TRACE DES HEBREUX EN ASSYRIE La langue malgache ne dérive pas de - TopicsExpress



          

TRACE DES HEBREUX EN ASSYRIE La langue malgache ne dérive pas de l’arabe qui jusqu’ici était la base des recherches faites par Messieurs Gandidier (Alfred et Guillaume) de 1901 à 1931, reconnue et acceptée par l’Académie malgache. Etant donné que l’assyrien et le chaldéen (l’araméen) sont des langues sémites tout comme l’arabe, il serait regrettable de donner des informations sur notre langue sans connaître ces anciens idiomes. En voici quelques exemples nécessaires et suffisants: le mot malgache « salama » ne vient pas de l’arabe « Es Salam ». En malgache, le mot « salama » veut dire « être sain », par contre le mot « Es Salam » veut dire « Paix » en arabe. Des recherches effectuées dans les restes de la bibliothèque d’Assurbannipal (668-627), dans les textes de déclaration d’Assourubalit, dans les aveux de Charruken nous démontrent que ce mot malgache vient de l’assyrien « salam » « être en bonne santé ». De même, le mot malgache « soratra » ne vient pas de l’arabe « Surat » (= chapitre) mais de l’assyrien « Assurat » qui veut dire « écriture assyrienne ». Le « na » dans « soratana » est un suffixe assyrien. Le mot « soritana » de l’assyrien Assurit qui veut dire la même chose nous démontre la façon dont on écrit le cunéiforme (soritana = faire des traits). Les noms des jours de la semaine sont des noms assyro-hébraïques et n’a rien à voir avec la langue arabe. En voici quelques preuves : - le mot malgache « Alatsinainy », lundi, est assyro-hébraïque « Al Shinaim » (sur le Deux) qui prononcé en chaldéen devient « Ala Shinain », pas de l’arabe « Itnine ». - « Alarobia », mercredi, vient de l’hébreu Al revii prononcé en chaldéen devient Ala Rebii(sur le Quatre). - Zomà, Vendredi, qui est l’abréviation de cette phrase : Zeh Yom Ariv Sabat (Z’YOMA) ; c’est le jour de la préparation du Shabat. - le mot malgache « Sabotsy » dérive du mot Shabat qui veut dire Sept, pas de l’arabe Es Sabt. - le mot chaldéen Taman (lire tamane) veut dire Huit, ce mot est utilisé par les Hébreux montrant qu’ils ont vécu huit ans hors de leur patrie (Tamana en malgache). - le mot malgache « Mikorana » ne vient pas de l’arabe Qur’an (Coran) mais de l’hébreu Mikran (lire mikrane) de Ikra (=appel). Au contraire le mot Coran vient de ce mot hébreu. De toute façon, on dit en malgache « aza manaraby anay » ce qui veut dire « ne nous prenez pas pour arabe ». L’arrivée des Hébreux en Assyrie en 721 av. J.C avait bouleversé les bonnes mœurs et coutumes hébraïques. C’est là qu’ils commençaient à vénérer la Lune, le Sîn-Nanna : Tsinana en malgache. Les Hébreux-malgaches vénérent donc le Sîn Nanna sans le savoir. Le « Kalû-kalû si Hir-Hir », « kalokalo sy hirahira » en malgache sont des mots assyriens, chants et chansons dédiés à la déesse Lune (Dia=déesse, Volana=Lune Diavolana), c’est le « La’lu-Nanna » en malgache « lalonana », grande fête consacrée à la déesse Nanna. La chanson « diavolanana fenomanana » est une chanson assyrienne accompagnée de Hazmar, musique. (Anjomara en malgache). La façon dont les soldats assyriens chantaient pour leurs dieux est conservée dans ce groupe de mot assyro-hébraïque qui est aussi malgache. Mi Ara Miredouna en malgache « Miara miredona ». Redou= « redona » veut dire soldat assyrien. Il est à noter que la façon dont les militaires assyriens attaquaient signifie Aga Redouna= « angaredona » en malgache (attaque en masse). Les historiens et les assyriologues