Une odeur épouvantable emplissait l’atmosphère. « Dans la - TopicsExpress



          

Une odeur épouvantable emplissait l’atmosphère. « Dans la jambe gauche de l’enfer, me dit JESUS, il y a de nombreux puits. Ce tunnel communique avec d’autres parties de l’enfer. Mais nous allons tout d’abord passer quelque temps dans la jambe gauche. Ces choses que tu vas voir resteront à jamais gravées dans ta mémoire. Il faut que le monde connaisse la réalité de l’enfer. Beaucoup de pécheurs et même certains parmi mon peuple ne croient pas que l’enfer est une réalité. Je t’ai choisie afin que tu leur révèles ces vérités. Tout ce que je vais te montrer concernant l’enfer est vrai, de même que toutes les autres choses que je vais te montrer ». Jésus lui-même, s’est révélé à moi sous la forme d’une lumière étincelante, plus brillante que le soleil. Et la silhouette d’un homme était au centre de cette lumière. Quelquefois, j’ai vu Jésus tel un homme. Mais d’autre fois, c’est sous une forme d’esprit qu’IL s’est montré. Il prit la parole à nouveau : Mon enfant, lorsque je parle, c’est le Père qui a parlé. Le Père et moi nous sommes un. Rappelle-toi que par-dessus toute autre chose, il faut aimer et se pardonner les uns les autres. Viens, maintenant, suis-moi. Tandis que nous marchions, des esprits mauvais fuyaient la présence du Seigneur. Oh ! mon Dieu, m’écriai-je. Mais qu’est ce qu’il y a encore après çà ? Comme je l’ai déjà dit, j’étais en enfer en possession de tous mes sens. Tous ceux qui sont en enfer sont en possession de toutes leurs facultés. Les miennes fonctionnaient alors à plein. La peur était partout présente. Des dangers difficiles à exprimer menaçaient de toutes parts. Chaque pas que je faisais était plus horrible que le précédent. Des embrasures de portes de la taille de petites fenêtres s’ouvraient et se fermaient rapidement sur le haut du tunnel. Des cris traversaient l’air chaque fois que ces créatures diaboliques passaient au-dessus de nous en direction de ces portes de l’enfer Nous arrivâmes bientôt au bout du tunnel. Je tremblais d’effroi à cause du danger et de ce sentiment de peur qui nous entouraient. J’étais vraiment reconnaissante envers Jésus pour Sa protection. Je remercie Dieu pour la puissante protection qu’IL nous accorde, même au milieu des cratères de l’enfer. Et cependant, malgré ce bouclier protecteur, je ne cessais de me dire intérieurement : « pas ma volonté Père, mais que Ta volonté soit faite ». Je regardai mon corps. Pour la première fois, je remarquai que j’étais sous la forme d’un esprit, et que ma silhouette était identique à elle-même. Je me demandais alors ce qui allait suivre. JESUS et moi nous nous engageâmes sur un sentier qui partait du tunnel. Il avait de larges rebords de terre de chaque côté. A perte de vue, on voyait de partout des cavités remplies de feu. Ces cratères mesuraient environ un mètre vingt de diamètre et un mètre de profondeur. Ils avaient une forme de cuvette. « Il y a beaucoup de cratères comme ceux-ci dans la jambe gauche de l’enfer, me dit JESUS. Viens. Je vais t’en montrer certains. » Je me tins à côté de Lui sur le sentier et je regardais à l’intérieur de l’un de ces trous. Du soufre incrustait les parois du trou et rougeoyait comme du charbon embrasé. Au centre du cratère, il y avait une âme perdue, une âme venue en enfer après sa mort. Du feu s’activa dans le fond du trou puis, soudainement, submergea l’âme perdue. L’instant d’après, le feu semblait mourir sous forme de braises, mais avec un ronflement il se ranimait et balayait de nouveau l’âme tourmentée dans son cratère. Observant mieux, je vis que cette âme perdue était emprisonnée à l’intérieur