Comment le musulman protège sa foi Eviter Aspotasie, - TopicsExpress



          

Comment le musulman protège sa foi Eviter Aspotasie, Mécréance, Blasphème La louange est à Dieu le Créateur du monde Celui Qui existe sans début, sans fin, sans endroit, sans comment et ne dépend pas du temps, rien n’est tel que Lui et Il est Celui Qui entend et Qui voit, quoi que tu puisses imaginer Dieu en est différent. Et que l’élévation en degré et la préservation de sa communauté de ce qu’il craint pour elle soient accordées à notre maître MouHammad Al-’Amîn, l’Honnête, celui qui a appelé à la religion de vérité, l’islam la religion de tous les Prophètes du premier ‘Adam au dernier MouHammad. Allâh Ta^âlâ dit : (‘innama l-mou’minôuna l-ladhîna ‘âmanôu bi l-Lâhi wa raçôulihi thoumma lam yartâbôu) Ce qui signifie : « Les croyants sont uniquement ceux qui ont cru en Allâh et en Son messager et qui n’ont point douté » [sôurat Al-Houjourât]. Cela signifie que les croyants sont ceux qui ont cru en l’existence de Allâh Ta^âlâ et qu’Il n’a de ressemblance avec rien ; qui ont cru que MouHammad est Son esclave et Son messager, qu’il est le dernier prophète envoyé à toute la création, hommes et jinn, et qu’il est véridique en tout ce qu’il a rapporté de la part de Allâh. Les croyants sont ceux qui ont cru en tout cela et qui n’ont pas douté. En outre, le Messager de Allâh a dit : (‘afDalou l-‘a^mâli ‘îmânoun lâ chakka fîh ) ce qui signifie : « La meilleure des œuvres est une foi sans aucun doute » [rapporté par Mouslim]. La croyance est la meilleure des œuvres selon le jugement de Allâh ta^âlâ et c’est une condition pour l’acceptation des bonnes œuvres. Allâh Ta^âlâ dit : (mathalou l-ladhîna kafarôu birabbihim ‘a^mâlouhoum karamâdin ichtaddat bihi r-rîHou fî yawmin ^âSif) Ce qui signifie : « Les œuvres de ceux qui ont mécru, sont telle de la cendre emportée par le vent, un jour de tempête », [sôurat Ibrâhîm / âyah 18]. Il convient au musulman de connaître les choses qui font sortir de l’Islam afin de les éviter et de préserver sa foi. En effet, celui qui ne connaît pas le mal risque d’autant plus d’y tomber. Ce qui rompt l’Islam et l’annule, c’est l’apostasie, que Allâh nous en préserve, et celui qui a commis une apostasie a perdu toutes ses récompenses. Allâh Ta^âlâ dit : (wa man yakfour bi l-‘îmâni faqad HabiTa ^amalouh ) ce qui signifie : « Celui qui apostasie, la récompense de ses bonnes œuvres est annulée » [sôurat Al-Mâ’idah]. S’il meurt apostat, il entrera en enfer et y restera pour l’éternité, dans le cas où il ne revient pas à l’Islam avant sa mort. Allâh Ta^âlâ dit : Ce qui signifie : « Et si tu les interroge ils te diront nous ne faisions que discuter et plaisanter. Dis : Est-ce de Allâh, de Ses ‘Ayah et de Son messager que vous vous moquiez ? Ne vous cherchez pas d’excuse, vous êtes devenus mécréants après avoir été croyants », [sôurat At-Tawbah / âyah 65-66]. Le Prophète MouHammad Salla l-Lâhou ^alayhi wa sallam a dit : ( ‘inna l-^abda layatakallamou bi-lkalimati lâ yarâ bihâ ba’san yahwî bihâ fi n-nâri sab^îna kharîfâ ) Ce qui signifie : « Certes, il arrive que l’esclave de Allâh prononce une parole dans laquelle il ne voit pas de mal mais à cause de laquelle il chutera en enfer pendant soixante-dix Automnes », rapporté par at-Tirmîdhiyy. Ce Hadîth est une preuve que la plaisanterie n’est pas une excuse , de même la colère et l’ignorance du jugement ne sont pas des excuses ; ainsi si quelqu’un attribue à Dieu le fils il devient mécréant, même s’il a dit cela par plaisanterie ou sous l’effet de la colère ou en ne visant pas le vrai sens du mot fils. L’apostasie est de trois sortes : par la croyance, par les actes et par la parole. La première sorte est l’apostasie par la croyance : il y a douter au sujet de Allâh, de Son messager ou du Qour’ân. Parmi cette sorte d’apostasie, il y a aussi le fait de croire que Allâh est une lumière ou qu’Il est une âme, ou croire que notre maître MouHammad serait une partie de Lui. Celui qui croit que Jésus, ^Içâ –Al-MacîH– est une partie de Allâh n’est pas musulman non plus. Le saint, le Chaykh ^Abdou l-Ghaniyy An-Nâboulouciyy a mentionné ceci : « Celui qui croit que Allâh emplit les cieux et la Terre ou qu’Il est un corps assis sur le trône est mécréant et ce, même s’il prétend qu’il est musulman ». Puis il a ajouté : « et la cause – de sa mécréance – c’est l’ignorance de la vérité ». Celui