matière : fr les 3 premers centres ladmina Afèff Le partage - TopicsExpress



          

matière : fr les 3 premers centres ladmina Afèff Le partage est une action spontanée qui peut provoquer à la fois des conséquences positives et négatives. Sur le côté négatif, l’homme peut partager avec un groupe méchant pour atteindre un objectif nuisible et nocif pour la société : le vol, le braconnage, le coup d’Etat ... Ainsi, cette forme du partage contribue à la décadence et à la chute de la société puisqu’il vise à bloquer et à nuire l’intérêt de l’homme. Sur le côté positif, l’individu participe positivement avec des hommes cultivés à une tâche humaniste dont le but est de donner une main chaleureuse à l’autre Citons l’exemple du rôle des Tunisiens vers le peuple Libyen pendant sa révolution contre la dictature de Kadhafi. Dans cette optique, ce type de partage a pour fonction de développer et de se multiplier les sentiments d’altruisme, de générosité, et d’offrande entre toutes les catégories sociales. De même, plus on partage d’une façon positive, plus on possède des amis et des gens, car l’homme ressent souvent le besoin d’être écouté , épaulé , ou même orienté. Mieux encore , l’acte du partage peut être individuel ou bien collectif , comme les associations humaines ayant toujours le souci et le souhait d’épauler les pauvres , de fonder l’égalité ,et dénouer les grands problèmes sociaux. Pour finir, nous pouvons dire que partager est avant tout un état d’esprit qui souligne la mentalité de l’homme et sa réflexion dans la vie . Bref, le partage est une arme à double tranchante : il peut progresser ou bien réculer en arrière la société. Deuxième module : l’engagement en littérature L’engagement en littérature est un thème qui reste toujours à la mémoire des êtres humains puisqu’il joue un rôle très important dans l’amélioration de la situation de l’homme. L’acte de l’engagement est lié étroitement aux écrivains, car seuls qui assument presque cette responsabilité à travers des écritures , des critiques , des discours , et des œuvres . Dans ce cadre , il existe plusieurs circonstances poussant l’écrivain à s’engager. En premier lieu , nous soulignons les circonstances religieuses qui se caractérisent par la violence des guerres de religion de la Renaissance au dix-seize-ème siècle . Ceci pousse certains écrivains à prendre position pour ou contre les parties en présence. C’est le cas de Ronsard ,poète Français , du côté catholique qui est pour le pouvoir de l’église ; et Agrippa d’Aubigné , poète Français , côté protestant qui s’élève contre le régime autoritaire de l’église . En deuxième lieu , nous relevons des circonstances politiques telles que le combat de V .Hugo ,écrivain Français, dans son œuvre intitulé « les châtiments »où il donne une présentation négative au régime impérial du « Napoléon III » ou bien la résistance de certains auteurs ,comme Louis Aragon , Sartre , Desnos contre le régime nazi de Hitler pendant la Seconde Guerre Mondiale . En troisième lieu , arrivons maintenant aux circonstances sociales s’intéressant à la lutte de certains philosophes contre une situation politique et sociale contestables ainsi que la monarchie absolue où détient le roi tous les pouvoirs. En outre, le combat de Zola en faveur du capitaine Dreyfus marque encore l’attachement profond de l’écrivain aux problèmes sociaux. Pour récapituler, l’engagement de l’écrivain reste toujours au service de l’homme puisqu’il lui montre la vérité et l’encourage à exprimer, à défendre , et à dénoncer. Troisième module : L’appel à la modernité Avant d’entamer à ce module, il est essentiel de définir les deux termes : Le groupe nominal « un appel »signifie une invitation ou bien une incitation. Il pourrait prendre le sens de l’exhortation. Cet appel provient d’un émetteur qui voudrait transmettre un message. Ce qui provoque le doute, c’est que le récepteur peut-il accepter facilement ce message, car il pourrait exprimer son refus. Pour la notion de la modernité, elle est liée étroitement à l’idée de l’innovation et de l’évolution. Cette notion est apparu pendant la période de la Renaissance ou s’accumulent et s’entassent des découvertes et des innovations, comme l’innovation de l’imprimerie et de la boussole. La modernité se développe et se propage jusqu’à vingt ème siécle . Dans ce sens, plus la modernité s’impose, plus elle réalise un nouveau changement. Mais chez les gens modernes, le problème est sérieux et constant : Comment un être humain ayant l’habitude de vivre selon un rythme de vie peut-il le changer facilement ? Cette problématique nous conduit vers la querelle qui se déroule entre les conservateurs et les modernes. Les aspects de la modernité gravitent autour de cinq éléments principaux : la mode, l’art, l’urbanisme, l’enseignement et la science. Pour la mode, elle s’intéresse plutôt à tout ce qui est lié au confort matériel d’un côté comme les moyens de transport (voiture, métro, automobile), les moyens de la communication (téléphone, faxe,) et au niveau vestimentaire. En ce qui concerne l’art, il met l’accent sur la poésie moderne qui se caractérise par un changement radical sur le plan formel du poème tel que « le calligramme » d’Apollinaire, poète Français et symbole de la poésie moderne. Quant à l’urbanisme, il est marqué par la présence massive de la construction des maisons et des bâtiments et par l’instauration des chemins de fer qui contribue au développement aussi bien pour le commerce que le transport des gens. Le partage est une action spontanée qui peut provoquer à la fois des conséquences positives et négatives. Sur le côté négatif, l’homme peut partager avec un groupe méchant pour atteindre un objectif nuisible et nocif pour la société : le vol, le braconnage, le coup d’Etat ... Ainsi, cette forme du partage contribue à la décadence et à la chute de la société puisqu’il vise à bloquer et à nuire l’intérêt de l’homme. Sur le côté positif, l’individu participe positivement