Tout peut changer : Pouvoirs VS vouloir. Jespère que vous en - TopicsExpress



          

Tout peut changer : Pouvoirs VS vouloir. Jespère que vous en avez eu en tout cas pour votre redevance ce soir...?...(à 1 heure, 58 minutes et environ 20 secondes)..., fut une des phrases conclusives de lémission dhier diffusée sur une chaîne..., vous aurez devinez..., du service public...! Cette émission s’intitulait Tout peut changer (1), sur F3, et nous a livré un pamphlet de poncifs poussifs..., en matière de fiscalité..., des plus ahurissants...! Cest vrai que pour une foi.., deux heures furent entièrement consacrée à expliquer ce quest limpôt direct et indirect, soit les taxes pour les secondes..., tant sur un plan historique en introduction (référence à la révoltion de 1789)..., que son évolution dans le temps jusquà ce quil est aujourdhui, dans le contexte de tensions sociales cristallisées par et le soit-disant ras le bol fiscal, et de la soit-disant révolte pour lemploi bretonne. Puis Nous fut donner à digérer en comparaison au notre, un modèle économique et social, celui du Danemark qualifié d’État providence, ou tous et touts, dans ce qui fut donné à voir et entendre en tout cas, sont consentants-es et contents-es de payer plus dimpôt... Sans chauvinisme bien sûr. A la fin de cette émission, le temps de la digérer, une impression dinsatisfaction, dincohérence, avec un arrière goût répugnant de fausseté intellectuelle pèse nettement sur lestomac quest cet ensemble complexe de connexions axonales vous et nous permettant de traiter toutes les données que nous dûmes avaler. Et de force puisque comme trop souvent le choix était un plat unique... Quant aux débats animés par des invités - tous et toutes issus-es du privé, pour parler des services publics...? - nous eûmes droit..., avec le devoir de ne pas régurgiter..., à une soupe sur la fiscalité pédagogiquement digestive dirons certains-es des intervenants-es, démagogiquement aigre et malodorante de malhonnêteté répondrais-je avec dautres. Autour dun plateau animé par Laurent Bazin furent réuni les invités-es suivant...: Juliette Méadel / avocate daffaires et docteur en droit,(qui fut la seule a essayer de défendre les services publiques, et lutilité des impôts et taxes), Michel Godet / économiste Manon, Sieraczek-Laporte / avocate fiscaliste, François Lenglet / économiste... Avec ce panel de personnalité en parti légitime et qualifiée pour nous livrer leur pensée concernant ce sujet qui fait polémique actuellement, celui de la somme des impôts, certaines hausses, certains avantages, dits aussi niches fiscales (sémantique usitée certainement pour adoucir la honte de linjustice quune partie delles portent en elle), leurs inégalités inhérentes et croissantes, leurs utilités et leurs devoirs re-distributifs (trop généreux pour certains-es), on aurait pu sattendre à ce quil est une forme déquité dans la représentativité des idéologies politiques qui nous furent vomies... Par exemple, ce qui donne encore ces aigreurs manifestes et ces crampes neuronales insupportables ..., cest davoir constaté que ce plateau était composé dans sa majorité (masculine entre autres) que par des personnes travaillant dans les secteurs privés..., cumulant prestations (et salaires aussi, combien alors...?) télévisuelles et fonctions privées très lucratives. Pour parler des services publics..., étaient-ils-elles les plus a mêmes..., les plus représentatifs, les plus détachées de leurs philosophies politiques..., même si elles se sont défendues, pour la forme..., dembrayer les débats sur ce domaine politique...? Non bien sûr... Pourquoi alors, pour respecter ce devoir déquilibre et déquité dans tout débat se prétendant être démocratique..., ny avait-il autant de personnes issues des services publics que du secteur privé alors...? Avalons ça donc et taisons nous...?, puisquil ny aura certainement aucune réponse... Pourtant la question est dautant plus prégnante que certains-es de ces invités-es poncifs nont eu de cesse de dire, de pousser leurs idées, les justifiant dans la plus grande ambiguïté..., quil nen critiquait pas leur utilité (les services publics et leurs personnels), mais plus leur efficacité daprès le coté masculin des gens présents sur ce plateau. Passons donc. Des chiffres, comme ceux que lon peut trouver sous forme de pattes, de vermicelles quon met dans la soupe des tout petits..., on y eu droit... Estimons nous heureux-ses. Mais ils furent si