Le baptême du Saint-Esprit Écrit par Reinhard Bonnke Le - TopicsExpress



          

Le baptême du Saint-Esprit Écrit par Reinhard Bonnke Le baptême du Saint-Esprit caractérisa Jésus. Jean Baptiste fut envoyé pour annoncer Celui qui devait venir, mais personne ne savait de qui il parlait. Il dut Le décrire sans quoi personne n’aurait était capable de Le reconnaître. Il dit : « C’est celui qui baptise du Saint-Esprit » (Jean 1 : 33). La caractéristique principale de Jésus serait qu’Il baptiserait de l’Esprit. Personne d’autre n’était caractérisé ainsi. Jésus, Lui seul, est Celui qui baptise de Saint-Esprit et de feu. Personne d’autre ne peut le faire, le donner ou le communiquer. C’est le droit et la prérogative de Dieu seul. La raison à cela est que le baptême n’est pas seulement la réception d’une puissance mais de Dieu Lui-même, du Saint-Esprit. Un Jésus qui ne baptise pas de Saint-Esprit et de feu n’est pas le Jésus de la Bible. Personne n’a le droit de prêcher le Christ autrement que comme la Bible Le décrit : un Christ qui baptise du Saint-Esprit et qui est « le même hier, aujourd’hui et éternellement » (Hébreux 13 : 8). Il est un Dieu fidèle, à jamais fidèle à Lui-même, fidèle envers nous et fidèle à Ses promesses. Lorsque les apôtres furent traînés devant les autorités arrogantes, ils portaient en eux les marques du Saint-Esprit. Leurs témoignages inébranlables et leur assurance surprirent grandement leur entourage. L’Esprit ne provoque pas seulement une effervescence dans l’âme des croyants, mais transparaît dans le langage du corps, au travers de la personnalité, dans la voix, dans le regard, dans le fruit de l’Esprit produit, dans des attitudes qu’on n’aurait jamais soupçonnées en soi. Jésus avait destiné Ses disciples à être des témoins de Sa résurrection. Ce message était vital, transformateur et donnerait la vie. S’il avait été présenté fortuitement, froidement et avec une attitude du genre « croyez-le si vous en avez envie », il n’aurait eu aucune répercussion. Il devait être prêché de manière glorieuse, comme un fait vital, par des personnes passionnées, par des témoins manifestement électrifiés par leur message, des exemples vivants de ce qu’ils prêchaient. Jésus leur dit : « de ne pas s’éloigner de Jérusalem, mais d’attendre ce que le Père avait promis, ce que je vous ai annoncé ... Mais vous, dans peu de jours, vous serez baptisés du Saint–Esprit ... vous recevrez une puissance, le Saint–Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins ... » (Actes 1 : 4-5,8). Ce que l’Esprit du Seigneur allait faire deviendrait leur devenir, les transformant en des torches. Il serait – et l’est toujours encore – la clé d’une évangélisation efficace. Jésus dit : « Sans moi vous ne pouvez rien faire » (Jean 15 : 5) ; nous devons rester attachés à la vigne d’où vient la sève. La vie de l’Esprit est le secret des nouveaux disciples. Nous pouvons peut-être faire de grandes choses sans le Saint-Esprit, mais alors, rien n’aura de résultats éternels. « Ne quittez pas Jérusalem, mais attendez la promesse du Père » (Actes 1 : 4). Christ monta au ciel et demanda au Père d’envoyer Son don, le Saint-Esprit et dix jours plus tard, Il venait. L’Esprit ne vint pas en silence. Il annonça Son arrivée au travers des 120. Il se manifesta verbalement par des langues et des prophéties parmi les croyants assemblés. Pour les disciples et les apôtres, ce fut leur plus grand jour. Le Saint-Esprit est l’esprit d’amour du Père et du Fils : « Dieu a versé son amour dans nos cœurs par l’Esprit qu’Il nous a donné »(Romains 5 : 5). Cet amour se mit à transformer les croyants et à opérer à travers eux. Ce qu’ils devinrent était ce que l’Esprit avait fait d’eux. Ce baptême était destiné à chacun d’entre eux, individuellement, non pas pour l’église dans sa globalité. D’autres, comme ceux de la maison de Corneille reçurent l’Esprit pour eux-mêmes. Rien dans le Nouveau Testament ne suggère que nous pourrions nous passer de ce qu’avaient les apôtres ou que ce qu’ils avaient, n’était que pour eux. Au contraire, le message de Pierre était clair :« Vous recevrez le don du Saint Esprit, car à vous est la promesse et à vos enfants, et à tous ceux qui sont loin, autant que le Seigneur notre Dieu en appellera à lui » (Actes 2 : 38-39). Si les disciples ont dû attendre d’être revêtus de la puissance du Saint-Esprit pour prêcher l’Evangile et manifester le Tout-Puissant, pouvons-nous accomplir l’œuvre de Dieu sans être équipés de la puissance de Dieu ? Nous avons définitivement besoin de tout ce que Dieu nous donne, et le monde a besoin de gens équipés ainsi. Aujourd’hui, plus d’un demi milliard de personnes sur cette terre ont fait l’expérience de ce don et s’en réjouissent. C’est presque effrayant de réaliser que Jésus quitta ce monde afin de permettre au Saint-Esprit de venir. « Si je ne m’en vais pas, le Consolateur ne pourra pas venir » (Jean 16 : 7). Après la résurrection, les