LE VALSE DES MAUVAIS PERDANTS : Comme il fallait s’y attendre, - TopicsExpress



          

LE VALSE DES MAUVAIS PERDANTS : Comme il fallait s’y attendre, le CST et la coalition Arc En Ciel ont subi un vrai camouflet de la part des électeurs le 25 juillet dernier. Ceux-ci ont sévèrement sanctionné leur manque de stratégie, leur incohérence et leur inorganisation, en leur accordant qu’à peine 25 sièges à tous les deux. Au lieu de tirer les leçons de cet énième échec et de s’incliner devant la volonté claire et manifeste du peuple de faire confiance à une majorité homogène, expérimentée et soudée autour de Faure Gnassingbé, ces regroupements contestent les résultats et s’apprêtent à recommencer de nouveau ce qu’ils savent le mieux faire : marcher, marcher et marcher encore. Et semer des troubles. Cette attitude est honteuse et constitue une insulte à la démocratie et une provocation envers les Togolais qui ont porté à une majorité écrasante et historique, leurs suffrages sur le parti présidentiel UNIR. Pour des prétendus démocrates qui passent leur existence à donner des leçons à tout le monde et à invoquer les grands principes universels, c’est un paradoxe absolu que de refuser le verdict des urnes. Ces mauvais perdants éternels qui pensent qu’un scrutin n’est crédible que lorsqu’ils l’ont gagné démontrent à la face du monde, leur amateurisme chronique et l’embrouillamini permanent dans lequel ils végètent. Pendant plusieurs mois, ils ont préféré marcher, insulter, invectiver, détruire les biens publics et privés, essayé de soulever les populations au lieu d’être sur le terrain, aux côtés des compatriotes du Togo profond, avec une oreille attentive et de leur porter leur projet. Aujourd’hui que le résultat est là, cinglant, ils jouent à l’autruche et fuient leur responsabilité. Le gouvernement doit faire preuve de fermeté et doit être sans concession aucune envers des mauvais perdants qui feraient montre d’irresponsabilité, en tentant de troubler la paix sociale et la cohésion nationale avec des actes de violence ou de défiance. Le peuple souverain a parlé : chacun doit s’y soumettre ou disparaître.
Posted on: Sat, 27 Jul 2013 23:34:18 +0000

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