la faction rebelle le peuple souverain. Et si la Libye, la Syrie colonisé par la France nous était conté en exemple ? Quelle proximité ! Le Président Paul Biya a joué à fond le match géopolitique du Cameroun dans le système néo -colonial pendant 3 décennies dans le chemin de l’indépendance économique de son pays. Une chose est certaine, les forces patriotiques de l’émergence auront le dessus contre les traitres de la nation. Après la célèbre phrase « le Cameroun n’est pas la chasse gardé d’aucune puissance » prononcé en Allemagne dans sa première mandature, s’en suit celle-ci prononcée au 50tenaire de Bamenda : « après plus de 50 ans d’indépendance politique, ne sommes-nous pas toujours majeurs ? ». Tout le destin du Cameroun est contenu dans les deux phrases citées par l’auteur. Si pour succéder ou avoir la caution de la France pour s’installer au pouvoir en Afrique comme en Côte-d’Ivoire, au Togo, au Burkina Faso, au Gabon au Sénégal au Tchad en échange du renouvellement des accords secret de 1961 du pillage des richesses des pays africains, alors les compatriotes camerounais véreux n’y parviendrons peut-être jamais. Car, Paul Biya a renoncé au renouvellement du lien invisible de l’annexe de l’accord secret du pillage des ressources naturelles et matières premières de son pays. Si à cause des intérêts recherchées en Afrique par la France, le président Nicolas Sarkozy a boudé dans sa mandature sa venue au Cameroun, et pourtant il a été dans les pays voisins pour le business, et de son acharnement de voir tomber l’homme du 6 novembre 1982 pour le seul motif voilé de sa longévité au pouvoir, alors, force est de reconnaître que le peuple français l’a vomis pour sa mauvaise politique intérieure et extérieure. Pendant que son aîné Paul Biya dans la gestion du pouvoir, le rusé Bantou de la forêt équatoriale a rempilé un autre mandat en octobre 2011 et par après consolidé celui-ci à travers la coopération multilatérale, en renforçant ou en faisant entrer dans son pays d’autres puissances à la suite de la France, du Royaume-Unis, de l’Allemagne en Europe, les pays tels : la Chine, la Russie, le Brésil, l’Inde, le Japon, la Turquie,… pour la construction du Cameroun émergent à l’horizon 2035. Oui penser dès maintenant à l’après BIYA qui est proche pour l’historien Achille Mbembé n’est pas une folie intellectuelle de sa part. Parce que l’homme à dit lui-même lors de sa visite en France à une interview accordé aux journalistes qu’il n’était pas éternel. Mais seulement, pour ce faire, mon message pour tous les challengers supposés connus et invisibles, seul le peuple camerounais souverain est la force de l’exercice du pouvoir en tout temps dans l’intérêt supérieur de la nation. En Afrique aujourd’hui, parlant du contrôle du pouvoir, la sagesse et la maturité d’un homme politique dans l’exercice du pouvoir, et un novice, vierge d’expérience, n’est-t-il pas plus vulnérable pour son pays au gré des intérêts des puissances prédatrices dans le pillage des richesses du pays parce que facilement manipulable contrairement à ceux qui cumulent des années d’expériences d’exercice du pouvoir dont les prédateurs brandissent la longévité comme dictature contre leur peuple ? Robert Mugabe, Theodoros Obiang Nguéma, Paul Biya, Denis Sassou Nguesso,… Et si la longévité au pouvoir des dirigeants cités était l’antidote de la contre déstabilisation de leurs pouvoir qui défait le système néo-colonial prédateur qui leur à servi pourtant mais dont-ils ont le courage de débrider maintenant pour l’intérêt des populations avant de quitter le pouvoir ? Puisque tous ces dirigeants savent comment fonctionne la maffia des multinationales qui fait et défait les pouvoirs en Afrique. Brandir leurs casseroles aux yeux du monde entier n’émeut plus leurs peuples avisés car ceux-ci ont compris qu’entre les États, il n’y a pas d’amis mais les intérêts.
Posted on: Sun, 17 Nov 2013 10:14:29 +0000

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