Chacun d’entre nous peut-être contrôlé par la force publique - TopicsExpress



          

Chacun d’entre nous peut-être contrôlé par la force publique en cas de consommation de drogue ou d’alcool. Les sanctions sont sévères et sans appels : interdiction de conduire, peines de prison fermes, sportifs mis à l’index etc. C’est pour notre bien et pour la sécurité de chacun nous assène-t-on. En effet, sous l’emprise de la drogue ou de l’alcool, nous pouvons prendre de mauvaises décisions et porter atteinte à notre propre sécurité et à celle des autres usagers. Désormais, le citoyen français dans tous les actes de la vie subit la suspicion permanente. Le président de la République, les ministres, les élus nationaux, territoriaux et communaux prennent des décisions qui ont des répercussions fortes et graves sur notre santé physique et psychologique. Leurs décisions poussent à la ruine des chefs d’entreprise, des salariés, des retraités, des citoyens ordinaires : combien de faillites imputables au maquis des lois inapplicables, à la multiplication des contrôles routiers, sociaux, fiscaux, combien de français acculés au suicide ? Comment font tous ces élus pour tenir en travaillant, enfin c’est ce qu’ils disent, la nuit lors de « marathon » budgétaires, sociaux ou diplomatiques ? Il en ressort des décisions qui sont souvent préjudiciables aux citoyens : taxations, taxations sur taxations, rétroactivité de la fiscalité, changement de règles permanent, spoliations de la propriété privée, multiplication des contrôles policiers, fiscaux et sociaux, confiscation de l’épargne, financements de projets inutiles, limitation de la liberté d’expression et de circulation, détournement de fonds par subventions interposées, népotisme, entraves à la liberté du travail et à l’entreprenariat, frappes militaires, livraison d’armes à des assassins, participation à des guerres civiles et internationales… En conséquence, nous exigeons des contrôles anti-dopage et des tests de détection de consommation de drogue et d’alcool : - Pour tous les ministres, avant ou après chaque discours, participation à des conseils, pendant les débats parlementaires, les négociations sociales et internationales, - Pour tous les élus avant chaque vote au sein des communes, assemblées territoriales, au parlement national et européen. Comme certains élus prévoient un éthylotest anti-démarrage dans les véhicules, appliquons cette disposition d’abord au parlement : l’élu ne pouvant voter qu’après contrôle au-delà des mêmes normes que pour les véhicules. - Pour tous les contrôleurs fiscaux et sociaux, impôts, URSAFF, un contrôle aléatoire sur les consommations de produits interdits ou limités, avant et pendant leurs interventions, - Pour tous les fonctionnaires disposant d’une autorité publique : gendarmes, policiers, avec, AVANT d’y penser pour les citoyens ordinaires, un blocage antidémarrage pour leurs véhicules, y compris moto, - Pour tous les magistrats, de l’instruction à la cour de cassation et au conseil d’Etat car les décisions de justice iniques peuvent mener au désespoir. Le délinquant, ministre, élu, fonctionnaire et autres catégories identifiées ci-dessus, sera suspendu de toute fonction pendant au moins six mois. En cas de contrôle positif a posteriori d’un élu, son vote sera annulé, d’un fonctionnaire ou assimilé, l’amende ou la décision seront annulées. La victime pourra prétendre à des dommages et intérêts compensatoires. En cas de récidive, les ministres seront démissionnés, les élus privés de droits civiques, les fonctionnaires et assimilés identifiés ci-dessus seront exclus. Il y a bien sûr une autre solution : Que les représentants de l’Etat cesse de nous soupçonner, contrôler, harceler sous les fallacieux prétextes de sécurité, de santé publique et de solidarité auxquels ils ne se plient pas eux-mêmes.
Posted on: Sun, 06 Oct 2013 11:16:41 +0000

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