parcimonieux..., que lon en reste sur notre faim. Autant laspect des impositions sur les particuliers, de leurs compositions différentes, comme limpôt sur le revenu..., les TVA..., les taxes diverses...., leurs montants globaux..., leurs évolutions temporelles..., leurs élévations constantes..., nous fûmes déversés pêle-mêle dans cette soupe..., autant certaines absences, oublis..., en firent rendre transparent le fond du sujet... En effet, nous avoir instruit, nourri la conscience en éclairant notre jugement moral sur lignoble injustice qui existe depuis des décennies dans linégalité des impôts des particuliers entre les riches (au dessus de 5000 Euros limpôt est régressif) et les pauvres, qui devrait être certainement cette parti la justifiable et légitime à parler de raz le bol fiscal (hors manifestation des patrons), et ce au regard des hausses des TVA et créations des nouvelles taxes (ces impôts les plus injustes pour des soit disant socialistes (2))..., en considérant les multiplications des niches fiscales ne bénéficiant quaux gens aisés..., cela était plus que nécessaire..., nutritif intellectuellement. Pédagogiquement essentiel même... Mais là ou la démagogie ne put sempêcher de sinviter et simposer à table..., comme un cheveux dans la soupe, ce fut alors de ne pas avoir honnêtement parler, et à aucun moment..., dune autre régression de l’imposition... Cest celle sur les sociétés (passant de plus de 50 milliard deuros initialement à 36 milliards pour 2014 (3))..., quand celui sur le capital commence à peine, et avec tant de retard (parce que pas rétroactif...?) à être imposable. Pourtant le Crédit dImpôt Compétitivité Emploi, et ce cadeaux de 20 milliards deuros (sans contrepartie, contrôle fiscal, etc rien...!) fut abondamment cité pour vanter un effort de la politique économique de loffre (4), selon les plus néolibéraux présents sur le plateau, donc de tous et toutes. Mais non... Ce fut le silence radio... Labsence de lettre dans soupes aux petits vermicelles... Ce fut plus quun oublie..., mais certainement pas une marque dincompétence.... Une absence bien orchestrée, dont l’ambiguïté quelle laisse planer..., dans un climat social ou les tensions sont telles.., que des patrons se permettent de saccager les biens publics sans être plus inquiétés que ça (judiciairement et fiscalement) par l’État de droit, quand les CRS sont invités à charger des manifestations douvriers-ères syndiqués-es voulant défendre leurs emplois, des chômeurs-euses organisés-es pour occuper Pôle Emploi (pas de loi damnistie sociale (5))..., rend lingestion de cette soupe médiatique du chiffre, nauséeuse, et bien plus douloureuse quil ny parait... Mais lon peut comprendre le pourquoi de cet oublie..., quen y ajoutant un adjuvant, un genre de colorant..., de révélateur, un de ces produits dont on ne connaît pas encore les méfaits sur la santé... Cest quen mettant en lumière cette baisse faramineuse dimpôt sur les sociétés, cet énième cadeaux fait aux entreprises quest le CICE avec les aides publiques entrepreneuriales, soit lassistanat colossal leur étant déjà attribué sans plus dautres contreparties sur la créations demploi en masse, sur laugmentation des salaires, sur la lutte contre la pauvreté et la précarité dans lemploi... Elles sont dun montant situé entre 110 milliards deuros/ans (6)..., et 200 milliards deuros/ans (7) en montrant cela au grand jour..., la puanteur de cette soupe en fait apparaître les arisons des injustices sociales, et fiscales qui sont dune immoralité flagrante... Et en mettant se montant au coté de la baisse de limpôt sur les sociétés on peut comprendre aisément la gène que cette comparaison peut provoquer dans les consciences citoyennes, celles à la fibre social, vraiment humaniste, celles des victimes, des esclaves (pas patronales bien sûr) ressentant légitimement ce raz le bol fiscal, dont les plus de 8,6 millions de pauvres vivant sous le seuil de pauvreté ((8) chiffre de 2010 dont on peut supposer une hausse vertigineuse), les plus de 3,3 millions de chômeurs-euses en catégorie A et tout territoire confondu (9), les autres aussi..., les précaires dans lemploi, et pour faire une juste généralité, les 50% de personnes non imposables pour cause de salaires trop bas, ne font que quexpliquer, démonter leurs seules valeurs, utilités et poids économiques dans un système capitalistique poussé vers son extrême... Ils-elles ces vies humaines ne sont que des variables dajustement