Elle est arrivée comme une déesse, vêtue d’une robe blanche - TopicsExpress



          

Elle est arrivée comme une déesse, vêtue d’une robe blanche vaporeuse, sous un déluge d’étoiles électroniques, façon Star Wars. Vendredi soir, dans une hall 6 de Palexpo aux trois quart comble, Mylène Farmer n’a pas raté son entrée. Ni sa sortie d’ailleurs, ponctuée de quelques larmes filmées en gros plan. «Vous allez me manquer, c’est sûr», a lancé la star à son public, peu avant de disparaître dans un épais rideau de fumée. Entre ce début intergalactique et cette fin toute en émotion, un concert parfait, deux heures d’une performance parfaitement agencée. Plutôt techno dans sa partie initiale, intimiste au milieu, pour finir avec les grands tubes incontournables que sont «Désenchantée», «Sans contrefaçons» et autres «Je t’aime mélancolie». «Avec moi!», réclame Mylène en tapant dans ses mains dès l’entame de «Comme j’ai mal», alors que le concert ne fait que commencer. Dans la salle, les fans répondent au quart de tour, entonnant les paroles qu’ils connaissent par cœur. Sur scène, juste après, deux robots articulés aux yeux lumineux, ondulent au rythme de «C’est une belle journée». C’est une belle soirée, en fait, portée notamment par un superbe duo avec Gary Jules sur «Les mots», épuré juste ce qu’il faut et soutenu par le piano d’Yvan Cassar. Plus tard, une petite fille installée au premier rang est invitée par la star à monter sur scène. Elle se love dans les bras de Mylène tandis que celle-ci revisite un de ses tout premiers tubes, «Maman a tort». Rideau, bientôt. «J’ai rêvé qu’on pouvait s’aimer», chante encore la divine rousse en regardant la foule droit dans les yeux. Des yeux humides, de part et d’autre. TDG 19.10.13
Posted on: Sat, 19 Oct 2013 10:00:48 +0000

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