qui médite sur cette parole comprendra que l’ignorant n’est pas excusé dans un tel cas. De même celui qui croit que Allâh est assis sur le trône n’est pas excusé car Allâh Ta^âlâ domine le trône par Sa puissance et n’en a pas besoin. La deuxième sorte est l’apostasie par les actes : comme celui qui se prosterne pour une idole, ou qui jette le mouSHaf –le livre du Qour’ân– ou une feuille contenant un nom de Allâh dans les ordures délibérément. Il est un devoir de respecter les feuilles qui contiennent le nom de Dieu et il n’est pas permis de les jeter dans un endroit répugnant, même sans viser par là le rabaissement de ce qu’elles contiennent. La troisième sorte est l’apostasie par la parole : comme celui qui insulte Allâh Ta^âlâ ou qui Lui attribue un fils par la parole même s’il n’y croit pas ; comme celui qui insulte un prophète tel que MouHammad, ^Içâ –Jésus– ou Môuçâ –Moïse– ou ‘Adam –Adam– ou quiconque parmi les prophètes. Il y a également celui qui insulte un ange comme Jibrîl –l’ange Gabriel–, Mîkâ’îl ou ^Azrâ’îl ou tout autre ange. De même celui qui dit : (Crée moi telle chose comme Dieu t’a créé) ou celui qui dit : (Allâh réside dans les choses, Il est à l’intérieur d’elles) ainsi que toute parole qui comprend une moquerie claire au sujet de Allâh, qu’il en ait visé le sens ou non. L’Imâm des deux Harâm ^Abdou l-Mâlik Al-Jouwayniyy, l’un des grands savants, a dit : « Les spécialistes des fondements (‘ouSôul) ont été unanimes quant au fait que celui qui prononce une parole de mécréance et qui prétend qu’il visait par là un sens éloigné est déclaré mécréant du point de vue apparent et du point de vue de la foi ». La parole de certains impudents qui disent : (Jeûne et prie et la pauvreté t’atteindra) est aussi de la mécréance. Et ainsi la parole de certains : (Demain, nous serons bien au chaud en enfer), et la parole de celui qui dit : (Je suis mécréant) qu’elle soit dite en plaisantant ou en étant sérieux. Sachez qu’il est un devoir de glorifier Allâh, que l’on soit calme ou en colère et qu’il est interdit de se moquer de Allâh dans les deux cas, les musulmans sont unanimes là-dessus. L’Imâm An-Nawawiyy a dit dans son livre RawDatou t-Talibîn : « Si un homme s’emporte contre son fils ou son esclave et qu’il le frappe violemment et qu’un autre lui dit : « N’es-tu pas musulman ? », s’il répond délibérément : non, il aura apostasié ». Cela veut dire tant que cela a été dit sciemment, même s’il était en colère. De même c’est de la mécréance le fait d’attribuer à Dieu le fils même en visant un autre sens, Allâh dit dans le Qour’ân : Ce qui signifie : « Et ils ont dit que Dieu a pris un fils ; vous avez dit une chose abominable ; à cause de votre parole les cieux ont failli se fissurer et la terre s’ouvrir et les montagnes s’effondrer » [sôurat Maryam]. Ce qui signifie : « Si l’homme dit à son frère « mécréant » ou « ennemi de Allâh », alors c’est vrai pour l’un des deux. Si il n’en est pas comme le premier a dit, alors cela se retourne contre lui (c’est à dire qu’il devient lui même mécréant) » , [rapporté par l-Boukhâriyy]. Allâh Ta^âlâ dit dans le Qour’ân honoré : ce qui signifie : « …Il n’agrée pas la mécréance pour Ses esclaves. », ainsi agréer la mécréance est de la mécréance qui fait sortir de l’Islam. Donc il n’est pas permis d’approuver la mécréance de même il n’est pas permis d’approuver ce que Dieu a interdit. Donc la tolérance en Islam ne veut pas dire approuver la mécréance ou les choses que Dieu a interdites. Ainsi il n’est pas permis de dire que la personne a le droit de faire les péchés ou de choisir la mécréance . De même il n’est pas permis de dire qu’il faut respecter les péchés ou la mécréance car cela mène à la mécréance. La tolérance en Islam veut dire tolérer ce qui n’est pas interdit par Dieu, comme par exemple tolérer un musulman qu’il soit pauvre ou riche, blanc ou noir, arabe ou non, etc… Parmi les paroles de mécréance, il y a aussi le fait de renier le paradis, l’enfer, la résurrection ou l’exposition des actes au jour dernier. Il y a aussi le fait de dire au sujet du paradis qu’il s’agit de choses spirituelles – de paraboles – et non physiques, ou encore dire au sujet de l’enfer que le châtiment concerne l’âme et qu’il n’est pas physique. Les savants ont déclaré dans leurs écrits que celui qui a prononcé une de ces paroles délibérément et non par lapsus, de son plein gré et non sous la