Message du 27 Août 2013- Le m Le monde occidental peut-il continuer à tergiverser face aux tueries syriennes, qui dépassent l’imagination et qui révoltent la conscience même des coeurs les plus endurcis? Des considérations économiques sans les rendre publiques pourraient être évoquées pour expliquer dans une certaine mesure la lenteur des ténors occidentaux à se décider pour une prise de position ferme face à la crise syrienne. Depuis plus d’un mois, la barre fatidique des 100.000 morts a été franchie tambour battant par le pilonnage systématique de la population sous les ordres du dictateur impénitent, qui se croyait avoir le vent en pourpre, grâce à l’étouffement des rebelles, abandonnés à eux-mêmes, sans des armes de gros calibre, promis de temps à autre soit par les USA, qui se sont contenté d’aide humanitaire insuffisante, parce que les réfugiés souffrent de tous les maux dans les pays périphériques. A partir du massacre en règle du 21 Août en vue du délogement systématique de l’armée de libération, abandonée, que d’enfants ont péri, ou souffrent, au point que les armes chimiques seraient massivement utilisées! Devrait-on attendre la confirmation ,ou l’infirmation d’une telle hypothèse pour révolter la conscience? Les autres armes ne conduisent-elles à des pertes en vies humaines? C’est un faux-fuyant pour justifier la réticence. Ne faudrait-il pas plutôt chercher ailleurs une cause plus plausible, ou plus au moins acceptable, à savoir l’envoi de soldats occidentaux au sol? Ce serait catastrophique dans ce bourbier, où il faudra combattre non seulemenr les soldates loyalistes, appuyés par les DJadistes à visière levée, mais n’y aurait-il pas des Russes, des Chinois, des Iraniens, des extrémistes de tout poil, qui se sont infiltrés pour prêter main forte à Bachar El Assad? Ne vaudrait-il pas plutôt d’instaurer une zone d’exclusion aériene d’abord, peurt-être avec le temps envisager une intervention plus directe? Ce dont on est certain, les pertes en vies humaines seront innombrables, les dégâts matériels incalculables, et commenr en sortir? Difficile à imaginer. Certains observatuers croient, qu’il est un peu tard pour se résigner à s’engouffrer et consentir des dépenses faramineuses, tandis que la récession bat son plein en Europe et même aux USA. LES HABITANTS de ces régions ne voient pas dun bon oeil de telles interventions. Ils ont grandemnt besoin de ces sommes pour améliorer leurs conditions de vie. La prise de decision n’est pas conforme aux intérêts des intervenants, qui n’ont rien à récolter dans de telles aventures, sinon que des cadavres et des ruines. “ Le jeu n’en vaut pas la chandelle.” LA CAUSE HUMANITAIRE A PRIVILEGIEr, mais les moyens économiques ne sont pas au beau fixe pour protéger les plus faibles. La satisfaction serait le renversement de Bachar El ASSAD, qui défie depuis longtemps l’Occident à cause de l’appui inconditionnel de la Russie, qui est en train de donner aux USA la monnaie de leur pièce face aux exactions d’Israël dans un passé pas trop lointain. Attendons voir ce qui adviendra, Qui vivra, verra.. N.B-Les réflexions en audio du Professeur-écrivain Grégoire François Jocelyn, juriste, diplômé d’études supérieures en affaires internationales sont diffusés du lundi au vendredi à 11:30 AM Eastern Time sur WPBR 1340 AM Radio Nouvelle Lumière, sise à Lantana, Fl. Pour les écouter par téléphone:(712) 432-68- 49.
Posted on: Tue, 27 Aug 2013 23:10:08 +0000
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