C’est quand-même le président de la France… Quelle - TopicsExpress



          

C’est quand-même le président de la France… Quelle France? par Fernand Chaput Les sifflets, les quolibets, les injures envers François Hollande sont devenus de mois en mois monnaie courante lors de tous ses déplacements en France. Certes me diriez-vous tout de même il y a les incidents qui en émaillèrent les cérémonies du 11 Novembre, c’est quand-même le président de la France. Quelle France? Celle des 15% de gens lui accordant encore une once de confiance. Tiens-donc ! Subitement ces incidents scandalisent la presse et nos médias, qui tous à l’unanimité se montrent soudainement très préoccupés de cette « France au bord d’une véritable explosion sociale » … C’est pourtant eux, qui y ajoutèrent sur ce feu violent qui y couvait déjà, des louches d’huile brûlante pour l’activer lors de la campagne présidentielle de 2012. Ce sont les mêmes qui ont, durant la campagne présidentielle de 2012, rajouté à profusion d’articles assassins les louches d’huile sur ce feu meurtrier qui y couvait déjà au sein de notre nation, ce sont eux, qui titrèrent « Sarkozy est devenu fou » Un autre le comparant à Franco, le troisième à Staline et enfin le comble du raffinement un autre à Hitler. Ce sont tous ces mêmes journalistes, qui au nom de leur étique et d’une morale de gauche, firent absolument tout ce qui était alors en leur pouvoir pour faire perdre à Nicolas Sarkozy la présidentielle de 2012. Curieusement à la Une de cette même presse, on y titre: « Hollande privé d’armistice » (Libération), « Le président des sifflets » (20 minutes), « Ça craque de partout » (L’Opinion), « La fronde se généralise » (Le Figaro), « La pression monte sur Hollande » (Les Échos). Les titres des quotidiens ne vont pas avec de tels titres, raviver le moral d’un exécutif qui lui est réellement en pleine tourmente. Les éditorialistes condamnent certes sans ambages les huées contre le chef de l’État pendant les cérémonies du 11 Novembre. « Une bêtise antipatriotique », pour Michel Urvoy d’Ouest France, commise par des manifestants qui « ont sali la République » selon Yann Marec (Midi libre). Dans L’Humanité, Michel Guilloux fustige même les « nouveaux factieux« . Mais ces incidents participent d’un climat inquiétant où « chaque jour qui passe voit l’ouverture d’un nouveau front de la protestation« , constate Philippe Marcacci dans L’Est républicain etc. Le responsable de cette sale ambiance, n’est ni plus ni moins que Monsieur François Hollande et son gouvernement fait de bric et de broc avec des gens d’une rare incompétence. Aujourd’hui regardons les faits à la lumière crue des réactions compulsives de 75% de nos concitoyens, la presse depuis septembre 2010 les avait préparés à devoir en élire un nouveau président, D S K croupissant derrière de solides barreaux d’une prison New-yorkaise, eux qui l’avaient déjà élu prochain président battant Nicolas Sarkozy avec plus de 15 points d’avance, je pense que c’est une défaite de Nicolas Sarkozy que lui avait préparé la presse et les médias depuis longtemps. Pourquoi ressasser ces faits perturbants pour une nation ? C’est une façon pour moi de me dire que je n’aurais pas contribué à une issue pour la France, qui me semble aujourd’hui devoir devenir sombre et tragique. Je dois ajouter à ce que je viens de noter avec un dégoût absolu et révolté que la presse et nos médias sont inconscients, puisque désormais il nous faut payer dans la hargne de l’anti-Sarkozysme de la plupart des grands médias, une atmosphère de curée venimeuse aux relents totalitaires qui débouchent de façon inexorable sur les prémisses d’une atmosphère pré-révolutionnaire ou bien à la montée de l’extrême droite que les socialistes favorisèrent à outrance pour mieux diviser les droites de gouvernement et en capter des pouvoirs qui ne leur revenaient nullement, mathématiquement pour le moins, grâce aux triangulaires. Ces gens-là, accusèrent il n’y a que très peu de temps Nicolas Sarkozy d’être d’extrême droite. Ils ressortirent des photos de Pétain, Lénine, Staline et Hitler dans une course folle au dénigrement le plus absolu, sans se rendre compte que c’est la France qu’ils dénigrèrent dans les pires outrances. Aujourd’hui ayant fait élire depuis plus de 18 mois le substitutif de DSK pour ne point avoir tort, c’est cette même France Trahie, Bafouée, Maltraitée par eux en pensant démolir Nicolas Sarkozy sous les pires des outrances, qui réagit, car aux vues des si piètres résultats obtenus par François Hollande, elle fait plus que renâcler, elle se révolte ouvertement. Face aux 60 