je vous avais promis de mettre la lettre intégrale de mon ami alioua Réponse du «retraité limogé» Certains points et certaines dates contenus dans votre article, publié à la page 29 de votre parution du 22 octobre, sous le titre «Tassili recrute un retraité limogé», me laissent croire, à ma profonde surprise, que je suis visé par ce brûlot chargé à ras bord de calomnies, de mensonges, de diffamations et d’inexactitudes hautement tendancieuses. A ce titre, je souhaiterais que la rédaction d’El watan, insère ma réponse, quand bien même, la seule réponse, culturellement parlant, face à ce scandaleux article rédigé par un inconnu surgi de nulle part, dans un esprit de «blitzkrieg», incite davantage à l’insulte, qu’au discours sur la méthode. Cependant, je ne cèderai pas à notre «culturellement correct» devant ce déferlement d’agressivité à mon égard, en dépit du fait que cette animosité absolument gratuite, se conjuguant à la soudaineté, s’assimile, de mon point de vue, à un acte terroriste ! Et, pour comble, je remarque que pour commettre son forfait, ce sinistre snipper, semble si sûr de sa toute-puissance sur le retraité que je suis, qu’il utilise ses «petites introductions» pour squatter l’espace d’un journal, dont le sérieux, l’authenticité et la crédibilité dépassent les frontières du pays, juste pour régler ses «petits comptes personnels» et donner libre cours à son inexplicable haine à mon endroit. Faisant feu de tout bois, il va jusqu’à s’ériger, le temps d’un article, en défenseur acharné de la circulaire du premier Ministre relative au recrutement des retraités ! Histoire de faire pression sur le PDG de Tassili Airlines, afin qu’il ne déroge pas à la circulaire ! Rien que ça ! Je dois représenter un symbole d’une énorme charge émotionnelle qui domine ses délires, pour qu’il aille jusqu’à vouloir «utiliser» le Chef du Gouvernement, pour empêcher la signature d’un contrat de travail. Heureusement que la guerre d’Algérie n’est qu’un lointain cauchemar, car je devine, déjà, de quel côté aurait basculé, ce lâche pantouflard psychotique, pour qui la fin justifie tous les moyens haïssables qu’il est en train d’employer. Pour pas grand-chose, en fait. En effet, je suis en retraite, mais pour ce vaseux résidu des GIA, l’idée de me savoir susceptible de reprendre une activité professionnelle, même de consulting, doit exacerber quelques mystérieuses pulsions dans sa tête, au point où sa détermination à me nuire, ne lui fait même pas évaluer le risque de jeter le discrédit sur la gestion de deux grandes Compagnies Nationales, et, en passant, et de distiller de la suspicion sur la moralité du corps PNC. Même la profusion de dates et les détails émaillant son bidouillage littéraire, relèvent d’une suspecte omniscience, qui s’explique par sa volonté de donner plus de vraisemblance à ses dénigrements et conforter la vindicte à laquelle, ce «néo Baa’bouche», rêve de me livrer. Stupéfiant déferlement de malveillance qui n’a, donc, d’autre mobile que celui d’empêcher la signature de mon contrat de travail ! Je suis d’autant plus perplexe que, s’il est aisé de deviner son objectif, je ne parviens pas à expliquer les raisons qui ont amené ce malade mental, à commettre une telle agression et proférer autant de mensonges et de calomnies. Pour ma part, je porte à la connaissance de l’opinion publique, que je détiens les preuves contredisant toutes ses allégations. Et juste pour indiquer à ce méprisable calomniateur, que son omniscience est du Pipeau ! Pour ce faire, je m’en vais lui raconter, qu’au terme de ma carrière au sein de cette Formidable Entreprise AIR ALGERIE, (véritable école de la vie, qui m’a donné tant de bonheur et qui m’a tant appris), j’ai eu droit, au cours d’une réception, organisée un certain 02 Août, par la direction générale, à une distinction officielle qui me fut remise, des mains du PDG, en signe de reconnaissance pour l’engagement, le dévouement, la loyauté et les compétences dont j’ai eu à faire preuve tout au long des 37 ans que dura ma carrière. Et ce, en présence de plusieurs centaines de collègues. Ca, c’est du vérifiable, pas des rumeurs et de la calomnie ! Où est, donc, le malpropre limogé pour clientélisme par BOUABDALLAH ? Où est celui qui aurait été écarté, puis mis en retraite anticipée pour avoir soutenu le délinquant que décrit ce perfide rédacteur de lettres anonymes ? Si maintenant, à 62 ans, le savoir-faire professionnel, que j’ai accumulé, peut servir l’intérêt d’une Compagnie Algérienne, ce ne serait, surement pas, monsieur le premier Ministre, qui s’opposerait à ce que je le mette au service de jeunes Algériens. Sous d’autres cieux, on appelle cela un REX. Mais, ton égoïste insignifiance ne te permet pas de saisir mes motivations. Quoiqu’il en soit, ce castré qui croit que sa plume est suffisante pour lui permettre de jouer au gros bras, ne sais pas encore, que son attaque totalement injustifiée contre moi, ne restera pas sans conséquences. Bien sûr que non. Et sans jouer au moralisateur, je dirais qu’il y a un moment dans la vie de chacun, où il faut arrêter de laisser faire et dire n’importe quoi autour de soi. Surtout quand ceux, souvent connus pour prendre leurs rêves pour de la réalité, se lancent, sans retenue aucune, pour aucune autre raison que celle de nous distraire, dans de sournois dénigrements contre autrui. Des salves de méchancetés ne s’appuyant, dans la majorité des cas, sur aucun fait avéré, suscitées uniquement sur une inspiration malsaine présentées avec plus ou moins de talent. Des histoires basées sur du vent, de mauvaises interprétations ou de vils racontars, balancées avec aplomb. Que de fois ai-je vu ces manipulateurs de l’ombre, une fois confondus, perdre jusqu’à la dernière étincelle de la superbe flamboyance que leur conférait l’anonymat, et pitoyablement implorer… pardon. Le Pardon, un mot dont ils ont perdu le sens, et qu’ils n’ont jamais été en mesure d’accorder à leurs victimes, sur le moment où ils déchaînaient sur eux les tourments de l’atteinte à leur vie intime. Ce passage se veut prémonitoire, il annonce ce qui va bientôt arriver à cet excrémentiel calomniateur. Un de plus. Le dernier en date. Enfin, je termine, mais non sans promettre de te retrouver, n’challah, devant la justice Algérienne. Je saurais enfin qui tu es. Et de ton côté tu devras lever bien haut ton front ceint d’infamie, pour me regarder dans les yeux ! Le Sous Directeur cité dans l’article.
Posted on: Tue, 05 Nov 2013 23:20:34 +0000
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