Le contemporain ne peut poser uniquement son regard sur l’horizontal pour limité les chocs. Il taille son ombre comme une emprunte nécessaire aux entrailles du caniveau des blocs. L’océan noir du bitume comme seul humeur, la fumée des automobiles comme seul volute. Le désert urbain pour seule fixité des constances, un bar-tabac tatoué par la sueur des putes. Mais dans la diverse jointure des regards horizontaux. Là où les hommes délectent le vertical des caniveaux. Les ratures furent fusillées Et l’errance régnante des pensées de projections Fut l’arborescence de toutes les fécondités.
Posted on: Tue, 11 Jun 2013 07:49:44 +0000
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