d’un squelette. Seigneur, ne peux-tu pas les faire sortir ? m’écriai-je à ce spectacle. Quelle horrible vision ! ce pourrait être moi, pensais-je. Seigneur, c’est affreux de voir çà et de savoir que c’est une âme vivante qui se trouve là. J’entendis un cri en provenance du premier cratère. Et je vis là, sous la forme d’un squelette, une âme qui implorait : Jésus, aie pitié de moi ! Seigneur ! m’écriai-je. C’était la voix d’une femme. En la voyant, j’eus le désir de la tirer hors du feu. J’avais le cœur brisé. La forme squelettique d’une femme, enveloppée d’un brouillard sale et gris, s’adressait à JESUS. Sous le choc, j’écoutais ce qu’elle disait. De la chair décomposée pendait en lambeaux de ses os et, quand elle brûlait, tombait dans le fond du trou. A la place de ce qui avait été ses yeux, il n’y avait plus que deux cavités vides. Elle n’avait pas de cheveux. Le feu commençait à ses pieds en petites flammes, puis il grandissait tandis qu’il grimpait sur son corps, puis il la submergeait complètement. La femme semblait brûler en permanence même lorsque les flammes n’étaient que des braises. Du tréfonds de sa personne sortaient des pleurs et des gémissements de désespoir : Seigneur, Seigneur ! Je veux sortir d’ici. Elle restait les bras tendus en direction de Jésus. Je regardais Jésus. Je remarquai une grande tristesse sur Son visage. Mon enfant, me dit Jésus, tu es ici avec moi dans le but de faire connaître au monde que le salaire du péché c’est la mort et que l’enfer est une réalité. Me tournant de nouveau vers la femme, je vis que des vers sortaient des os de son squelette. Le feu ne leur faisait rien. « Elle sait que ces vers sont en elle, me dit JESUS. Elle les sent ». O Dieu, ait pitié d’elle, criai-je, tandis que le feu atteignait son maximum et que l’horrible embrasement l’enveloppait à nouveau. De grands cris et de profonds sanglots secouaient le corps de cette âme. Elle était perdue. Il n’y avait pour elle aucun moyen d’en sortir. Jésus, pourquoi est-elle ici ? demandai-je d’une voix faible, car j’étais effrayée. « Viens me dit JESUS ». Le sentier sur lequel nous nous trouvions faisait comme un circuit. Il serpentait entre les cratères à perte de vue. Les pleurs de ces « morts vivants » mêlés à des gémissements et à des cris atroces, parvenaient à mes oreilles de toutes parts. Il n’y avait aucun moment de répit. L’odeur de la mort et de la chair en décomposition emplissait l’air très lourdement. Nous nous dirigeâmes jusqu’au cratère suivant. A l’intérieur de celui-ci, de dimension semblable au précédent, il y avait un autre être squelettique. La voix d’un homme se fit entendre : Seigneur, aie pitié de moi ! Ce n’était que lorsque ces êtres s’exprimaient que je pouvais savoir s’il s’agissait d’un homme ou d’une femme. Des sanglots plaintifs s’échappaient de cet homme : Je suis vraiment désolé, Jésus. Pardonne-moi. Sors-moi d’ici. Je suis dans ce lieu de tourments depuis des années. Je t’en supplie, fais-moi sortir ! De forts sanglots secouaient sa carcasse squelettique. S’il te plaît, Jésus, fais-moi sortir, suppliait-il. Me tournant vers Jésus, je m’aperçus alors qu’IL pleurait aussi. Levant la tête, Il dit : Père, Mon Père, aie pitié. Seigneur Jésus, cria l’homme, n’ai-je pas assez souffert pour mes péchés ? Cela fait quarante ans que je suis là, depuis ma mort. JESUS répondit : « Il est écrit : le juste vivra par la foi. Tous les moqueurs et les incrédules auront leur part dans l’étang de feu. Tu n’as pas voulu croire à la vérité. Plusieurs fois mon peuple a été envoyé vers toi pour t’indiquer le chemin, mais tu n’as pas voulu l’écouter. Tu as ri de lui et tu as refusé l’Evangile. Bien que