" La plaidoirie de la mouvance Ravalomanana a découlé de la concertation de ses juristes, soutenu par les rapports établis par le Comité d’Experts Juristes, et le Groupe de Juristes respectueux de la Déontologie. La mouvance démontre que la validation de la candidature de Lalao Ravalomanana a été faite sur la base des principes légale sans aucune teinte d’influence politique. Dans un pays qui cherche à démontrer qu’il est un État de droit, il est donc nécessaire que la CES ne peut que de trancher sur des motifs basant sur les textes, mais non sur des faits qui sont souvent illégaux. Qu’il n’est pas juridiquement acceptable que des agissements répréhensibles pénalement puissent supplanter des arguments juridiques, car cela ne fait que nous mener vers un chaos le plus total. Dans le sens de la légalité, plusieurs candidats, y compris ceux qui ont dernièrement saisi la CES pour dénoncer leurs adversaires sur des calculs politiques dignes des plus peureux et des moins crédibles peuvent être de loin plus compromis. Quant à la Communauté internationale, un acharnement ou une pression pour l’exclusion de la candidature de Lalao Ravalomanana reviendrait tout simplement être complice de l’État de non-droit et de l’infraction aux Chartes internationales convenues par les signataires. "
Posted on: Fri, 16 Aug 2013 14:58:37 +0000
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