Texte n°5: La haine Tout d’abord, je suis désolé du retard de ce texte. Je vais pas me lancer dans des explications dont vous vous foutez royalement et je vais passer au texte que vous attendez. Cette semaine, le sujet est, comme vous l’avez deviné en lisant le titre, la haine. Ce texte va être en rapport avec celui de la semaine dernière et il se peut que j’y fasse référence. Bon, fini l’intro qui embête tout le monde, voilà du concret (façon de parler). Donc, la haine. Comme d’habitude, voici la définition dite scientifique de la haine (je l’ai remaniée un peu pour la transformer en une phrase acceptable): la haine est un sentiment très fort, très intense ressenti contre quelqu’un ou quelque chose. Elle est le contraire de l’amour et y lié physiquement par le fait que tous deux proviennent de la même région du cerveau. Elle en diffère dans sa manifestation physique et mentale. Ainsi l’amour se traduit par une attirance sur tous les plans et la haine par l’exacte contraire, c’est à dire une répulsion très souvent de type mentale et qui découle dans le comportement vis-à-vis de ce qu’on l’on hait. Je rappelle que ce n’est pas une définition exhaustive. Voilà maintenant de ce que je pense de la haine. Pour moi, c’est un sentiment extrêmement proche de l’amour par le fait que l’on s’intéresse obligatoirement à ce que l’on aime ou l’on hait. En effet, il est impossible de haïr quelque chose ou quelqu’un que l’on ne connaît pas un peu. Ainsi, il m’est impossible de haïr les gens que je ne connais pas. Certains/es diront que je me trompe. Laissez-moi vous expliquez ce que je pense. Pour ma part, si une personne me dit qu’elle une chose ou un être qui lui est inconnu/e, je lui réponds que il/elle ne la/le hait pas mais qu’il ne l’aime pas. C’est pareil me direz-vous. Et ben selon moi non. Pour moi, il est possible de ne pas aimez quelque chose que l’on ne connaît que très peu. À l‘inverse, pour haïr, il faut connaître en profondeur la personne sinon la haine n’a plus de raison d’exister. La haine implique que l’on s’intéresse à la personne même si on ne le voudrait pas afin d’alimenter sans arrêt notre lot de reproches à son égard, que ces derniers soit justifiés ou non. Il est possible, selon moi, de haïr au premier coup d’oeil, tout comme il est possible de vivre un «coup de foudre». Je suis en manque d’inspiration et je sèche total là... je continuerais sur ce sujet un autre jour mais je pense que il y a ici suffisamment de contenu pour que vous compreniez mon point de vue. Merci d’avoir lu :) --------------------------------------------------- Un petit j’aime fait toujours (très) plaisir :), tout comme un partage ;). Merci pour tout.
Posted on: Thu, 17 Oct 2013 18:56:49 +0000
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