Eloge à la guerre Prosaïquement, l’Etat se donne à voir, - TopicsExpress



          

Eloge à la guerre Prosaïquement, l’Etat se donne à voir, sans doute comme étant une société organisée, bien agencée, ayant des institutions, des organes administratifs et un gouvernement. Toutefois, les conditions de gestion d’un Etat apparaissent souvent difficiles pour la plupart des dirigeants dans le monde et en particulier en Afrique. Aussi, le contexte nous fait penser l’Etat austère, rêche, et dangereux, d’où le présent sujet : » De la cruauté et de la clémence et s’il vaut mieux inspirer l’amour que la crainte dans la gouvernance de l’Etat ». La présente thématique nous autorise de ressortir en amont deux interrogations fondamentales qui constitueront la plate forme de notre analyse. En occurrence : le prince doit-il faire montre de cruauté pour qu’il soit craint par ses sujets et par les puissances extérieures ? Ou, doit-il user de la clémence pour être aimer par son peuple et des forces extérieures ? Pour essayer de répondre à cette énigme, nous allons par souci de rigueur, conceptualiser autant que peut se faire notre rédaction à des réalités pratiques d’Afrique en ce qui concerne la gouvernance des Etats Nations nobles de ce continent. Pour éclairer tout lecteur, en l’occurrence, tout gouvernant qui se veut légal, légaliste, légitime dans une approche politique sans bévue. Il est à signaler d’entré de jeu que tout prince, ne doit avoir, d’autres objets, d’autres pensées, d’autres arts, d’autres projets, que celui de la régulation pertinente des troubles de sa cité par tous les moyens afin de prémunir la stabilité sociale. Cela va sans dire que les affrontements entre nations, ne sont pas d’ autant mal que régulateurs des disfonctionnements étatiques dans leurs généralités. Etant donné que c’est le seul art, de manière extrême passant outre toutes les méthodes de consensus, d’analyses et d’apaisement entre les peuples, il convient de dire sans risque de nous tromper que l’art de la guerre convient à qui commande pour une résolution finale. De manière assez lumineuse le tenant des rênes d’un peuple, d’une nation possède en lui, tant de vertu que non seulement il préserve le trône d’un prince adorer, vigoureux mais bien souvent élève au rang noble les hommes de bonnes analyses pouvant défendre les couleurs de la nation partout ou besoin se fera sentir. Loin de toute méfiance, les échanges de force profitent au tant à la nation qu’a toute force active capable de soutenir sans cesse le bien de la nation. Pour élucider mon propos il est question de montrer que tout chef qui se donne aux plaisirs plutôt qu’aux armes. La première cause susceptible de te détrôner est donc l’ignorance de cet art, comme la cause qui te permettra l’ascension au pouvoir et sa connaissance approfondie. Entre un homme armé et un, désarmé, il n’ ya aucune comparaison possible ; car il n’est pas logique que le fort obéisse au faible de bon gré que le maitre désarmé vive en sécurité au milieu de ses serviteurs armés : chez les uns régnant le dédain, chez l’autre l’appréhension, il n’est pas concevable qu’il s’accorde ensemble. De même, un prince qui n’entend rien au métier des armes, outre les désagréments que nous avons déjà dit, mais peut-être estimé de ses soldats ni avoir confiance en eux.
Posted on: Fri, 08 Nov 2013 18:04:19 +0000

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