La douleur chronique ne va plus être traitée au cas par cas : une première convention ouvre la voie à une prise en charge structurée. Jusqu’ici, admet Laurette Onkelinx, on avait travaillé «par à coups». Au risque d’être «à la traîne», en apportant des «réponses ciblées» aux problèmes, au fil de leur apparition. Désormais, une stratégie concertée de lutte contre la douleur chronique est en place. Elle s’est concrétisée hier, par la signature, par la ministre PS de la Santé, d’une première convention avec le centre de la douleur de l’hôpital Érasme à Anderlecht. Il y avait urgence : plus de 30 % de la population souffriraient de douleurs chroniques. De 30 à 75 % des seniors en seraient touchés. Chez 300 000 personnes, ces douleurs provoqueraient des troubles du système nerveux central et du sommeil. « Maladies de société »...
Posted on: Sun, 30 Jun 2013 06:10:32 +0000
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