UN DEFI Celui qui connaît la Parole et l’oeuvre de Dieu dans - TopicsExpress



          

UN DEFI Celui qui connaît la Parole et l’oeuvre de Dieu dans les temps passés attendra de Lui avec raison quelque chose de surnaturel. Moi-même j’ai la ferme conviction que Dieu a, dans notre génération, employé un homme pour faire éclater un réveil dont les répercussions s’étendent jusqu’à notre époque actuelle. Le commencement de ce ministère remonte au 7 mai 1946, c’est-à-dire à la date où William Marrion Branham reçut un appel tout spécial. Dans ses réunions il arriva des choses puissantes que toutes les personnes présentes ont pu voir de leurs propres yeux: des aveugles recouvraient la vue, des paralytiques marchaient, des muets parlaient, des sourds entendaient. Dans le livre Un homme envoyé de Dieu qui fut publié en 1950 par le Révérend Gordon Lyndsay (lequel est aussi l’éditeur du mensuel The Voice of Healing), ainsi que dans le livre A Prophet Visits South Africa datant de 1952 et publié par le Révérend Julius Stadsklev, comme aussi dans le livre The Acts of the Prophet du Révérend Pearry Green de Tucson en Arizona, de même que dans différentes autres publications, on trouve d’innombrables comptes rendus de ces mêmes choses. On y relate que même des personnes atteintes de cancer (et que des médecins avaient abandonnées) furent guéries. Il y eut réellement des miracles de création. Pendant de nombreuses années la presse des Etats-Unis rendit compte de ces réunions. Différents mensuels religieux le firent également, comme par exemple The Herald of Hope de Chicago, The Voice of Healing de Dallas (qui devint plus tard Christ for the Nations), et d’autres encore firent toujours à nouveau des reportages sur ce ministère exceptionnel et sur ce qui en résultait par son moyen. L’éclatement réel de ce réveil spirituel eut lieu bien avant déjà qu’aucun des autres évangélistes prêchant la guérison divine et qui plus tard furent mondialement connus n’entrent en scène. Ceux qui commencèrent leur ministère vers la fin des années quarante, puis cinquante et jusque dans les années soixante ont pour la plupart reçu leur impulsion dans une réunion de William Branham. Naturellement qu’aujourd’hui ils ne veulent plus en convenir et présentent de préférence une histoire qui laisse une grande impression à ceux qui les écoutent. Ayant été moi-même un témoin oculaire parmi beaucoup d’autres, j’ai moi-même expérimenté cette action surnaturelle de Dieu qui s’accomplissait au moyen du ministère de cet homme de Dieu. L’impression que me laissèrent les choses que je vis et entendis est indescriptible et me restera jusqu’à la fin de ma vie. Sur la base du don de discernement qui était en lui, il pouvait dire à des milliers et des milliers de personnes qui elles étaient, d’où elles venaient, quelle maladie la personne concernée avait; même des événements de leur vie lui étaient montrés en vision. De toutes les choses qu’il vit au cours de toutes ces années, jusqu’à la fin de son ministère, pas une seule fois l’une d’elles n’a été trouvée fausse, peu importe dans quelle ville, dans quel pays ou quel continent il exerçait son ministère. Deux qualités particulières distinguent un prophète et son ministère. Premièrement il faut que ce qu’il prédit s’accomplisse (Deut. 18.20-22); deuxièmement il faut que son enseignement à l’égard de Dieu s’accorde avec l’Ecriture. Lorsqu’un prophète annonce quelque chose et que cela s’accomplit, mais qu’il met le peuple en demeure de servir d’autres dieux, c’est seulement pour éprouver le peuple (Deut. 13.2-6). Un véritable prophète doit proclamer le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob comme étant le seul vrai Dieu. En tant que Fils de l’homme, Jésus était le prophète que Moïse avait annoncé (Deut. 18.15-19; Act. 3.22,23). C’est pourquoi Il voyait premièrement ce que le Père voulait faire, puis Il le faisait pareillement (Jean 5.19). Lorsque Pierre Le rencontra la première fois, Jésus lui dit: "Tu es Simon, le fils de Jonas…" (Jean 1.42). A Nathanaël qu’Il ne connaissait pas davantage Il dit: "Avant que Philippe t’eût appelé, quand tu étais sous le figuier, je te voyais" (Jean 1.48). La réponse que fit Nathanaël nous fait comprendre combien il fut saisi. La femme au puits de Jacob s’étonna également lorsque le Seigneur lui dit: "… car tu as eu cinq maris, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari" (Jean 4.18). Jésus connaissait même les pensées des coeurs; les choses les plus secrètes Lui étaient révélées. Mais précisément à cause de ce ministère prophétique, les scribes et les pharisiens L’appelèrent "Béelzébul" et ils Le considérèrent comme une sorte de diseur de bonne aventure ou de liseur de pensées. Ce simple homme envoyé de Dieu, William Branham, s’est sans cesse référé à ces passages de l’Ecriture que nous