postulent que la société assyrienne qui s’est effondrée en 612 av.J.C par les attaques de Nebopolossar , roi de Babylon, et de Cyaxares , roi des Mèdes, était basée sur le pillage et sur les festivités. Assyrie, « Assour » (enlever), « Asory » (enlever en malgache) ; le dieu des voleurs et protecteurs des voleurs était l’initiateur de ces razzia. Et cette société à ambiance festive est due à Sîn-Nanna. Assour était aussi le nom du pays, ainsi que de sa capitale ; pour différencier le pays de la capitale, les Assyriens mettaient Al (ville) devant ce mot pour donner Al-Assour. Le dicton assyro-hébraïque prouve la véracité du postulat des historiens et des assyriologues. « Al Assour magal et hakol » = Al Assour la capitale assyrienne vole tout, « Alasora mangalatra akoho » en malgache. C’était donc en Assyrie que les hébreux-malgaches ont appris à voler et à piller et à ne penser qu’aux fêtes (fety lava). Le marasme politique du Post-Ile Saint-Laurent en est le reflet. Ces coutumes assyriennes intensifiées et canalisées pour leur fin par les gens sortis de la misère dont Victor Hugo, Napoléon Le Petit, Chateaubriand dans son « sauve qui peut » en parlaient, ont rendu notre nation à vivre dans la débauche, dans l’aliénation où le paupérisme bat son plein. En termes concis, le pillage et les festivités d’Assyrie persistent jusqu’à nos jours à Madagascar surtout à Antananarivo. Les recherches faites par Herder dans « Der Geist der hebräischen Poesie », le « De sacra poesi hebreorum » de Robert Lowth ne sont autres que la littérature malgache conservée dans les « Kabary », dans les chants et chansons, dans les proverbes et dictons, et dans les légendes malgaches (c’est la littérature hébraïque de la bible presque à 100%). Il s’agit du parallélisme soit distique soit antithétique soit constructif. Ceci nous démontre que nous ne sommes pas non plus assyriens, de toute façon les assyriens sont incirconcis. C’est seulement ce peuple venant d’Egypte et d’Assyrie qui connaîtra le nom d’YHWH. C’est une cuisine interne des Hébreux. Lorsque Joseph se présenta à ses frères, il a renvoyé tous les étrangers devant sa face. (Genèse 45 : 1 ): « Joseph ne pouvait plus se tenir devant tous ceux qui l’entouraient. Il s’écria : Faites sortir tout le monde. Et il ne resta personne avec Joseph, quand il se fit connaître à ses frères ». Par ailleurs, les décodages des versets de la bible hébraïque témoignent cette véracité historique en la rendant irréfragable. Ainsi, YHWH combiné avec « mon peuple » Ami en hébreu après décodages jusqu’ici non identifiés nous donne ce qui suit : YHWH devient père et mon peuple devient Malagasy. Et la totalité de ce décodage, c’est la venue de Ieshua, le sauveur chez son peuple. Les Iles prophétisées par Esaïe, fils d’Amots en 740 av. J.C que ce soit en malgache ou en hébreu donnent Madagascar et le mot YHWH et Adonaï nous donnent exactement le mot Malagasy après décodages très compliqués. (Deutéronome 28 :9-10) : « Tu seras pour YHWH un peuple saint, comme il te l’a juré, lorsque tu observeras les commandements d’YHWH, ton Dieu, et que tu marcheras dans ses voies. Tous les peuples verront que tu es appelé du nom d’YHWH, et ils te craindront ». Le « Israël Mamash » du chapitre 2 verset 1 de la Genèse « Vayekhulu hashamaim ve haerets ve kol tsvaem….. » a prophétisé le trajet d’Israël depuis de l’Egypte jusqu’à Madagascar en passant par l’Assyrie.
Posted on: Sat, 06 Jul 2013 23:10:38 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015