des profits des autres, dun système de gestion économique et politique fabricant de linégalité, du chômage de masse, de la pauvreté de manière massive...! Cette injustice fiscale, sociale souligne la forme la plus pure de limmoralité de léconomie spéculative néolibérale qui sinfuse au sein des démocratie et de leurs personnels politiques, institutionnels, et dune société ou la lutte des classes s’affaiblit et laisse la place dominante à une classe sociale moyenne sup... individualiste et ego-centriste. . Si loublie médiatique de cette clique sarrêtait là..., si la froideur de léconomie quils-elles ont essayé dincarner derrière laspect a-moral quest la technocratie comptable, sétait contenté de ce temps de loubli..., on pourrait sestimer heureux de ne pas en être arrivé à loverdose de dégoût que ces injustices fiscales peuvent provoquer..., et se mettre à digérer malgré tout linfamie politique...! Sauf que lhonnêteté intellectuelle oblige à parler aussi, normalement dans ce contexte de tensions sociales, ou des bonnets rouges aux ambitions opaques voudraient voir agglutiner à leurs revendications des travailleurs-euses victimes, et dautres encore, dans cette énumération soporifique de comptes d’apothicaire ou lon jongle avec des recettes fiscales et de dépenses publiques comme avec l’inconsistance des conséquences des erreurs passées..., des trous, des raisons daccroissement de déficits considérables ont était aussi sciemment passé aux oubliettes. Et il semble que ces trous, ces déficits, saccroissent dautant plus quun raz le bol fiscal émanant du patronat se fait entendre avec véhémence et provocation. La raison de cette omission nest rien dautre certainement que la quintessence de limmoralité que des gens aux pouvoirs considérables (dans un rapport de force inchangé depuis des millénaires de maître/esclave) dans nos sociétés dites civilisées..., se permettent davoir, dabuser. Ces mêmes décideurs et possédants-es se voulant donneurs-euses de leçons de morale politique, philosophique... Les autres chiffres non énoncés et pour couse, sont, au total rien que pour lannée 2012, soit sur le compte du dernier quinquennat, quand ce raz le bol patronat n’était pas ressenti alors..., une estimation dun minima de 80 milliards deuros qui ont était fraudés, évadés, optimisés fiscalement (page 20 (10)).... Les années précédentes ce chiffre oscillait entre 40 et 50 milliards deuros/ans. Et lon apprend par ce personnel ayant fait ce rapport rendu à lAssemblée Nationale, qui aurait pu être présent sur ce plateau pour apporter une contradiction démocratique légitime dans ce débat dailleurs..., que lensemble de ces fraudes etc..., sont imputables dans leur grande majorité à un patronat (comme les presque 20 milliards deuros de fraudes aux cotisations sociales patronales pourtant baissées pour les bas salaires, expliquant en parti les déficits tant de la sécurité sociale - la branche retraite réformée dans linjustice donc - que le lUNEDIC, etc), ayant déjà reçu tant de cadeaux fiscaux... Le rôle du politique et dune chaîne du service public dans le consentement citoyen à limpôt est essentiel... Du moins il me semble. Ses mensonges, ses cachotteries, ses reculades de façade, lartifice quil manie avec la langue de bois, les plan com., la diversion, dans linformation quils (média et politique) doivent aux citoyens-es sur les sujets des impôts sont donc le renoncement à ce consentement qui se légitime par la somme des injustices, des inégalités quil, le politique, creuse, et qui apparaissent de plus en plus...! Feindre de les cacher devient alors un travail compliqué, consistant à segmenter linformation, la cloisonner, la dé-contextualiser pour pouvoir isoler et séparer des sujets donnant une vision et compréhension globale de la problématique, afin den neutraliser les aspects les plus délicats, possiblement comme passablement délictueux... Cest ce à quoi lon, nousavons assister hier sur F3, et ce malgré lannonce de 3 émission spéciale sur la 5 sur le sujet de lévasion fiscale... Lon - eux loligarchie et ses fidèles serviteurs politiques et médiatiques - ne peut déconnecter un sujet (la fraude, lévasion, etc) de lautre (les recettes et dépenses de l’État) sans le faire par intérêt précis, obscure. Comme de vouloir en minimiser limpact, en déresponsabiliser les auteurs, et les politiques devant veiller au grain, celui de la bonne tenue des comptes publiques par exemple (rentrées, sorties, utilisations, etc)..., quand