Une colonie hispanophone à Naples Larrivée à Naples de - TopicsExpress



          

Une colonie hispanophone à Naples Larrivée à Naples de Rafael Benitez, récent vainqueur de lEuropa League avec Chelsea, a été marquée par le départ très lucratif de Cavani au PSG. Avec une manne financière de 64 millions deuros, le technicien espagnol sest entouré dune véritable colonie hispanophone. Ainsi, avec Higuian, Calleron et Albiol (tous trois en provenance du Real Madrid) mais aussi avec larrivée Pepe Reina (ancien portier des Reds de Liverpool), le coach espagnol a étoffé leffectif napolitain pour le rendre aujourdhui plus compétitif. Et le moins que lon puisse dire, cest que la mayonnaise semble bien prendre puisque malgré la récente défaite face à la Roma, le Napoli pointe à la seconde place du Calcio avec déjà 6 succès. Naples a ralenti le rythme Cest dailleurs grâce à cette très bonne entame en championnat que les Napolitains avaient abordé en confiance la première rencontre de Ligue des Champions face à Dortmund. Dans un match à rebondissements, les hommes de Benitez avaient réussi à battre ceux dun Jürgen Klopp fou furieux suite aux décisions contestables de larbitre de la rencontre. Quà cela ne tienne, dans ce groupe de la mort, Naples était bien parti… Mais quelques semaines plus tard, pour son retour en Angleterre, Benitez na pas eu autant de réussite. Battus sèchement par une équipe dArsenal qui surfe sur la vague des succès, les Italiens ont commencé à quelque peu déchanter. Avec deux revers en trois matchs, Naples a semblé montrer ses limites face à de grosses formations, à limage de lOM quelques semaines plus tôt… Une dernière chance Mais cela ne fait pas pour autant de Marseille un favori dans cette troisième rencontre de Ligue des Champions… bien au contraire. Avec deux défaites en deux rencontres, les hommes dElie Baup nont de toute façon plus le choix. Seule une victoire pourrait les relancer quelque peu dans cette compétition. En effet, tout autre résultat condamnerait quasiment déjà les Marseillais à une place de lanterne rouge de ce groupe. Certes, au moment du tirage au sort, on savait quun tel scénario risquait bien de se produire. Mais lenvie de croire à un miracle était bien réelle, comme à chaque fois… Cette envie sest considérablement étiolée en seulement deux matchs. Si les Olympiens ne veulent pas léteindre totalement, ils savent ce quil leur reste à faire : lutter pour ne pas mourir à petit feu dans la plus prestigieuse des coupes dEurope. Aux armes…
Posted on: Tue, 22 Oct 2013 09:50:17 +0000

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