" Le printemps des larmes": Préface: L’auteur ici eut écrit - TopicsExpress



          

" Le printemps des larmes": Préface: L’auteur ici eut écrit un ouvrage, un roman précisément, qu’il intitula, « Un enfant dans un mortier ». Il acheva d’écrire ce roman en la date du 14 juillet 2010. En tel jour l’auteur fut particulièrement interrogé par l’actualité assez brulante dans un pays d’Occident, en l’occurrence la France. L’auteur fut attentif au fait de voir des armées des ex colonies françaises défiler sur la place de la Concorde à Paris. En l’événement, tel jour, ce fut l’occasion en toute inspiration sur la rédaction de l’introduction de son roman portant tel titre d’ « Un enfant dans un mortier ». Tel qui pourrait la lire saurait amplement réaliser de la nature de son contenu. Neuf mois plus tard, l’auteur écrivit et acheva un autre roman, auquel il fit porter tel titre d’ « Une princesse dans les bras de son fils ». Un an après la réalisation de l’ouvrage portant le titre d’ « Un enfant dans un mortier », l’auteur se retrouvait dans un hôpital d’un pays de Nigritie, portant dans ses bras son frère ainé mourant, qu’en un autre jour que celui du 14 juillet, cependant, en l’an 2011. Juste un an après. Pour autre coïncidence, pour tel instant tragique, dans le couloir de cet hôpital, l’auteur ne vit passer que des hommes en uniforme et armes. Quelques minutes plus tard son frère ainé rendait l’âme, étrangement, qu’en tel jour du 14 juillet 2011, à 11 heures. Heureusement, quelques heures avant son décès, ce frère ainé put encore parler, se confier, et assurer son frère cadet, l’auteur ici, de la persuasion qu’il partageait sur le sens profond de la cognition qui fut de son effort pendant ces années de toute endurance qu’il passa en Europe, et duquel savoir, précédemment, il lui fut difficile d’en admettre la qualité. Il devait encore insister, que laissant l’auteur comprendre, combien il respectait le sens profond de son instruction. Par la suite, épuisé dans sa souffrance, la mort l’emporta en tel jour du 14 juillet. Ce fut bien honnête de la part d’un frère ainé. À l’instant de la mort, il s’était libéré de toutes les pressions et intimidations qu’il dut toujours subir, qu’en invitation à traduire à son frère cadet le mépris qu’on lui exigeait et qui reste telle manifestation d’un pacte que cette main sombre qui réside en Occident a imposé à l’entourage, qu’autant aux environnement et milieu qui accueillent l’auteur. Ce complot fut bien énorme. À quoi servait-il encore à un homme entrain de mourir d’entretenir l’abject en une conjuration qui lui semblait désormais stérile, et d’étrange qu’en tel jour du 14 juillet, pendant que les autres fêtaient, et qui étaient absolument ceux qui avaient aussi injustement livré l’auteur vers l’intolérance qui lui tient désormais de grande compagnie, que d’ignoble traitement? Si jamais on savait pleurer les morts, on ne le ferait, probablement pas, pour telle vérité qu’ils découvrent. Certes, telle vérité, on l’ignore, pour ne pas l’idéaliser. En ces instants d’adieu entre frères, pour l’un qui part, et on ne sait où, et lui-même certainement pas, et pour l’autre qui reste, qu’aussi, il ne sait où, il n’en est de moindre reçu que des paroles de toute franchise de ce frère qui affronte aussi brutalement la mort, et pour bien, que reconnaître, admettre autre rationalité dont ne cessa de lui parler son frère cadet, qu’en réalité, il se découvre perdant ses forces, cependant, ne faisant face à aucune toute autre phénoménalité dont il ne put décrire, si ce n’est qu’il n’y en avait pas une seule. L’auteur a commis un tout autre ouvrage, un roman portant tel titre d’ « Une princesse dans les bras de son fils ». Son contenu n’est pas connu des hommes, des différents êtres en mission pour le compte des services de renseignements du monde occidental, les services de renseignements du monde des chrétiens, des musulmans, que particulièrement des israélites, cependant, pour écrits, ils sont assez bien lus et relus par ces différents services de renseignements. Une fois encore, leurs hommes en mission ont essayé de faire passer cet ouvrage, « Une princesse dans les bras de son fils » pour d’aussi semblable que le « Mein Kampf » de Adolf Hitler. Il faudrait bien se représenter le fait suivant lequel l’auteur d’ « Une princesse dans les bras de son fils », n’est qu’un homme de Nigritie, qu’en effet, la comparaison est immensément de toute démesure, pour autre œuvre d’un homme dit « noir » qu’on entendrait tenir à toute ressemblance, que semblable regard, pour si ignoble rapprochement avec celle d’un homme dit « blanc ». L’exagération ici ne vaut que par la nécessité en communication, autre incitation qu’on voudrait véhiculer. L’auteur ici, justement, pour si simple qu’il affirme, désire tant souligner la disproportion assez blessante