je sois mort pour toi sur une croix, tu t’es moqué de moi et tu n’as pas voulu te repentir de tes péchés. Mon père t’a donné de nombreuses occasions de pouvoir être sauvé. Si seulement tu avais écouté ». JESUS pleurait. Je sais, Seigneur, continua l’homme, je sais. Mais, maintenant je me repens. « Il est trop tard, dit JESUS. Le jugement est tombé ». Seigneur, poursuivit l’homme, certains membres de ma famille vont venir ici, car eux non plus ne veulent pas se repentir. S’il te plaît, Seigneur, laisse-moi aller leur dire qu’ils doivent se repentir de leurs péchés pendant qu’ils sont encore sur la terre. Je ne veux pas qu’ils viennent ici. « Ils ont des prédicateurs, répondit JESUS, des gens qui les enseignent, des anciens. Tous leur apportent l’Evangile. Ils vont le leur dire. Ils ont aussi l’avantage d’avoir des systèmes modernes de communication et toutes sortes de moyens d’apprendre à me connaître. J’ai envoyé vers eux des ouvriers afin qu’ils croient et qu’ils soient sauvés. S’ils ne croient pas lorsqu’ils entendent l’Evangile, ils ne seront pas convaincus non plus si quelqu’un ressuscite des morts ». A ces mots, l’homme devint très fâché et commença à jurer. Des mots blasphématoires lui échappèrent. Je le regardai avec horreur tandis que les flammes s’élevaient et que sa chair morte décomposée commençait à brûler et à tomber en lambeaux. A l’intérieur de cette carapace de mort, je vis son âme ; elle ressemblait à un brouillard sale et gris et elle remplissait son squelette. Je me tournai vers Jésus et m’écriai : Seigneur, c’est horrible ! L’enfer est une réalité, me dit Jésus. Le jugement est une réalité et je les aime tant, mon enfant. Mais ceci n’est que le commencement des choses effroyables que je dois te montrer ; il y a bien plus encore à voir. Va dire au monde pour moi que l’enfer existe, que les hommes et les femmes doivent se repentir de leurs péchés. Viens, suis-moi. Il nous faut continuer ». Dans le cratère suivant, il y avait la toute petite carcasse d’une femme qui semblait avoir environ quatre-vingts ans. Je ne peux par dire comment j’ai su son âge, mais je l’ai su. Sa peau était arrachée de ses os par la flamme continuelle. Seul demeurait le squelette avec une âme grisâtre à l’intérieur. J’observais le feu qui la consumait. Bientôt il ne resta plus que les os et les vers grouillant à l’intérieur que le feu ne pouvait pas brûler. Seigneur, c’est terrible ! m’écriai-je. Je ne sais pas si je vais pouvoir aller plus loin. C’est affreux au-delà de tout ce qu’on peut imaginer ! Aussi loin que mes yeux pouvaient voir, des âmes étaient en train de brûler dans ces cratères embrasés. « Mon enfant, c’est pour cela qu tu es ici, me dit JESUS. Tu dois connaître et dire la vérité à propos de l’enfer. Le ciel est une réalité. L’enfer aussi est une réalité. Viens, nous devons continuer ». Je me retournai vers la femme. Ses pleurs étaient d’une telle tristesse… Alors que je l’observais, elle joignit ses mains décharnées comme pour prier. Je ne pus m’empêcher de pleurer. J’étais en esprit, mais je pleurais. Je savais que les gens en enfer ressentaient toutes ces choses également. JESUS connaissait mes pensées : « Oui, mon enfant, c’est bien vrai. Quand les gens viennent ici, ils ont les mêmes sensations et les mêmes pensées que lorsqu’ils étaient sur la terre. Ils se souviennent de leurs familles et de leurs amis, et de toutes les fois où ils ont eu une chance de se repentir mais ont refusé de le faire. Ils gardent toujours toute leur mémoire. Si seulement ils avaient cru à l’Evangile et s’étaient repentis avant qu’il ne soit trop tard… ». Je tournai à nouveau mes regards vers cette vieille femme, et je