En préparant notre rendez - vous déchanges libres de demain dimanche 17 novembre 2013, sur mon profil Facebook, je suis tombé sur un de mes écrits à propos de linconséquence de la répression du trafic et de la commercialisation informelle des produits pétroliers de contrebande dits KPAYO par BONI YAYI. Il y a eu une féroce répression armée ... Des vies humaines sont perdues. Des volumes énormes desdits produits ont été saisis... Et puis, un jour, point de lutte apparemment et quid du bilan ! Je voudrais vous faire relire ce qui suit, il date du 24 mars 2013 : [Candide Armand-Marie Azannai Sur le plan national, il crève les yeux que pendant que la militarisation en arrive à des morts dhommes dans certaines régions et zones, pendant que certaines populations à certains endroits à loccasion de cette militarisation sont livrées aux rançonnements par certains agents commis à la répression sans commune mesure , dautres populations dans dautres zones et régions et endroits, allègrement continuent et de manière constante - continuent de plus belle - cette activité pourtant déclarée en répression par le même pouvoir républicain dans la même République. Je condamne ce fait. Tchaoourou, NDali, Segbanan, Nikki, Perere, Okewo, Save ... doivent subir la même dose et la même intensité de répression que Sakete, Sème, Porto - Novo, Adjarra, Cotonou ... si répression il doit y avoir. Cette inégalité dans la répression est injuste. De plus nous sommes dans un monde moderne où il doit avoir une graduation participative dans la recherche de solutions efficaces et durables aux fléaux de grande ampleur sociale. La méthode devrait être, létude du phénomène à léchelle nationale. Puis un séminaire nationale. Puis une réunion intellectuelle binationale Nigeria / Bénin pour ne pas dire bilatérale et qui peut - être ensuite , dans le cadre de la CEDEAO faire lobjet de réflexion au plus haut niveau. Des senarii sont à identifier, des essais pilotes sont à expérimenter. Puis après des affinements appropriés, la mise en œuvre. La répression pour solution, garde toujours de lapproximation nuisible à lefficacité et à la performance dans le temps. Pour moi, le phénomène KPAYO est moins national et plus international. Car, son impact sur la géo - économie existe même si lhypocrisie de son exploitation trans - frontalière à biens dégards mafieuse, est difficile à cacher. Nous devons réfléchir comme lévoquait un responsable politique dont je tais le nom, réfléchir à la formalisation de linformel, réfléchir à une prise en compte des possibilités de ressources additionnelles pour nos États à travers une meilleure ceinture de léconomie informelle. Même lUnion Européenne et les pays comme ceux de la plateforme de nos PTF doivent être invités à des solutions dans léradication ou la maîtrise des phénomènes de ce genre. 24 mars, 12:29 · J’aime · 3 ] Je pense bien que nous avons tous le droit de savoir le bilan de cette répression sanguinaire... Nous avons le droit de savoir combien dentre nous, ont perdu la vie dans cette barbarie militaire de BONI YAYI contre les populations affamées et pourtant mains nues... Excellente soirée à toutes et à tous et très sincèrement, Candide Armand - Marie AZANNAI.
Posted on: Sat, 16 Nov 2013 22:11:27 +0000