entre le contenu de son livre, « Une princesse dans les bras de son fils », et le « Mein Kampf » d’Adolf Hitler dont il n’a d’ailleurs jamais eu l’opportunité de lire. Toutefois, lorsqu’il fut en grade d’expliquer de la teneur de son ouvrage, pour si semblable langue d’emprunt à laquelle il se refera, il estima simplement que son livre devait porter tel sens de « Die Ungerechtigkeit ». Cela dit « une injustice ». « Une princesse dans les bras de son fils » traduit assez excellemment le fait de la grande injustice organisée à l’endroit d’un enfant de Nigritie, et, d’auteurs, d’acteurs que les mêmes, ces hommes au mérite en ces services de renseignements du Christianisme, du Judaïsme, de l’Islam, et même, qu’autre pitié, ceux de l’Etat de Nigritie auquel l’auteur est justement d’appartenance qu’en simple citoyen. En tel ouvrage, « Une princesse dans les bras de son fils », toutes les narrations s’y trouvant présentes sont encore explicites de ce phénomène. En ce nouvel ouvrage ici, portant tel titre de « Le printemps des larmes », l’auteur voudrait encore dire à sa famille, à ses neveux, nièces, et autres, combien la question de l’instruction, qu’autant le fait du savoir lui restent de toute chose capitale, pour laquelle, pour si nombreux acquis qu’il y porte, jamais il ne se retrouverait sous la condition de négocier sa sapience. Tant pis pour tel membre de famille qui serait emporté par la sauvagerie, pour si moindre que manquer de savoir. Désormais, il en est de la différence qui oppose l’auteur ici à ses proches. Rien ne saurait plus l’amener à partager l’obscur qui anime ceux qui lui furent si chers. Pour tel fait de grande duperie, la monstruosité en toute irrationalité, l’objet de l’insulte adressée à la qualité humaine qui leur soit véritablement identitaire, l’auteur ici s’y prononce désormais que par telle franchise qui soit indiscutable, qu’observable de bel ton. Tel qui fit le pari entre la réalité et l’absurdité tient son plaisir pour tel avantage qu’il sait y tirer, le parti sur l’honneur, le bonheur, la capacité à fonder une famille, le titre, le concours en l’ascension sociale, la peur face au dénuement qui soit écraseur de la vérité. Pour la part de l’auteur, le savoir, tel si chèrement acquis, que de toute pénibilité, reste de l’élément établissant du fait de la différence sur laquelle il se prononce, qu’en tel argument qui soit authentique qu’indestructible. En telle qui fut une « amie », que dorénavant d’inqualifiable, comment lui expliquer ce que vaut une haine, qu’en meilleure situation, que celle au cours de laquelle, de toute occasion, on explique des évidences, lesquelles ne sont pas forcement des calomnies, que seulement des faits, qui soient si vrais pour être observables et appréciables de tous, cependant sans nécessité d’interprétation à destination subjective, qu’en ces représailles qui ne manquent de corrompre une raison, une vue, une certitude. Il faudrait aussi admettre qu’il est autre différence qui ne passe pas absolument par l’opération, cependant, le prononcé qui soit de l’aptitude de l’organe qui qualifie, qui apprécie, et qui juge. L’auteur ici repousse tel discours hypocrite, malicieux qui veut qu’on soit à toute peur lorsqu’on serait un homme de Nigritie évoquant le fait de la race. L’auteur, en tel ouvrage n’est pas tel qui crée la race. Il apprécie les gloires qu’on célèbre au nom d’une race. Il y dit surtout son sentiment, qu’en réaction au fait hautement conceptuel qui soit de grand principe en l’autre qui le retient pour tel ne partageant pas la même race que lui. L’auteur ici, qu’au fait des clairons et tambours des défenseurs à l’indication de la qualité raciale, ne croit justement pas en la race. Indiscutablement, l’auteur pense race. Ceci n’est aucunement un tort, qu’en moindre une offense. Pour tel de bien l’expliquer, il faudrait simplement retenir le fait suivant lequel, jamais on ne viendrait le designer pour inventeur du groupe de mots de « premier président noir ». Tout y est. « Le printemps des larmes », outre le fait de la race, celle de l’homme de Nigritie, est d’une écriture qui annonce le savoir de cet homme, dont le sens s’établit sur l’ensemble de violences qu’il doive endurer afin de parvenir à admettre aussi naturellement le fait de son être, sa question raciale, et qu’en moindre, les signifier, pas par telle qualité qui le grandirait en une plume accomplie en l’art poétique, qu’au contraire, il en serait très certainement de mots écrits, qui sembleraient bien souvent incompréhensibles, mal appropriés, hors contextes, parfois pas connus, néanmoins, qu’en travail, il en fut d’un accompli, en un langage qui soit identitaire à l’individu, à l’auteur, à tel qui se découvre, pour ne jamais s’imaginer maître.
Posted on: Fri, 20 Sep 2013 18:24:22 +0000

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