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VOICI L HISTOIRE OCCULTEE DE LA PRISE DES ETATS DU VATICAN PAR LES FRANC MACONS DU GODI, SOUTENU PAR LE GODF; SACHEZ BIEN CECI PUISQU ON NE VOUS LA PAS DIT A LECOLE: LA GUERRE DE 1870 NA ETE DECLANCHEE PAR LES MACONS FRANCAIS QUE DANS CE BUT, ET LARMEE FRANCAISE A VENDU SCIEMMENT LA FRANCE A LENNEMI POUR ATTEINDRE CE BUT, DE METTRE FIN A LA PAPAUTE; 1864: Cavour déclare, devant le Parlement, quil considère « nécessaire Rome au sein de lItalie», et que, tôt ou tard, Rome sera la capitale, mais que cela nécessite le consentement de la France. Il espère que toute lEurope est convaincue de limportance de la séparation entre le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel, et il réaffirme donc le principe dune «Église libre dans un État libre» 1. Déjà en avril, Cavour écrit au prince Napoléon pour convaincre lEmpereur de retirer de Rome la garnison française. Il reçoit du prince un projet de convention : « Entre lItalie et la France, sans lintervention de la cour de Rome, serait stipulé ce qui suit: La France, ayant mis le Saint Père à labri de toute intervention étrangère, retirerait de Rome ses troupes, au cours dun espace de temps déterminé, de 15 jours ou au plus un mois. LItalie prendrait lengagement de ne pas assaillir et aussi dempêcher, de toutes les façons et de quiconque, toute agression contre le territoire resté en possession du Saint Père. Le gouvernement italien sinterdirait toute plainte contre lorganisation dune armée pontificale, même constituée de volontaires catholiques étrangers, à condition quelle ne dépasse pas leffectif de 10 000 soldats et quelle ne dégénéra pas un moyen dattaque du royaume dItalie. LItalie se déclarerait prête à négocier directement avec le gouvernement romain pour prendre à sa charge la part proportionnelle qui lui revenait des anciens États de lÉglise. » — in Cadorna, La liberazione 1. Le comte Cavour espère que le Pape céde face la poussée unitaire et le soutien de la population romaine. La convention nest pas conclue en raison de la mort de Cavour le 6 juin 1861. Bettino Ricasoli, successeur de Cavour, cherche à rouvrir les négociations avec le cardinal Antonelli dès le 10 septembre 1861, par une note dans laquelle il fait appel à «lesprit et au cœur du Saint Père, afin que, par son savoir et sa bonté, il consente à un accord qui, laissant intact les droits de la nation, pourvoirait efficacement à la dignité et à la grandeur de lÉglise» 1. Encore une fois Antonelli et Pie IX se montrent réticents. Lambassadeur français à Rome écrit à son ministre que le cardinal lui a dit: « Quant à pactiser avec les spoliateurs, nous ne le ferons jamais1. » À partir de ce moment, les activités diplomatiques sont dans une impasse alors que la pression pour une action est forte de la part de Garibaldi et de Mazzini. Il y a une série de tentatives dont celle la plus connue se termine à Aspromonte. Caricature qui montre lopposition entre la France et lItalie. Au début de 1863, le gouvernement de Minghetti reprend les négociations avec Napoléon III, mais après de tels évènements, Napoléon exige de plus grandes garanties. La convention de Septembre est signée qui prévoit le retrait des troupes françaises en échange dun engagement de la part de lItalie à ne pas envahir les États pontificaux. À titre de garantie de la part des autorités italiennes, la France demande le transfert de la capitale de Turin à Florence. Les deux parties expriment toutefois un certain nombre de réserves; pour lItalie, une totale liberté daction dans le cas où un foyer révolutionnaire éclate à Rome, conditions acceptées par la France qui reconnait de cette façon les droits de lItalie sur Rome 1. En 1867 dans le cadre de la Campagne de lAgro Romano pour la libération de Rome, la bataille de Mentana a lieu qui oppose les Chemises rouges de Giuseppe Garibaldi aux troupes pontificales et françaises. Les troupes italiennes, en vertu de la convention, ne franchissent pas les frontières des États pontificaux alors que les troupes françaises, contrairement aux dispositions de laccord, restent à Rome et le ministre français Eugène Rouher déclare devant le parlement français « que lItalie peut faire sans Rome; nous déclarons quelle ne semparera jamais de cette ville. La France ne supportera jamais cette violence faite à son honneur et au catholicisme1. » En réponse, le 9 décembre, Giovanni Lanza, dans son discours dinvestiture de la présidence de la chambre des députés, déclare que « nous sommes unanimes à vouloir la réalisation de lunité nationale, et Rome, tôt ou tard, pour la nécessité des choses et pour la raison des temps, devra être la capitale de lItalie1. » Le 14 juillet 1870 le gouvernement de Napoléon III déclare la guerre à la Prusse. Loccupation de Rome est une des causes qui empêche lalliance militaire entre la France et lItalie. Le 24 novembre 1876, Jérôme Napoléon Bonaparte II dans un discours à Assemblée nationale déclare que la conservation du pouvoir temporel avait coûté à la France lAlsace et la Lorraine 1. La même année, le Pape organise à Rome un concile œcuménique qui doit résoudre le problème de linfaillibilité pontificale. Cette position est un sujet de préoccupation, de crainte que cela ne serve au Pape pour simmiscer dans les affaires politiques italiennes1. Le 2 août, la France, afin de renouer des relations amicales avec lItalie, prévient le gouvernement italien quelle est prête à rétablir la Convention de 1864 et à retirer les troupes de Rome. Le 20 août, à la Chambre des députés italiens, certains membres, y compris Benedetto Cairoli et Giovanni Nicotera, demandent à ce que la convention du 15 septembre soit dénoncée et que lon marche sur Rome 1. La réponse du gouvernement rappelle que la convention exclut les « cas particuliers » et que cette clause a permis à Napoléon III dintervenir à Mentana. Pendant ce temps, toutefois, les Français abandonnent Rome. Encore une fois la diplomatie italienne sactive afin de demander une solution à la question romaine. Limpératrice Eugénie, qui occupe à lépoque les fonctions de régent, envoie le navire de guerre Orénoque prendre position face de Civitavecchia. Mais les évènements de la guerre franco-prussienne saggravent pour les Français, et Napoléon III demande le soutien de lItalie qui, compte tenu de létat des relations, le lui refuse. Le 4 septembre 1870 le Second Empire tombe et la Troisième République est proclamée en France. Ce bouleversement ouvre de fait, à lItalie, la route de Rome.
Posted on: Fri, 08 Nov 2013 14:39:05 +0000

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