Georges Pérec, donc, pour ne pas perdre le phile, sadonnait à la - TopicsExpress



          

Georges Pérec, donc, pour ne pas perdre le phile, sadonnait à la fabrication des grilles de mots croisés comme gagne pain. Mais cest quil en mangeait... On ne saurait prétendre que tel était son violon dIngre, puisquil était rémunéré pour manger son pain quotidien à la sueur de son front; voilà qui est bien chrétien et croisé comme sens. Sans parler de la sainte axe. Voilà qui est barbare, tout autant que le dossard urbain pouvait apparaître à son créateur; nouvelle référence à la croix. Nous aurions pu écrire géniteur, mais cela ne cadrait pas bien avec la fabrication de la phrase sensée référer à la production de la toile en question. Ne pas confondre avec le tissu sur lequel elle fut entoilée, ce qui serait un denim de justice. Décidément, on se permet de jouer de sens ici, tout en restant collé au sujet, cest à dire le dos du vêtement barbare, qui na de bizarre que le nom. Enfin des mots payants. Les z et les y sont là pour gagner. Mais au fait, quest-ce qui est à lorigine de ces mots qui se cherchent ici une matrice afin de se voir croisés avec leur point de départ ? Revenons donc à nos moutons, nous cherchions le mot qui désigne celui qui fabrique les grilles de mots croisés. Verbicruciste nous avait été donné, mais sans quil ne retienne notre attention. Par trop occupés par la grande toile sur laquelle on aura préféré coller des images barbares sans doute. Cest quentre les mots et la peinture, ils est bien difficile de choisir. Mais les mots croisés, cest bien plus beau, que la peinture à leau.
Posted on: Thu, 28 Nov 2013 10:39:09 +0000

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