venons de mentionner. Après la prédication et l’appel à la conversion, il priait pour les malades. Il attendait jusqu’à ce que lui soit montré dans une vision ce que Dieu voulait faire; ensuite seulement il parlait et agissait. Des centaines de ses prédications furent enregistrées et elles sont un témoignage puissant pour tous ceux qui désirent se laisser convaincre de l’exactitude de ce qui vient d’être dit ici. Comme il l’a souvent relevé, il vit à plusieurs reprises, pendant la prière, une Lumière surnaturelle descendre sur certaines personnes en faveur desquelles il priait. Le 24 janvier 1950, lors d’une série de grandes réunions dans le "Houston Coliseum", un photographe de presse incroyant qui se tenait du côté des critiques, fit quelques photographies de lui. Elles devaient être publiées dans un article ayant pour but de diffamer cet homme de Dieu. Qui peut s’imaginer l’étonnement de ce photographe lorsqu’il découvrit, sur la seule photo qui avait réussi, la colonne de feu sur la tête de frère Branham! Dans les Saintes Ecritures il est souvent question de l’apparition de la Lumière surnaturelle. Le prophète Ezéchiel appelait cela "la gloire de l’Eternel", et celle-ci lui apparut à plusieurs reprises (Ezé. 1.28; 3.12,23; 10.4,18). Sur le chemin de Damas, Saul fut ébloui par cette Lumière éclatante et jeté à terre. En tant que croyant juif, il savait de quoi il s’agissait et il demanda: "Qui es-tu, Seigneur?". Voici la réponse qu’il reçut: "Je suis Jésus que tu persécutes" (Act. 26.15). Pendant l’exode d’Israël le peuple fut conduit durant le jour par une Nuée surnaturelle, et durant la nuit par une Lumière surnaturelle (Néh. 9.19). Dieu est Lumière et Il habite une Lumière inaccessible (1 Tim. 6.16). Jésus vint dans ce monde comme une Lumière (Jean 1.4-9). Le 28 février 1963 cette Nuée surnaturelle descendit dans les montagnes au nord de Tucson, en Arizona, exactement à l’endroit où se trouvait cet homme de Dieu. Beaucoup de personnes virent cette Nuée, et l’on envoya au directeur de "l’lnstitute of Atmospheric Physics", à l’université de l’Arizona à Tucson, un nombre considérable de photographies qui avaient été prises de ce phénomène. Lors de cet événement il fut dit à William Branham qu’il devait retourner dans son Assemblée de Jeffersonville pour y prêcher sur les sept Sceaux de l’Apocalypse. Durant ces sept jours consécutifs, du 17 au 24 mars 1963, cette Lumière surnaturelle vint chaque après-midi dans la pièce où il se trouvait (comme William Branham le rapporte lui-même), et le Sceau sur lequel il devait parler le soir même lui était révélé. Vu l’abondance incomparable des confirmations surnaturelles, il est difficile de comprendre pourquoi même ceux qui se font appeler "homme de Dieu de l’heure", ou "prophète du temps de la fin", ou d’autres noms semblables, ne reconnaissent pas ce que Dieu a fait. Le 11 juin 1933 déjà, alors que William Branham était un jeune prédicateur baptiste, il procéda à une célébration de baptêmes bibliques dans le fleuve Ohio à laquelle assistèrent 4’000 personnes environ et où plusieurs centaines de croyants furent baptisés. Lorsqu’il était sur le point de baptiser la dix-septième personne, cette Lumière surnaturelle apparut subitement au-dessus de lui et une Voix puissante dit: "De même que Jean-Baptiste a été envoyé pour préparer la première venue de Christ, ainsi tu seras envoyé avec un Message qui préparera la deuxième venue de Christ". Tout ce que nous venons de dire ne constitue que quelques événements extraordinaires arrivés pendant son ministère. Etant confrontés à des choses sur lesquelles aucun homme n’aurait pu avoir d’influence parce que c’est Dieu qui dans Sa souveraineté les a accomplies, nous ne pouvons pas demeurer plus longtemps neutres. Nous devons au contraire prendre une décision à ce sujet. L’indifférence ne profite à personne car tout ce que Dieu fait arrive dans un but précis. Se pourrait-il que l’Eglise du Seigneur se trouve aujourd’hui dans la même position que le peuple d’Israël d’alors quand le Seigneur, qui était le Christ promis, cheminait sur la terre? Tous continuent à célébrer leurs cultes comme si le Seigneur n’aurait absolument rien fait de spécial. Plusieurs personnes qui s’y connaissent dans la Bible demandent même: "Elie ne devrait-il pas venir premièrement? Un prophète ne devrait-il pas apparaître?". La réponse est la même aujourd’hui qu’elle le fut autrefois: "Mais je vous dis qu’Elie est déjà venu, et ils ne l’ont pas reconnu; mais ils lui ont fait tout ce qu’ils ont voulu" (Mat. 17.12). S’il est vrai — et cela est vrai — que Dieu a envoyé un homme en notre temps sans que nous ayons reconnu le jour de Sa visitation en grâce, alors il est manifeste que nous avons passé à côté de ce qui est arrivé pour notre salut. A cause de cela, ne devrions-nous pas en toute sincérité