UNE ESPÉRANCE VIVANTE « Il y a de l’espérance pour ton avenir ». C’est un paradoxe. L’espérance que nous offrons la bible est à la fois, insécurité totale et assurance totale. Elle ne peut s’appuyer sur rien qui soit visible, mais parce que Dieu en est le dispensateur et le garant, elle est un fait plus sûr qu’aucune certitude humaine. L’espérance est « FERME, ELLE NE TROMPE PAS ». Elle « se repose sur la fidélité de celui qui a fait la promesse. » Notre espérance est liée à notre FOI, et toute les deux reposent sur Dieu. C’est dans la foi que l’espérance tire toute son assurance selon hébreux 11.1 ; « la Foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. » Et c’est dans l’espérance que la foi trouve sa joie et sa paix. Pourquoi est ce que je ne crains pas l’avenir ? Parce que je connais celui qui est mon espérance, Jésus Christ. Il est mort pour moi et ne peut vouloir que mon bien pour l’avenir, l’espérance n’est donc pas une idée, mais une personne vivante a la personne de « JESUS CHRIST » lui qui nous a pris en charge, nous mènera jusqu’au but. Il est important pour nous chrétiens d’avoir souvent dans notre cœur la pensée de notre espérance. Car ce qui n’est pas encore conditionne dans une mesure large ce qui est. Ainsi les choses que nous attendons et comment nous les attendons font en partie ce que nous sommes. Un dicton populaire dit que « que l’espoir fait vivre », et c’est vrai. Jean Paul SARTRE a dit : « je suis ce que je serai ». C’est-à-dire, ce que mon avenir sera m’apportera détermine le sens de ma vie présente. Nous savons que pour le philosophe J.P. SARTRE, tout converge vers le néant final. Il n’est donc pas étonnant que sa vie sur terre et sa philosophe aient été axées sur le néant. Lorsqu’il est mort, sa compagne Simone De BEAUVOIR, à dit devant sa tombe, « tout est fini, je sais qu’il ne reviendra pas vers moi, et que je n’irai pas vers lui…. » Pour moi Fils de Landu Elisabeth et pour vous chrétiens, NOTRE FOI REPOSE SUR L’ESPERANCE DE LA VIE ETERNELLE. Nous sommes dans le sens de l’histoire et y participons. Bien que nos vies soient humbles, nous sommes inclus dans la plénitude de l’accomplissement final ou Dieu sera tout en tous et dans tout, le centre et le but unique de tout. Vivant dans ce but, dans cette espérance, nous gardons une certaine distance face aux réalités terrestre. En principe nous avons une vue juste et lucide de l’essentiel, nous attachant davantage à ce qui subsistera pour l’éternité. Notre espérance nous empêche de nous installer définitivement dans ce monde, tout en y participant comme acteur. Nous n’avons pas ici bas de demeure permanente mais nous cherchons celui qui est avenir. Fils de LANDU Elisabeth
Posted on: Fri, 05 Jul 2013 08:59:28 +0000
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