suite: Le 25 octobre : A peine accrochée à Beaubourg, l’oeuvre de l’inconnu Valensi est déjà remarquée : Restent dans l’exposition deux perles, deux salles monographiques : -la première est consacrée au Philippin Ossorio (…) -l’autre, au quasi inconnu Henry Valensi, artiste juif algérien qui flirta avec le futurisme dans les années 30 avant de créer le courant musicalisme. Longtemps oubliée, son oeuvre (dont une peintures rose bonbon et un film réalisé à aprtir d’une de ses toiles ) fait immédiatement penser à certains peintres contemporains. les dernières toiles de Farah Atassi notamment, nominée pour le prix Marcel Duchamp cette année. “L’oeuvre de Valensi est à nouveau regardable, décrypte Michel Gauthier . Regardable parce que réhabilitée par uen nouvelle génération d’historiens, regardable surtout parce que grace aux artistes d’aujourd’hui , qui revisitent tous azimuts l’imagerie moderniste, on sait que les marges , les à-côtés et les rebonds sont parfois plus parlants que l’histoire officielle.” CLAIRE MOULENE extrait de l’ article consacré à Modernités Plurielles dans les les InrocKuptibles n° 934 , du 23 au 29 octobre (avec Cantat en couverture….) Dommage que personne n’ait eu connaissance de l’existence du livre alors! L’incompétence crasse de notre éditeur (et la nôtre aussi ...ok...) en matière de presse et diffusion du livre ne nous a été révélée dans toute son ampleur qu’à l’occasion de l’ouverture de l’exposition : pourtant sorti de chez l’imprimeur le 4 octobre, le livre n’était pas dans les rayons de la librairie de Beaubourg…. le jour du vernissage, le 21 octobre. Ni non plus dans aucune autre librairie. Sur Amazon le livre figurait sous un autre nom d’auteur. Et chez le diffuseur Pollen, on le disait indisponible. Octobre est passé à réparer les erreurs …
Posted on: Sun, 03 Nov 2013 16:22:23 +0000
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