on veut sattaquer, supprimer ses sorties et à ses utilisations justement..., aux dépenses de solidarité, aux dépenses de fonctionnement de l’État, de léducation, etc, tout les poncifs classiques du néolibéralisme cherchant à justifier que ces services privatisés, ça nous coûterait moins cher..., on en exclu de la problématique une parti de ses rentrées (entrepreneuriales) qui sont ces faiblesses considérables démontrées du jeu politique... Lutilisation de nos impôts, quel-qu’ils soient, comme les aides sociales apportées aux pauvres, aux chômeurs-euse (ayant cotisés-es, payés-es leur part pour en bénéficier, la plupart du temps pour les cotisations, et tout les temps par les TVA et taxes) qui nont donc que ça pour survivre dans un système capitalistique les excluant (de moins en moins de création demploi à cause dune virtualisation de léconomie, et de la robotisation, automatisation, etc de la production des biens, des services -numériques- etc) au regard de cette aide publique, que lon devrait plutôt nommer économie capitalistique néolibérale dassistanat dentreprises et qui est de plus en plus détournée par les riches, le patronat, pour des intérêts purement privés, financiers, et non général, social, devient plus quindispensable... Plus que linjustice sociale, fiscale, les inégalités, cest limmoralité qui fait perdre tout sens à ce qui nous à fait faire société..., et fait consentir à lacceptation de limpôt. Il est même insupportable dentendre qualifier cette solidarité nationale de trop coûteuse..., généreuse..., quand la spoliation des richesses de l’État obtenue par les impôts, celles produites par la force du travail, la sueur et le sangs de vies humaines..., cotisant et contribuant sans chercher à échapper à leur devoir, sans même en avoir les moyens..., est plus quinjustement faite par une économie de marché administré qui vampirise, fraude comme les pires des mafias, vole à léchelle industrielle ce bien public, mine nos service public..., et veut priver notre avenir de tout espoir collectiviste... Peut-on être content, comme au Danemark, de limage, la qualité intellectuelle, lhonnêteté spirituelle de ce service public qui nous jeta à lesprit son dévolu pour une idéologie politique et économie néolibérale et individualiste...? Quand ce support médiatique est lun des services publics qui devrait incarner le plus lexemplarité de par son audience, sa haute fonction symbolique, qui devrait être celle de linformation impartiale, de léducation et de lémancipation citoyenne, de la culture et contre-culture, politique et autres, montre à quel point son devoir est bafoué, son droit à lindépendance quil doit démonterr aux citoyens-es est à ce point mépriser..., il y a un danger. Doit-on sétonner que les services publics dans leur ensemble, son personnel, son efficacité est une si mauvaise image dans lopinion publique, pour certains-es intéressés-es par sa destruction en tout cas, et courant les plateaux pour le faire entendre, quand lun deux, et pas des moindres, est si mal représenté...? Je n’accuse aucunement le petit personnel de ce service là... Et au contraire je les invite à se ressaisir, à se détacher de lemprise politique, et oligarchique quils subissent pour nous en donner pour nos redevances...! Source : blogs.mediapart.fr/blog/pierro-juillot/051113/tout-peut-changer-pouvoirs-vs-vouloir Lien 1 france3.fr/emission/tout-peut-changer/diffusion-du-04-11-2013-20h45 Lien 2 humanite.fr/social-eco/hausse-de-la-tva-l-impot-le-plus-injuste-549752 Lien 3 mediapart.fr/journal/france/051013/limpot-sur-les-societes-implose-la-taxe-75-aussi Lien 4 https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_de_l%27offre Lien 5 francetvinfo.fr/france/amnistie-sociale-la-proposition-de-loi-front-de-gauche-renvoyee-en-commission-a-l-assemblee_325680.html Lien 6 challenges.fr/economie/20130717.CHA2436/comment-reduire-le-deficit-de-3-milliards-d-euros-en-2014.html Lien 7 sudouest.fr/2013/10/24/3-29-millions-de-sans-emploi-nouveau-record-du-chomage-en-france-1209828-705.php LIen 8 lexpansion.lexpress.fr/economie/les-10-chiffres-chocs-sur-la-pauvrete-en-france_364016.html Lien 9 sudouest.fr/2013/10/24/3-29-millions-de-sans-emploi-nouveau-record-du-chomage-en-france-1209828-705.php Lien 10 solidairesfinancespubliques.fr/gen/cp/dp/dp2013/120122_Rapport_fraude_evasionfiscale.pdf
Posted on: Tue, 05 Nov 2013 13:17:16 +0000

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