sonder les Saintes Ecritures jusqu’à ce que nous ayons réellement trouvé le Message de Dieu pour ce temps? Comme toujours il se pourrait aussi que se reproduise de nouveau maintenant ce qui s’est passé autrefois, soit qu’aussi bien les Eglises et les Assemblées que l’ensemble du clergé continuent à suivre l’ornière de leurs propres voies, considérant que l’oeuvre que Dieu a faite ne peut leur causer que des dérangements désagréables. Et que même, ils considèrent tout cela comme l’oeuvre de l’ennemi et la mettent de côté. Parce que William Branham n’appartenait à aucune organisation, il fut généralement rejeté comme ce fut le cas des prophètes d’autrefois. Dans tous les "camps", ceux qui le reconnurent comme véritable homme de Dieu furent peu nombreux. En tant que prophète de la Parole, il ne pouvait pas davantage prendre parti pour un dogme que pour un autre, mais il devait rester dans les limites des Ecritures. Comme Paul et les autres apôtres, il enseigna que Dieu s’est révélé comme Père dans les cieux, puis qu’Il s’est révélé sur la terre dans le Fils, alors que maintenant Il habite par le Saint-Esprit dans les rachetés. Dans 1 Timothée 3.16 il résume cela de cette manière: "Et sans contredit, le mystère de la piété est grand: Dieu a été manifesté en chair, a été justifié en Esprit, a été vu des anges, a été prêché parmi les nations, a été cru au monde, a été élevé dans gloire". Même des évangélistes qui ont été inspirés et bénis par le ministère de ce simple homme de Dieu n’ont au fond pas compris de quoi il s’agit maintenant. Il en va de même de chaque Assemblée qui, en son temps, a grandement bénéficié à tout point de vue de son ministère. Comme toujours et dans tous les temps, maintenant encore seule une petite minorité a reconnu que Dieu nous a fait connaître Son plan de salut. Les véritables croyants recevront la Parole de la promesse car eux-mêmes sont des enfants de la promesse (Gal. 4.28), et ils recevront la promesse du Père (Act. 1.4). Cependant aujourd’hui règne en général le même état d’esprit qui existait lors de la première venue de Christ. Le clergé en place en ce temps-là, poussé par divers motifs, cherchait quelque chose à contester. Aujourd’hui il n’en va pas autrement. On prend pour exemple une citation prise du livre Exposé des sept Ages de l’Eglise et l’on fait le reproche que l’année 1977 n’a pas davantage vu se terminer tous les systèmes de ce monde qu’elle n’a introduit le règne de mille ans. Il serait pourtant tellement simple de vérifier soi-même la chose par comparaison avec les prédications enregistrées originales pour être convaincu que le Révérend Branham n’a jamais fait une telle déclaration. Malheureusement nous trouvons à plusieurs reprises dans ce livre des passages qui ne correspondent pas à la prédication originale. Il est incompréhensible que des hommes intelligents n’aient nullement pris la peine de trouver ce qui a été véritablement dit. On a même l’impression que cette chose-là et d’autres encore qui ont été faussement attribuées à frère Branham sont propagées intentionnellement dans le but d’intimider le plus de gens possibles. Cependant celui qui n’a pas d’idées préconçues et possède un minimum de crainte de Dieu constatera immanquablement que cet homme avait par révélation une profonde compréhension des Ecritures et que les mystères cachés de la Parole lui ont été révélés. Nous sommes très reconnaissants à Dieu pour cela. Peut-être que par ce simple exposé le Seigneur arrivera-t-Il à arrêter quelques-uns de ceux qui vont leur propre chemin, ou s’emploient à réaliser des programmes inutiles. Alors ils ne continueront plus à combattre ce qui vient de Dieu, mais deviendront eux-mêmes une partie de Son plan pour les temps de la fin. Cela est valable pour tous ceux qui rejettent le ministère établi par Dieu, en ayant ajouté foi à une argumentation ne reposant que sur des ouï-dire. Quant à ceux qui d’une part se réclament de William Branham, mais qui d’autre part diffusent des affirmations non bibliques et des interprétations des Ecritures et du Message, ils n’ont rien fait d’autre que nuire à la cause de Dieu, bien qu’ils aient pensé la servir. Je prie ceux qui ont à leur disposition des prédications de William Branham de les sonder à la lumière des Ecritures, d’éprouver par la Parole de Dieu l’enseignement qui a été publié et de faire cela sans rien en arracher de son contexte. Personne ne devrait se fier à sa propre compréhension ou à l’opinion d’autrui. Ensemble nous voulons agir comme les croyants de Bérée: "Or ceux-ci étaient plus nobles que ceux de Thessalonique; et ils reçurent la Parole avec toute bonne volonté, examinant chaque jour les Ecritures pour voir si les choses étaient ainsi" (Act. 17.11).
Posted on: Sat, 27 Jul 2013 13:16:34 +0000

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