L’astrocyclon : le grand bain et le petit bain Par Jacques - TopicsExpress



          

L’astrocyclon : le grand bain et le petit bain Par Jacques Halbronn De plus en plus, nous pensons que les astrologues ont échoué au cours des 50 dernières années à diffuser dans le public un modèle prévisionnel accessible et viable. Le fait qu’une certaine astropsychologie sous forme d’une typologie zodiacale se soit répandue ne nous apparait aucunement comme une avancée intéressante. La communication astrologique a donc fait complétement fausse route. Certes, l’on doit saluer la tentative d’André Barbault en 1967, il y a plus de quarante-cinq ans, de présenter un tableau synthétique d’une sorte de cycle global des planètes mais force est de constater que ce « graphique » n’aura pas vraiment tenu la route au cours des années 80 et aura brouillé encore plus l’image de l’astrologie prévisionnelle pour des raisons que nous avons déjà examinées dans de précédents articles (cf. sur « nofim » sur teleprovidence) et qui sont dues à une formulation malheureuse des phases et à une absence de régularité de celles-ci. En comparaison, le cycle de 7 ans qui est l’expression la plus claire de l’astrocyclon apparait comme un jeu d’enfants qui a pu se jouer tout au long de l’Histoire de l’Humanité vu qu’il dépend d’une seule planéte connue depuis l’Antiquité et non d’un bouquet de planètes dont la plus récente n’est découverte que depuis 1930 et dont le statut, de surcroit, fait désormais problème astronomiquement. Pour bien faire comprendre le processus de ‘l’astrocyclon, nous prendrons l’image d’une piscine qui se remplirait et qui se viderait alternativement en une sorte de va et vient. La phase ascendante de l’astroyclon- qui amorce une période de 7 ans, correspond au moment où l’eau du bassin commence à monter. Assez vite, ceux qui se débrouillaient dans de « basses eaux » vont se trouver incommodés par la montée des eaux. Ceux qui surnageront seront les plus doués, les autres quitteront sagement la piscine au risque de se noyer. Une certaine sélection naturelle va ainsi s’opérer qui ne garde que les plus aptes à se mouvoir sans avoir pied. Les autres perdent pied. Mais au bout d’un certain temps 3 ans et demi, le niveau de l’eau va commencer à baisser et il sera de plus en plus facile de se tenir dans l’eau même si l’on est un très médiocre nageur. Dès lors, la sélection ne peut plus s’opérer. C’est la phase descendante de l’Astrocyclon. C’est un temps où les gens se disent que le temps des héros est révolu, que l’on n’a plus besoin d’eux puisque règne une certaine égalité, du fait des basses eaux- de la marée basse- et de l’absence de sélection. Il est important au regard de l’astrocyclon de déterminer si une personne est plutôt type « basses eaux » ou « eaux montantes » et ce n’est pas la date de naissance qui nous le dira mais son profil chronologique, son CV, certains étant plus à leur aise, de facto, en phase montante et d’autres en phase descendante. Il nous apparait qu’en règle générale les hommes seraient plutôt « eaux montantes » et les femmes « basses eaux » mais il faut en juger au cas par cas car bien des hommes peuvent ne pas être en pleine possession de leurs moyens, pour toutes sortes de raisons. On dira que d’une façon générale, la montée des eaux correspond à un temps éprouvant pour la très grande majorité des femmes qui vont devoir reconnaitre la « supériorité » de la gent masculine, peut-être pas dans sa globalité mais face à certains de ses représentants les plus remarquables et les plus performants qui souvent d’ailleurs auront des comptes à régler par rapport à ce qu’ils ont eu à subir en période de « basses eaux », ce qui a pu être vécu comme humiliant. Ils prennent ainsi leur vengeance sinon assouvissent un certain besoin de vengeance, autant de sentiments qui projettent vers l’avenir car comme on sait la vengeance est un plat qui se mange froid. Les adages ne manquent pas : rira bien qui rira le dernier, il ne perd rien pour attendre, tel qui rit vendredi dimanche pleurera etc. .Les exemples abondent de tels cas de figure dont les variantes, dans le temps et dans l’espace, ne suffisent pas à nous empêcher de capter les récurrences. Un Tel qu’on avait classé un peu vite comme « has been » retrouve, c’est le cas de le dire, un nouvel « ‘ascendant » et reprend du service. Mais ce genre de propos vaut dans les deux sens. En période de basses eaux, ce sont les « petits » qui prennent leur revanche sur les « grands » et ainsi de suite, indéfiniment. C’est un peu le mythe de Sisyphe. Chaque camp guette le faux pas de l’autre ; pour reprendre le dessus, cest-à-dire le pouvoir. Cela devient dramatique quand les institutions imposent leur propre calendrier, quand on élit quelqu’un en phase descendante pour 5 ans et qu’au bout de peu de temps, on arrive en phase ascendante et vice versa. C’est une source constante de conflits puisque pendant cinq ans, l’on passe inévitablement d’une phase dans une autre. Il est clair