Le MAIRE sortant de BASSE-TERRE avait clamé urbi et orbi pendant la campagne de Mars 2008 quelle naugmenterait pas les impôts. Pourtant, les impôts ont bel et bien augmenté, accroissant ainsi une pression fiscale sans précédent à BASSE-TERRE. Au delà des taxes dhabitation et de limpôt foncier qui ont atteint des records, le MAIRE sortant, par ailleurs cumulant la très rémunérée fonction de Président de la Communauté de communes, a également revu les tarifs des prix de leau et de lassainissement. Alors rédacteur de la revue le Socialiste, jai dénoncé cette politique qui avait en réalité pour but daccroître opportunément des fonds afin dengager des actions mascaras à lorée des municipale de 2014. Depuis la création de lEPCI, aucune politique prospective daménagement du territoire na été engagée. De plus, la Communauté de communes, érigée depuis en Communauté dagglomération, à sollicité du Conseil général de la Guadeloupe, de gérer, le transport inter-urbain. Force est de constater que ce service public est purement inopérant. Au delà de la construction dune petite billettique à la Gare routière, aucun schéma de transport urbain na été rédigé, aucune concertation avec les usagers na été lancée, aucun audit de qualité na été initié. Par ailleurs, jai proposé dès 2007 que les tarifs soient revus à la baisse en fonction des catégories de population (jeunes, étudiants, personnes âgées, chômeurs), que les rotations soient plus fréquentes et que des abri-bus sur chacun des arrêts soient construits et matérialisés sans que mes propositions soient entendues. De plus, la Communauté de commune à sollicité une compétence annexe qui vise à développer un intérêt culturel dans lespace communautaire. Pour projet, depuis quelle à obtenu de pouvoir gérer la Médiathèque intercommunale, aucune programmation culturelle, aucune action daction denvergure na été initiée. La gestion du personnel de la Médiathèque et des possibilités dy faire activement de la politique politicienne relève vraisemblablement des actions engagés par le PRÉSIDENT. Sagissant de la gestion de leau, de trop nombreux administrés se voient privés du précieux liquide parce quaucune politique pluri-annuelle de restructuration des réseaux défectueux na été conduite depuis la création de lEPCI en 2002. Le MAIRE singénie, dans des vidéos nauséabondes, à gesticuler à grands renforts de communication, en pérorant sur les chantiers, quelle lance très opportunément. le moment venu, il sagira pour nous de linterroger publiquement sur son vrai bilan depuis 1995. Une ville sans perspective, sans dynamisme, sans projets, qui se vide, sans plan de formation pour le personnel, avec un endettement colossal sur bien 30 ans, sans schéma directeur daménagement du territoire, sans politique sociale daide et dappui aux déshérités, sans plan prospectif de développement urbain...bref une Ville qui mérite quune équipe propose enfin un projet alternatif et sérieux, que nous construisons en concertation avec celles et ceux avec qui nous échangeons. Parce que cest notre ville, il sagira de notre responsabilité collective.
Posted on: Sat, 19 Oct 2013 16:57:31 +0000
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