avec des hommes cultivés à une tâche humaniste dont le but est de donner une main chaleureuse à l’autre Citons l’exemple du rôle des Tunisiens vers le peuple Libyen pendant sa révolution contre la dictature de Kadhafi. Dans cette optique, ce type de partage a pour fonction de développer et de se multiplier les sentiments d’altruisme, de générosité, et d’offrande entre toutes les catégories sociales. De même, plus on partage d’une façon positive, plus on possède des amis et des gens, car l’homme ressent souvent le besoin d’être écouté , épaulé , ou même orienté. Mieux encore , l’acte du partage peut être individuel ou bien collectif , comme les associations humaines ayant toujours le souci et le souhait d’épauler les pauvres , de fonder l’égalité ,et dénouer les grands problèmes sociaux. Pour finir, nous pouvons dire que partager est avant tout un état d’esprit qui souligne la mentalité de l’homme et sa réflexion dans la vie . Bref, le partage est une arme à double tranchante : il peut progresser ou bien réculer en arrière la société. Deuxième module : l’engagement en littérature L’engagement en littérature est un thème qui reste toujours à la mémoire des êtres humains puisqu’il joue un rôle très important dans l’amélioration de la situation de l’homme. L’acte de l’engagement est lié étroitement aux écrivains, car seuls qui assument presque cette responsabilité à travers des écritures , des critiques , des discours , et des œuvres . Dans ce cadre , il existe plusieurs circonstances poussant l’écrivain à s’engager. En premier lieu , nous soulignons les circonstances religieuses qui se caractérisent par la violence des guerres de religion de la Renaissance au dix-seize-ème siècle . Ceci pousse certains écrivains à prendre position pour ou contre les parties en présence. C’est le cas de Ronsard ,poète Français , du côté catholique qui est pour le pouvoir de l’église ; et Agrippa d’Aubigné , poète Français , côté protestant qui s’élève contre le régime autoritaire de l’église . En deuxième lieu , nous relevons des circonstances politiques telles que le combat de V .Hugo ,écrivain Français, dans son œuvre intitulé « les châtiments »où il donne une présentation négative au régime impérial du « Napoléon III » ou bien la résistance de certains auteurs ,comme Louis Aragon , Sartre , Desnos contre le régime nazi de Hitler pendant la Seconde Guerre Mondiale . En troisième lieu , arrivons maintenant aux circonstances sociales s’intéressant à la lutte de certains philosophes contre une situation politique et sociale contestables ainsi que la monarchie absolue où détient le roi tous les pouvoirs. En outre, le combat de Zola en faveur du capitaine Dreyfus marque encore l’attachement profond de l’écrivain aux problèmes sociaux. Pour récapituler, l’engagement de l’écrivain reste toujours au service de l’homme puisqu’il lui montre la vérité et l’encourage à exprimer, à défendre , et à dénoncer. Troisième module : L’appel à la modernité Avant d’entamer à ce module, il est essentiel de définir les deux termes : Le groupe nominal « un appel »signifie une invitation ou bien une incitation. Il pourrait prendre le sens de l’exhortation. Cet appel provient d’un émetteur qui voudrait transmettre un message. Ce qui provoque le doute, c’est que le récepteur peut-il accepter facilement ce message, car il pourrait exprimer son refus. Pour la notion de la modernité, elle est liée étroitement à l’idée de l’innovation et de l’évolution. Cette notion est apparu pendant la période de la Renaissance ou s’accumulent et s’entassent des découvertes et des innovations, comme l’innovation de l’imprimerie et de la boussole. La modernité se développe et se propage jusqu’à vingt ème siécle . Dans ce sens, plus la modernité s’impose, plus elle réalise un nouveau changement. Mais chez les gens modernes, le problème est sérieux et constant : Comment un être humain ayant l’habitude de vivre selon un rythme de vie peut-il le changer facilement ? Cette problématique nous conduit vers la querelle qui se déroule entre les conservateurs et les modernes. Les aspects de la modernité gravitent autour de cinq éléments principaux : la mode, l’art, l’urbanisme, l’enseignement et la science. Pour la mode, elle s’intéresse plutôt à tout ce qui est lié au confort matériel d’un côté comme les moyens de transport (voiture, métro, automobile), les moyens de la communication (téléphone, faxe,) et au niveau vestimentaire. En ce qui concerne l’art, il met l’accent sur la poésie moderne qui se caractérise par un changement radical sur le plan formel du poème tel que « le calligramme » d’Apollinaire, poète Français et symbole de la poésie moderne. Quant à l’urbanisme, il est marqué par la présence massive de la construction des maisons et des bâtiments et par l’instauration des chemins de fer qui contribue au développement aussi bien pour le commerce que le transport des gens. Arrivons maintenant à l’enseignement, la modernité invente pour ce secteur une nouvelle méthode dont le principe fondamental est la raison. D’ailleurs, cette méthode a pour conséquence d’encourager l’élève à l’usage de la raison comme étant un moyen de réflexion et de construction des idées cohérentes et logiques. C’est Montaigne, écrivain Français, qui insiste bien sur ce type d’enseignement, car il se caractérise par sa dimension didactique dont l’objectif est d’abolir l’ancien système éducatif qui paralyse l’esprit de l’élève d’une part, et qui donne une grande valeur pour le maitre que l’élève d’autre part. D’une manière claire, le rôle essentiel du maître consiste à montrer, à expliquer, à guider, à orienter et à mettre l’élève dans la véritable direction. En un mot, la mission du maître n’est qu’un encadreur pour l’enfant. D’un autre côté, la modernité accorde une grande importance à la science puisqu’elle accomplit des conséquences remarquables dans la société.
Posted on: Mon, 02 Dec 2013 15:29:26 +0000

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