milliards d’euros d’impôts nouveaux qu’on préleva en moins de 18 mois, sur le seul dos de la classe productive, alors que tant d’autres bénéficient de largesses sociales totalement inadmissibles, mais que l’on en rajoute après tous les saltimbanques venus chez nous, y chercher pitance, le comble un RSA pour 100 000 étudiants ayant échoués dans leurs études, dans leurs recherches d’un emploi… C’est aussi cela ce que l’on appelle la goutte qui fait déborder la coupe. Les Socialistes incriminèrent Sarkozy parce qu’il avait dit que les électeurs du Front National faisaient partie de la république. Les socialistes se proclament aisément antifascistes. Or, ce sont eux les fascistes, et il serait utile de leur rappeler que le fascisme, comme le national-socialisme sont des collectivismes socialistes, les mêmes qui conduisirent Hitler au pouvoir Dans cette « France au bord de l’explosion sociale », pour Le Midi libre, « nul n’est capable de prédire l’issue de ce qui apparaît comme autrement plus grave qu’un chahut passager, qu’une manifestation de mauvaise humeur », estime Yves Thréard dans Le Figaro. Mais « n’importe qui peut, en revanche, désigner le responsable de cette sale ambiance« , ajoute l’éditorialiste du quotidien conservateur. « On peut, comme François Hollande, prétendre tenir le cap, mais il deviendra vite impossible de faire comme si rien de tout cela n’avait d’importance« , renchérit Nicolas Beytout dans L’Opinion. Les critiques fusent contre le chef de l’État de toutes parts, et bien au-delà de la seule presse de droite. « Élu pour apaiser une société électrisée par le Sarkozysme, François Hollande l’inquiète par un optimisme décalé et une absence apparente d’autorité« , analyse Bruno Dive dans Sud-Ouest. « C’est un cercle pervers dans lequel s’est enfermé le pouvoir : La peur d’être impopulaire – alors même qu’il l’est déjà, selon tous les sondages – freine dangereusement l’action politique et autorise tous les débordements », ajoute Jean-Claude Soulery dans La Dépêche du Midi. « Il serait donc temps, si c’est encore possible, que François Hollande montre qu’il occupe le costume présidentiel pour lequel on vient de témoigner aussi peu de considération« , insiste Philippe Waucampt dans Le Républicain lorrain. Dans Le Journal de la Haute-Marne, Patrice Chabanet fixe les termes de l’alternative : « Soit François Hollande est sûr de ses choix et il les assume pleinement. Soit il s’est trompé et il assume tout aussi simplement un changement politique majeur, comme l’avait fait Mitterrand, ou bien Jacques Chirac en provoquant une dissolution de l’assemblée nationale. Faute de quoi, la déstabilisation du pays ne pourra que prospérer et augmenter de jour en jours jusqu’à une explosion, que plus personne ne maîtrisera. » Enfin disons le franchement, jamais distorsion ne fut plus spectaculaire entre le vécu et le discours, entre la réalité telle que la subit le peuple et l’illusion telle que l’entretient le pouvoir. Comment s’étonner que la défiance ait grandi aussi vite entre François Hollande et le peuple au point que le pays se trouve aujourd’hui menacé d’une crise politique grave voire-même selon beaucoup une crise de régime ? Le peuple de France, n’a que défiance envers le marxisme et le socialisme, même si c’est diffus en son esprit, c’est aussi pour cela qu’il se révolte de la Bretagne jusqu’où ? Hélas l’on ne peut pas se réjouir d’avoir très tôt annoncé ce désastre et d’en avoir imputé la responsabilité au gouvernement socialiste et au chef de l’État en particulier. À leur façon, ils ont d’ailleurs reconnu leurs erreurs initiales, en infléchissant leur politique d’une manière plus conforme à la réalité et à l’évidence. Ce fut fait du bout des lèvres, fort timidement, lorsque furent enfin prises des mesures en faveur de la compétitivité, de l’investissement et de l’emploi. Mais on dit bien : à leur façon, c’est-à-dire tardive et incomplète. À preuve, l’inefficacité affligeante du peu de résultats obtenus. Aujourd’hui, tout est congelé : Les entreprises sont suspendues à l’instabilité fiscale. Mais je dois bien affirmer, qu’il est une jeunesse qui elle non plus ne se reconnaît pas dans ce que l’énarchie socialiste veut pour elle, en quittant, diplôme en poche, notre nation qui se saigne à blanc de ses forces vives, cadres, ingénieurs, chercheurs, scientifiques, comme nos patrons et entrepreneurs, qui quittent eux aussi la France à toute vitesse, ainsi que les capitaux qui fuient eux aussi au nom de la sacrosainte taxation à 75%… SV
Posted on: Wed, 20 Nov 2013 10:08:59 +0000

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