KABYLIE : L’ISLAM EN DECLIN. Les kabyles, berbères dAlgérie occupant un large massif montagneux situé à lest dAlger constitué de la Grande Kabylie et de la Petite Kabylie, se convertissent en masse au protestantisme. Chaque vendredi, des cours dévangélisation sont donnés dans une église des Ouadhias (centre de la Grande-Kabylie). Les messes sont officiées les vendredis. Un copte égyptien chargé dexpliquer la bible est secondé par un kabyle qui sert dinterprète. Des invités de marque participent souvent aux importantes réunions au sein desquelles on notera également la présence des communautés anglophones dAfrique, dAsie et dautres horizons. Un cours est donné par Meriem (vierge marie), une jeune fille kabyle. Ensuite, nous assistons à la lecture dans le missel, par le pasteur (en langue française), un passage du texte biblique. L’explication est donnée par cette jeune fille kabyle. Notons aussi que les ouvrages religieux sont édités en langue berbère (kabyle). Lapport financier étant assuré par la communauté chrétienne de cette région berbérophone, la chapelle est dirigée par Ouagueni Mohand-Arezki. Ce dernier étant membre permanent de léglise des Ouadhias est spécialisé dans les louanges, ladoration ainsi que dans lanimation. Cette institution emploi dix personnes. Les dons et les offrandes charitables permettent largement à cet édifice religieux de fonctionner. Les aides extérieures nexistent pas. L’intolérance des musulmans pousse les jeunes (filles et garçons) à se convertir au protestantisme. Jouissant dun esprit primesautier, les responsables de cette chapelle distribuent les livres de lévangile aux visiteurs qui viennent des quatre coins du pays (des arabophones nhésitent pas à leur tour dembrasser cette religion). Né en 1975 à béni-douala, une région située non loin des Ouadhias, khaled dit sêtre converti à lâge de 18 ans, plus précisément en 1973 et ce malgré les multiples pressions dont il a fait lobjet de la part de son paternel. Rencontrée, une jeune fille répondant au prénom z. mina, né en 1973 également, a eu cette réaction : je me suis convertie au christianisme en 1972 en faisant fi de lopposition de mes parents qui ont fini par accepter. Il est vrai aussi, que lislam étant religion détat, donc enseigné à lécole, les jeunes kabyles sy opposent tout de même une fois sortis de leur établissement. le mariage avec les arabes savère dores et déjà impossible vu que la majorité de ceux-ci sont de confession musulmane. Quant aux kabyles musulmans, ils sont dotés dune tolérance insoupçonnable. C’est ainsi que nous découvrirons que les kabyles (chrétiens, juifs et musulmans) possèdent un cimetière commun. À Tizi-Ouzou, la capitale de la région, le responsable musulman de la mosquée de cette ville, le dénommé abdellah aksouh aura cette malheureuse réaction : une femme ne doit en aucun cas épouser un juif ou un chrétien. Ceci est contraire aux normes islamiques. le coran est très clair là dessus. Cet acte est illicite. Les chrétiens et les juifs doivent dautre part avoir chacun un cimetière. Toutefois il ne faut pas oublier que lislam demeure la seule religion qui aura de la considération. Ce mouvement dévangélisation sestompera vite. Seul lislam triomphera de ses ennemis. Voyant que cet énergumène commençait à verser dans lanti sémitisme primaire et odieux je préfère donc en prendre congé. En effet, il risquait fort de...blasphémer même ! dieu na-t-il pas demandé à lhomme daimer son prochain? De cette discussion, une conclusion simpose donc. Au vu des réactions intolérantes enregistrées par les adeptes de lislam, il est donné de croire à loisir que dieu, Yahvé ou Allah na à aucunement demandé au musulman de respecter sa création pour la seul raison : la seule création reconnue par les islamiques demeure la leur, celle qui sème le désarroi au sein dun monde civilisé, le monde judéo-chrétien en somme. Ce racisme aura bien évidement par avoir raison de la religion maladroitement défendue. Les signes avant coureurs lattestent amplement. en plus des régions berbérophones dAfrique du nord, les musulmans dEurope de lest, principalement en Hongrie, abandonnent leur religion. RACHID YAHOU lefigaro.fr/medias/2010/09/20/614b3b7e-c4fd-11df-898c-840fdc7a84c8.jpg
Posted on: Fri, 25 Oct 2013 22:00:56 +0000
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