m’aperçus qu’elle n’avait qu’une seule jambe. Et il semblait que des trous étaient creusés dans les os de sa hanche. Qu’est-ce-que c’est, Jésus, demandai-je ? « Mon enfant, quand elle était sur terre, elle avait un cancer. Elle était très éprouvée. La chirurgie s’est employée à sauver sa vie. Au fil des années elle est devenue une personne amère. Plusieurs parmi mon peuple sont allés prier pour elle et lui dire que je pouvais la guérir. Elle disait : c’est Dieu qui m’a fait çà. Elle ne voulait pas se repentir et croire à l’Evangile. Elle m’a même connu un certain temps, mais elle a commencé à me haïr. Elle disait qu’elle n’avait pas besoin de Dieu et qu’elle ne voulait pas de ma guérison. Encore et encore, je l’ai suppliée de croire que je voulais l’aider, la guérir et la bénir. Elle m’a tourné le dos et m’a injurié. Elle disait qu’elle n’avait pas besoin de moi. Mon Esprit l’a suppliée de se tourner vers moi. Et même lorsqu’elle m’a tourné le dos, j’ai encore essayé de l’attirer à moi par mon Esprit. Mais elle ne voulait pas écouter. A la fin elle est morte et est venue ici. ». La vieille femme implorait Jésus : Seigneur Jésus, pardonne moi maintenant. Je regrette de ne pas m’être repentie quand j’étais encore sur terre Elle criait à Jésus avec de gros sanglots : Si seulement je m’étais repentie avant qu’il ne soit trop tard. Seigneur, aide moi à sortir d’ici ! Je te servirai, je serai aimable. Est-ce que je n’ai pas assez souffert ? Pourquoi ai-je attendu qu’il soit trop tard ? Oh pourquoi ai-je attendu jusqu’à ce que Ton Esprit cesse de lutter contre moi ? « Tu as eu occasion sur occasion pour te repentir et me servir », lui répondit Jésus. La tristesse se lisait sur tout le visage de Jésus tandis que nous marchions. Alors que j’observais encore la vieille femme qui pleurait, je demandais : Seigneur, qu’es-ce qu’il y a encore plus loin ? Je pouvais ressentir la peur tout autour de nous. La peine, les lamentations de douleur et une atmosphère de mort régnaient partout. Le cœur plein de chagrin et de pitié, nous avançâmes, JESUS et moi, jusqu’au cratère suivant. C’est uniquement par Sa force que je pouvais avancer. A une distance conséquente, je pouvais encore entendre les pleurs de repentance et les suppliques de la vieille femme qui implorait le pardon. Je pensais : si seulement j’avais la possibilité de faire quelque choses pour l’aider. Pécheurs, je vous en supplie : n’attendez pas le moment où l’Esprit de Dieu cessera de lutter contre vous ! Dans le trou suivant se trouvait une femme. Elle était à genoux comme si elle cherchait quelque chose. Elle avait la forme d’un squelette criblé de trous. On voyait ses os par transparence et sa robe déchirée était en feu. Sa tête était chauve et il n’y avait que des trous à l’endroit de son nez et de ses yeux. De petites braises se consumaient autour de ses pieds, là où elle s’était agenouillée. Elle s’agrippait aux parois du cratère de soufre. Le feu s’accrochait à ses mains et de la chair morte ne cessait de tomber toutes les fois qu’elle griffait le mur. D’énormes sanglots la secouaient : Ô Seigneur ! ô Seigneur ! gémissait-elle. Je veux sortir ! Alors que nous l’observions, elle parvint finalement à atteindre le bord du cratère à l’aide de ses pieds. Je pensais qu’elle allait réussir à s’échapper, quand soudain, un énorme démon avec de grosses ailes qui semblaient cassées à leur sommet et pendantes le long de ses flancs, accourut jusqu’à elle. Il était de couleur marron foncé et avait des poils sur tout son corps de grande taille. Ses yeux étaient profondément enfoncés dans sa face et il avait la corpulence d’un énorme grizzly. Le démon se précipita sur la