Ce que savaient Mahbouba et Manoubia filles de Salah TAMZALI sur - TopicsExpress



          

Ce que savaient Mahbouba et Manoubia filles de Salah TAMZALI sur l’insurrection de 1871 (8iéme partie) Transport des 90 000 fusil de Bizerte à Souk Ahras ou Guelma L’information arrive par la bouche de son fils à M’Hamed Tamzali que le pays se fait christianisé et que le jeune « babas » ( Lavigerie) de 40 environs est devenu archevêque a Alger ; plus que ça dés 1867 il était entrain d’engager des évêques dont le premier à Oran « Jeabek » ( jean baptiste Iréné Caillot l’an d’après (1868) il créé la société des pères blancs qui sont déjà en 1869 en toute la Kabylie et cela avec l’aide d’un général du nom « flekbayer » (Fréderic Legrand) et que les enfants de la Grande Kabylie presque par force ou séduction sont aux classes de catéchisme …. Le vieux n’a pas eu de sommeil cette nuit la ; le lendemain des la prière du levée de soleil informât de la situation en Algérie, les khouans à sidi Abderrahman de Bizerte et demanda du renfort pour plus d’hommes de mulets et de chevreaux. Juin est au porte, la marche sera meilleurs la nuit mais les brigands sévissent de Béja aux frontières tuniso – algériennes sur environ trente milles donc plus de vigilance à ces endroits, et de plus de gardes des escadrilles en plus une attention particulière quand à l’information et l’écart entre les groupes de trente mulets… Les khouans ne sont que plus enthousiastes leurs épouses doublèrent d’efforts devenus plus demanderesse de tout tissus, sacs en, jute même usés dans la ville et en campagnes Le vieux M’Hamed Tamzali voulait partir avec les escadrons mais il a la responsabilité des stocks et le chargement des fusils qui sont a son fondouk… et son fils Mustapha n’est que très jeune Venu le jeudi les mulets chargés reprennent route en escadrons avec un veilleur en amont et un autre en aval ; en tête son fils Salah sur son cheval avec sa mule ayant l’air de maquignons en temps clément et tous les douze jours le sicle se refait sans aucun incident grâces au familles de terriens tunisiens qui sans savoir ce qui se fait, trouvaient cette activité rassurante . Pour les hommes des escadrons il ne manquait ni eau ni vivres et les voila atteindre en mi juillet le transport de plus que soixante milles fusils et plus de cent milles sacs de poudre… Salah Tamzali ne s’est pas reposé il n’était pas exténué mais la fatigue se voyait sur son visage et sur le visage de beaucoup de transporteurs et de guetteurs voyageant avec les escadrons… Le vieux M’Hamed demande a tous les hommes des escadrons d’annoncer aux receveurs des charges (fusils) que la dernière semaine de moi courant ( juillet 1869) il n’y aurait pas d’arrivage mais en des le début d’aout le transport reprend…. A suivre Profond respect
Posted on: Tue, 08 Oct 2013 19:34:58 +0000

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