11 octobre 2013 0 commentaire(s) IMMOBILIER Observatoire - TopicsExpress



          

11 octobre 2013 0 commentaire(s) IMMOBILIER Observatoire Francilien des prix du logement : une variation de +1 à -2 % en 2013 Crédit photo : lamaisondelimmobilier.org/ Imprimer Flux RSS L’observatoire des prix de la FNAIM Paris Ile de France constate une baisse de la valeur des transactions non significative entre +1% et -2% alors qu’une réelle baisse des volumes de transactions est confirmée : -8% par rapport à 2012. A l’occasion de la 27ème vague de l’Observatoire Francilien des prix du logement, la FNAIM Paris Ile de France améliore sa cartographie interactive, désormais résolument tournée vers le Grand Paris. Chaque acquéreur en recherche d’un bien en Ile de France peut localiser sur « lamaisondelimmobilier.org » dans quelles zones il peut trouver un bien répondant à ses besoins en fonction des 3 critères principaux : le budget, le nombre de pièces et le temps de transport. Cette approche confirme que le prix au m² n’est qu’un indicateur de marché. Dans un climat économique anxiogène, si une réelle baisse des volumes de transactions est confirmée, la variation des prix à la hausse ou à la baisse est faible. En lançant la 1ère cartographie croisant une recherche par nombre de pièces en fonction d’un budget, la FNAIM Paris Ile de France revient au besoin réel des franciliens. Aujourd’hui, l’outil s’enrichit de 4 nouvelles fonctionnalités : une couverture de toute l’Ile de France, hormis la Seine et Marne ; les futures lignes de transports du Grand Paris : le Grand Paris est désormais une réalité incontournable ; un critère de sélection par temps de transport ; les agences FNAIM dans la zone de recherche sélectionnée. Gilles Ricour de Bourgies, Président de la FNAIM Paris Ile de France, précise : « Choisir un logement, ce n’est pas acheter du m². C’est acquérir un nombre de pièce en fonction d’un projet familial, d’une capacité d’endettement et en particulier en Ile de France de temps de transport. Cette carte met en évidence le potentiel du Grand Paris. En effet, une acquisition est un projet à long terme, qui, je le rappelle, nécessite confiance en l’avenir et stabilité fiscale. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui : 5 modifications fiscales majeures sont survenues en moins de 2 ans. » En Ile de France, la baisse des volumes de ventes depuis 2012 est continue : avec moins de 130.000 ventes prévues cette année, les volumes baissent de 8% par rapport à 2012 et de 20% par rapport aux années les plus hautes en termes de transactions (1999-2007). Cette observation est nuancée par une légère reprise de la demande depuis septembre 2013. Cette baisse importante des volumes peut s’expliquer par trois phénomènes concomitants : Une offre qui ne rencontre pas la demande. La majorité des demandes à Paris se concentre sur des appartements de deux chambres, cest-à-dire de petits appartements familiaux. Or, ces logements ne représentent que 20% de l’existant. Une véritable crise de confiance induite par un climat économique anxiogène et fiscalement instable. Elle impacte largement la mobilité des Parisiens en particulier. Une fiscalité qui s’est alourdie et en particulier pour les investisseurs étrangers (CSG). Ces deux derniers éléments impactent aussi le marché de la location en Ile de France. L’investissement locatif est en très net recul depuis plusieurs mois. Certains propriétaires bailleurs se séparent de leurs appartements, qui sortent alors du parc locatif. Par ailleurs, cette baisse des volumes sans hausse de prix impacte les rentrées fiscales des mairies et des départements. La Mairie de Paris accuse, à elle seule, une baisse de 300 millions d’euros de rentrées fiscales. Quant aux variations de prix, elles se situent entre +1% et -2%. La baisse est alimentée par un afflux de biens chers, supérieurs à 2 millions d’euros, qui ont du mal à trouver preneur, mais qui ne représentent que 5% du marché. D’un autre côté, les biens de qualité restent très demandés et à un prix unitaire élevé. La baisse constatée sur ces appartements chers est largement compensée par le maintien des produits cœur de marché, cest-à-dire les studios et 2 pièces, qui représentent la moitié du marché. En revanche, on assiste à un véritable resserrement des prix : les quartiers les plus chers stagnent, alors que les quartiers limitrophes augmentent. Cela correspond à la « gentrification » de certains micros marchés dans Paris intra-muros et certaines communes limitrophes. Ce phénomène est très visible dans le 18ème, par exemple, où les quartiers populaires augmentent alors que le haut de la Butte Montmartre se stabilise. Source : lamaisondelimmobilier.org/
Posted on: Mon, 21 Oct 2013 23:20:42 +0000

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