disciples, ébranlés et apeurés, se cachaient de peur d’être trouvés et de ce qu’ils pourraient encourir. Ils avaient vraiment besoin du baptême et d’être revêtus de puissance – et nous aussi. Dieu nous accordera ce dont nous avons besoin : « Notre Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Christ Jésus »(Philippiens 4 : 19). aucun changement dans ce monde ne rendra la puissance de l,esprit superf ue. Il n’y a aucune alternative à la puissance de l’Esprit, aucune méthode, aucune manière de faire, aucune pensée ou approche alternative. L’Esprit doit accomplir le travail. Le monde a encore besoin de Salut, toujours besoin d’être convaincu et ceci est impossible sans le Saint-Esprit. Le Saint-Esprit n’est pas un sentiment de respect qui plane autour d’un vieux bâtiment religieux. Si l’Esprit se manifeste, c’est bien au travers d’êtres humains, d’hommes et de femmes remplis de l’Esprit. Le message adressé aux croyants est : « Soyez remplis de l’Esprit » (Ephésiens 5 : 18). La Bible ne nous dirait pas d’être remplis, si nous pouvions vivre sans. Jésus a dit que nous devions demander, chercher et frapper car Dieu donne l’Esprit à ceux qui le Lui demandent (Luc 11 : 9-13). Cela ne suggère pas une demande occasionnelle mais d’être constamment ouvert à Dieu, d’être un demandeur, un chercheur et un frappeur permanent de Dieu. Dieu reconnaîtra ceux qui sont toujours prêts pour la bénédiction. Il nous a donné Sa Parole et nous devons nous emparer de Ses promesses. Pour être remplis, nous faisons ce que Jésus dit : « demander ». Cela ne signifie pas formuler un souhait éventuel ; demander, frapper et chercher sont un style de vie. le saint-esprit vient lorsqu,il le veut sur ceux qui sont prets. Nous ne recevons pas le Saint-Esprit comme on achète une barre de chocolat dans un distributeur en poussant un bouton et voilà ! « Celui qui cherche, trouve » (Luc 11 : 10) et on sait quand on a trouvé ce qu’on a cherché. Le baptême du Saint-Esprit est reçu dans la foi et les signes qui Le suivent en sont la preuve. Tous ceux qui reçoivent le Saint-Esprit parlent-ils forcément en langues ? La réponse générale est un « oui » ferme – ou le serait si tout dans ce monde était parfait. Dieu n’a pas de règles. Ce qu’Il fait est ce qu’Il peut faire selon notre foi. Dire que les gens peuvent être baptisés sans recevoir le parler en langues, ne s’aligne pas sur le Nouveau Testament car ce dernier est plein d’exemples nous montrant clairement que tous parlèrent en langues. Si les gens ont peur par rapport au parler en langues, ont reçu des enseignements confus ou pour toute autre raison même inconsciente, l’Esprit peut être éteint et cela L’empêche de faire ce qu’Il ferait normalement, c’est-à-dire de donner des signes. Certains croient au Saint-Esprit mais pas aux langues qui sont données selon notre foi. La question majeure qui se pose pour ces gens-là est : comment savent-ils avec assurance qu’ils sont remplis de l’Esprit sans la preuve manifeste de pouvoir parler en langue ? C’est essentiel de savoir que nous sommes baptisés du Saint-Esprit si nous voulons faire face au défi de ce monde impie. Avec cette assurance, nous pouvons oser aller de l’avant et savons qu’Il est avec nous. Les disciples avaient cette assurance. Pouvons-nous faire sans ? Ils savaient que l’Esprit était avec eux et c’est pour cette raison que : « Ils s’en allèrent prêcher partout. Le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la parole par les miracles qui l’accompagnaient »(Marc 16 : 20). Le ministère du Saint-Esprit est attesté par des signes – si nous croyons. Le parler en langues ne vient pas en essayant. Vous ne pouvez pas apprendre comment parler en langues. Il n’y a pour cela aucune technique, méthode ou même ministère. L’Esprit n’est pas donné selon la volonté humaine mais c’est un acte souverain de Dieu. Ce don n’est pas un quelconque talent, pas une puissance, ni un feu, mais c’est Dieu Lui-même, l’Esprit. Il est trop merveilleux pour être traité comme un bout de plastique malléable ou utilisé avec arrogance. Néanmoins, nous pouvons nous aider les uns les autres par la prière, et en imposant les mains comme les apôtres le firent à Samarie et Paul à Ephèse. Notre attitude doit être humble et nous devons être préparés. Voilà la leçon qu’apprit Pierre dans la maison de Corneille – alors qu’il était en train de parler, le Saint-Esprit tomba sur chacun d’eux. Rappelez-vous bien : ce n’est pas seulement une puissance qui entre dans nos vies, mais le Dieu Tout-Puissant dans la personne du Saint-Esprit. Donnez-vous à Lui tout à nouveau dans la prière et attendez de Dieu qu’Il accomplisse Sa promesse. Le feu tombe aujourd’hui tout comme il est tombé sur les croyants dans Actes 2. Car c’est encore la volonté du Père aujourd’hui d’allumer et d’envoyer des langues de feu sur chaque chrétien né de nouveau.
Posted on: Sat, 07 Sep 2013 07:00:25 +0000

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