Hergé n’a cessé d’entraîner son héros et ses compagnons - TopicsExpress



          

Hergé n’a cessé d’entraîner son héros et ses compagnons dans les mondes étranges du rêve, de la voyance, de l’hypnose, de la télépathie. Au cours des aventures du petit reporter belge, les expériences ne manquent pas qui font la part belle aux extraterrestres ou aux sociétés secrètes. Le spirituel n’est jamais très loin et la folie guette. Historiens et « tintinologues » ont uni leurs talents et passions pour vous guider de l’autre côté du miroir. Ils retracent les incursions d’Hergé dans le paranormal et mettent en perspective les grands événements et les figures emblématiques qui en ont marqué l’histoire. Note UFOFU : Un ouvrage remarquable, à la couverture cartonnée et au contenu richement illustré, au regard d’un prix modique : 8,90 Euros. Les onze thèmes abordés (avec, il faut le dire, une certaine inégalité de qualité dans leurs traitements) sont : - Le rêve - La voyance - L’hypnose - La radiesthésie - Le paranormal - La télépathie - Les extraterrestres (et leurs dérivés : Ovnis, Anciens astronautes, etc…) - Les superstitions - Les sectes - Le spirituel - La folie Diverses personnalités (et pas seulement des historiens comme l’indique l’extrait du lien) interviennent dans l’album : citons entre autres, Bertrand Méheust pour la partie traitant de la télépathie et Henri Broch, le zététicien bien connu, qui évoque, dans une approche évidemment strictement rationaliste*, les tours des fakirs (chapitre bizarrement titré ” le paranormal” - comme si l’on pouvait résumer cette appellation aux seuls tours des yogis, fakirs et bateleurs d’antan). Coédité en Suisse par “Le Temps” et Historia, c’est l’association des revues “le Point” et “Historia” qui publie la version de ce hors série vendue en France. * On notera cependant cette déclaration d’Henri Broch, tout à la fin de son texte : Cela ne doit toutefois pas nous amener à conclure trop rapidement que nous connaissons tous les mystères, toutes les facettes que certains présentent. Repensant un instant à ceux de Mirin Dajo, j’estime qu’il est avisé de se dire que, plutôt que de tout croire ou de tout nier a priori, il faut -lorsque l’on n’a pas suffisamment de données ou que celles-ci ne sont pas suffisamment précises- savoir suspendre son jugement. Car le point d’interrogation n’est pas une marque d’ignorance, c’est une marque de sagesse. source : UFOFU
Posted on: Tue, 19 Nov 2013 20:22:21 +0000

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