que chaque personne peut se familiariser avec l’astrocyclon et en parler avec son voisin. Tôt ou tard, cela sera une chose aussi banale que d’utiliser un mobile et d’ailleurs l’astrocyclon finira par être intégré dans le mobile. Comme les phases ne sont pas très longues, on peut penser que les gens perdront de moins en moins de temps et sauront qu’il y a un compte à rebours à respecter, au rythme d’un degré par mois environ. Comme chaque cycle de 7 ans correspond à 90°, cela signifie environ 90 mois. L’astrologie ne sera plus associée à une « date » de naissance – dont André Barbault écrivait en 1953, il y a soixante ans, qu’elle était la base sans laquelle il ne pouvait exister d’astrologie mais à des périodes. Au vrai, les gens se souviennent de périodes bien plus que de dates et vouloir réduire une période à une date, aussi marquante soit-elle, est inacceptable. D’ailleurs, dans le passé, les gens ne connaissaient pas, le plus souvent, leur date de naissance. Avec l’astrocyclon, on n’a nullement besoin de s’enquérir de la date de naissance de qui que ce soit. Tout le monde est logé à la même enseigne dans la mesure où il n’y a plus qu’un seul et unique calendrier astrologique, partagé par tous. En revanche, selon le groupe auquel on appartient, l’arrivée d’une nouvelle phase peut sonner comme un glas ou au contraire comme l’annonce de joies à venir. Que les astrologues de la vieille école se fassent une raison, il faut qu’ils se reconvertissent. Au mieux, nous leur proposons d’apprendre à maîtriser l’astrocyclon et à acquérir les qualifications (elles-mêmes sanctionnées pat un diplôme) leur permettant de décerner des certificats précisant si telle personne est « phase montante « ou « phase descendante » car ce certificat sera bientôt exigé par les entreprises et les DRH, plus encore que le groupe sanguin. Mais il est clair que le métier d’astrocyclologue peut attirer des personnes qui n’ont aucun passé ou bagage d’astrologue. Nous avons établi des tests de recrutement des stagiaires, qui exigent notamment un certain niveau d’intelligence, tant dans la qualification des données brutes que dans leur intégration au sein de graphiques. Il est clair que l’application de l’astrocyclon en ce qui concerne un enfant et sir la base d’un faible nombre de cycles de 7ans n’obéit pas aux mêmes méthodes que pour une personne d’âge mûr. On ^peut penser que l’âge de 21 ans convient pour engager une telle recherche, puisque cela correspond à une certaine masse critique d’informations. Rappelons, cependant, que le cycle de 7 ans de l’astrocyclon n’a strictement rien à voir avec les travaux de certains liés au découpage de la vie à partir de la naissance, de sept en sept ans (cf. notamment l’ouvrage de Pierre Lassalle sur ce sujet). Le cycle de 7 ans de l’astrocyclon est calé sur un, paramétré extérieur qui est le passage de Saturne sur les 4 étoiles fixes royales, soit 28 ans divisés en 4. Il correspond à une structure de temps universelle ; collective qui vaut autant pour de petites entités comme un couple, une famille que pour de grandes institutions. Tous ces niveaux vivent au même rythme, celui de l’astrocyclon, ce qui confère une unité fondamentale à l’Humanité. L’astrocyclologue, celui qui est initié à l’astrocyclon- ce qui ne prend que quelques minutes, pour en saisir l’articulation générale- est quelqu’un qui est capable d’orienter son prochain un peu comme celui qui habite dans une ville peut aider un touriste à s’y retrouver. Il lui suffit d’indiquer la bonne direction, le temps pour parvenir à tel endroit. On ne lui en demande pas plus. Cela vaut mieux qu’un long discours. On ne niera pas que l’on en reste au niveau de « généralités » mais celles-ci sont fiables et tiennent la route pendant un temps significatif. Rien à voir avec ces prévisions « précises » qui ne valent- au mieux- que pour quelques jours. Le temps de l’astrocyclon est relativement long comparé à celui de l’astrologie actuelle qui, en dépit des apparences, est « ponctuelle » car si cette astrologie utilise en principe des planètes lentes (au-delà de Saturne), elle recourt à un si grand nombre de combinatoires que le trop grand nombre de cycles tue la cyclicité. D’où la préférence d’une partie du public pour la numérologie, dont les fondements sont certes totalement aléatoires mais qui fournir un calendrier bien structuré. Avec l’astrocyclon, on a à la fois les avantages d’une base astronomique bien observable à l’œil nu et d’une série de phases régulières et de durées comparables sans qu’il faille pour autant cloisonner les phases entre elles, tout étant une question de continuum. On soulignera que la plupart des astrologues actuels ont le sentiment de ne plus disposer d’un outil prévisionnel fiable et masquent leur malaise en empruntant à d’autres sources d’information, ce qui s’assimile à un processus d’endettement, pour donner le change. JHB 02 12 13
Posted on: Mon, 02 Dec 2013 00:31:20 +0000

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