femme et la repoussa très brutalement au fond du trou, au milieu du feu. Je fus horrifiée de la voir tomber. Je me sentis brisée pour elle. J’aurais voulu la prendre dans mes bras, la soutenir et demander à Dieu de la guérir et de la sortir de là, mais JESUS qui connaissait mes pensées me dit : « Mon enfant, le jugement a été prononcé. Dieu a parlé. Quand elle était encore enfant, je l’ai appelée maintes fois à me servir. Quand elle a eu seize ans, je suis venu vers elle et je lui ai dit : je t’aime. Donne-moi ta vie et suis-moi car je te destine à un service particulier. Toute sa vie, je l’ai appelée. Mais elle ne voulait pas écouter. Elle disait : un jour, je Te servirai. Je n’ai pas de temps pour Toi maintenant. Je n’ai pas le temps, pas le temps. Je veux profiter de la vie. Je n’ai pas le temps, pas le temps de te servir Jésus. Demain, je le ferai. Cependant ce lendemain n’est jamais venu. Elle a attendu jusqu’à ce qu’il soit trop tard. ». La femme suppliait Jésus : Mon âme est vraiment dans les tourments. Il n’y a pas moyen d’en sortir. Je reconnais que j’ai préféré le monde plutôt que Toi, Seigneur. J’ai désiré les richesses, la renommée et la fortune, et je les ai obtenues. Je pouvais acheter tout ce que je voulais. J’étais mon propre patron. J’étais la femme la plus élégante de mon époque, la mieux habillée. J’avais la richesse, le succès et la gloire. Mais j’ai découvert que je n’ai pas pu les emporter avec moi dans la mort. O Seigneur, l’enfer est horrible. Je n’ai de repos ni jour, ni nuit. Je suis constamment dans la peine et les tourments. Aide-moi, Seigneur ! La femme regardait à Jésus avec tant de supplications. Mon doux Seigneur ! poursuivit-elle. Si seulement je t’avais écouté. Je vais le regretter à jamais. J’avais prévu de te servir un jour, quand j’aurais été prête. Je pensais que tu serais toujours là pour moi. Mais combien je me suis trompée. J’étais l’une des femmes de mon temps les plus sollicitées pour ma beauté. Je savais que Dieu m’appelait à me repentir. Toute ma vie, Il m’a attirée avec des liens d’amour, et je pensais que je pouvais me servir de Dieu comme on se sert de n’importe qui. Je pensais qu’il serait toujours disponible. Oh ! oui, je me suis servie de Dieu. Il a tout essayé pour m’amener à le servir, bien que sans cesse je pensais que ne n’avais pas besoin de lui. Comme je me trompais… Car satan a commencé à se servir de moi. Et j’ai commencé à le servir de plus en plus. A la fin, je l’ai préféré à Dieu. J’aimais le péché et je ne voulais pas me tourner vers Dieu. Satan a utilisé ma beauté et mon argent ; toutesmes pensées se sont polarisées sur ce qu’il allait faire pour me donner plus de puissance. Malgré cela, Dieu a continué de m’attirer à Lui. Mais je remettais toujours au lendemain ou au jour suivant ma décision. Et un jour, alors que je roulais en voiture, mon chauffeur a heurté une maison et j’ai été tuée. Seigneur, je t’en prie, laisse moi sortir ! Pendant qu’elle parlait, ses mains et ses bras décharnés se tendaient vers JESUS et les flammes continuaient à la brûler. « Le jugement est tombé, dit JESUS ». Des larmes coulaient le long des joues du Seigneur tandis que nous nous déplacions vers le cratère suivant. Et moi je pleurais intérieurement devant les horreurs de l’enfer. Oh ! Seigneur m’écriai-je. Quelle réalité sont ces tourments. Quand une âme arrive en enfer, il n’y a pour elle plus aucune espérance, plus aucune vie, plus aucun amour. Quelle réalité que l’enfer. Je me disais : aucune issue. Cette personne va devoir brûler pour l’éternité dans ces flammes…
Posted on: Fri, 20 Sep 2013 07:49:27 +0000

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