contrainte d’une menace de mort, en étant sain d’esprit et non en ayant perdu la raison, ses bonnes œuvres sont effacées. Les savants n’ont pas dit : On prend en considération s’il était calme ou en colère lorsqu’il a parlé. Allâh Ta^âlâ dit dans le Qour’ân : Ce qui signifie : « Certes Allâh ne pardonne pas qu’on lui attribut des associés et il pardonne en deçà à qui Il veut », [sôurat n-Niçâ / 116]. Celui qui réfléchit à Sa parole Ta^âlâ : (mâ yalfiDHou min qawlin ‘il-lâ ladayhi Raqîboun ^Atîd ) qui signifie : « Pas une parole qu’il prononce sans qu’il y ait auprès de lui deux anges Raqîb et ^Atîd » [sôurat Qaf] et qui a su que tout ce que dit la personne est inscrit par les deux anges, qu’on plaisante ou qu’on soit sérieux, qu’on soit en colère ou qu’on soit calme, celui qui tient à sa foi préservera sa langue de tout ce que Allâh ^azza wa jall n’agrée pas. N’accordez donc aucun crédit à la parole de certains ignorants qui n’ont aucune part dans la science de la religion et qui disent : (l’ignorant est excusé). Ceux-là ne font qu’ouvrir largement la porte à l’égarement et ne font que pousser les gens à l’ignorance, contredisant par cela la parole de Allâh Ta^âlâ : (qoul hal yastawi l-ladhîna ya^lamôuna wa l-ladhîna lâ ya^lamôun ) qui signifie : « Dis : sont-ils équivalents ceux qui savent et ceux qui ne savent pas » [sôurat Az-Zoumar] et la parole du Messager de Allâh : (Talabou l-^ilmi fariDâtoun ^alâ koulli mouslim ) qui signifie : « Quérir la science de la religion est une obligation pour tout musulman » [rapporté par Al-Bayhaqiyy] c’est-à-dire pour tout musulman et toute musulmane. Pour confirmer encore ce qui a été dit, citons la parole de l’Imam Abou l-Haçan Al-‘Ach^ariyy, que Allâh l’agrée : « Personne n’est excusé par son ignorance lorsqu’il s’agit de ce qui fait sortir de l’Islam ». Le conseil à donner à celui qui a commis l’une de ces apostasies est de lui dire : reviens à l’Islam en prononçant les deux témoignages : « je témoigne qu’il n’est de dieu que Dieu et je témoigne que MouHammad est le Messager de Dieu » car le fait de dire (‘astaghfirou l-Lâh) « je demande à Dieu de me pardonner » ne lui est pas utile avant d’être revenu à l’Islam. Remarque importante: Si on veut rapporter une parole contraire à l’Islam, on doit employer le discours rapporté en disant l’auteur a dit… ou un tel a dit telle et telle chose. Ceci vaut oralement ou par écrit ou autre en écrivant l’auteur a dit avant de rapporter. De même on utilise le discours rapporté avant de mettre en marche une audio dans laquelle il est évoqué des choses contraires à l’Islam et avant d’afficher des écrits contraires à l’Islam sur un écran ou avant de les imprimer. Qu’il se rappelle les bienfaits de Allâh Qui l’a créé et Qui lui a accordé la parole, l’ouïe et la vue ; il ne lui est donc pas permis de se moquer de Allâh ou de se révolter contre Lui. S’il le fait, ce sera lui le perdant, car nul ne nuit à Allâh et nul ne Lui est profitable. Allâh n’a besoin de rien. Il n’est pas permis d’aider aux péchés Il convient au musulman de faire preuve de bon comportement, de patience et d’indulgence envers les musulmans et non musulmans, mais il ne doit pas aider à ce qui est interdit car le prophète صلى الله عليه وسلّم a dit : ce qui signifie : « on n’obéit pas à une créature pour désobéir au Créateur » [rapporté par At-Tirmîdhiyy]. Ainsi il n’est pas permis d’aider à commettre les péchés ni à la mécréance, en effet aider au péché est un péché et aider à la mécréance est de la mécréance, de même approuver la mécréance est de la mécréance. Donc il est interdit d’offrir des boissons alcoolisées par exemple ou de la viande qui n’est pas égorgée ou du porc à un musulman ou un non musulman. De même il est interdit d’inciter une personne à prononcer la mécréance, en lui posant des questions qui les mèneraient à dires des choses contraires à la religion de l’Islam. Comme il est interdit d’aider la personne à pratiquer la mécréance tels que les rituels des non musulmans. La règle de base en Islam est la suivante : aider au bien est un bien et aider au péché est un péché donc aider à la mécréance est de la mécréance. Allâh ta^âlâ dit : Ce qui signifie : « Aidez vous pour le bien et la piété et ne vous aider pas pour le péché et l’injustice » [sôurat al-mâidah âyah 2].
Posted on: Tue, 12 Nov 2013 23:51:47 +0000

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