MUNICIPALES 2014 : Colette Popard (PS) répond à Alain Houpert - TopicsExpress



          

MUNICIPALES 2014 : Colette Popard (PS) répond à Alain Houpert sur le foyer Sadi Carnot Share on facebookShare on twitterShare on emailShare on printMore Sharing Services Alain Houpert, l’opportuniste de la misère POPARD LA FEMME LA PLUS GONFLEE DU PS!!! Meme les sdf preferent dormir sur les trottoirs...Elle parle sans connaitre. Comme nombre de Dijonnais, j’ai pris connaissance, avec stupéfaction et une certaine forme de honte, du communiqué de presse (lire l’article) d’Alain Houpert, sénateur de la Côte d’Or, vice-président du conseil général et maire de Salives, découvrant qu’il existe dans notre pays, à Dijon comme ailleurs, des personnes en état de grande pauvreté. Ses propos m’indignent. Etre candidat à l’investiture de l’UMP ne permet en aucun cas de jouer avec la misère et encore moins avec la condition humaine. Pourtant, le centre d’accueil Sadi Carnot, géré par l’association ADEFO, a effectivement plus que jamais besoin du soutien de l’Etat d’abord, et des collectivités locales, plus particulièrement celui du conseil général, pour accomplir ses missions. M. Houpert, membre de l’UMP, devrait savoir que depuis dix ans, François Rebsamen, sénateur-maire de Dijon, s’est battu pour obtenir, des gouvernements successifs de droite, des crédits complémentaires pour rénover le foyer Sadi Carnot. M. Houpert, vice-président du conseil général, pourtant en charge des politiques sociales dans le département, n’a voté que 48 000 euros de subvention pour la réhabilitation du foyer Sadi Carnot, alors que la ville de Dijon et l’Etat, grâce à la mobilisation d’Anne Bocquet, préfète de la région Bourgogne à l’époque, se sont engagés à hauteur d’un million d’euro, en 2011, au titre de crédits exceptionnels. M. Houpert, maire de Salives, devrait également savoir que pour permettre une telle réhabilitation, une ville, celle de Dijon, a du mettre gracieusement à disposition le terrain nécessaire à cette opération. Je crois également utile de rappeler à Monsieur Houpert que le centre Sadi Carnot relève de la responsabilité de l’État, au titre de sa compétence relative à l’hébergement d’urgence. Cependant, la ville de Dijon se mobilise fortement au quotidien pour contribuer à l’accueil des personnes et soutenir l’association gestionnaire. Les locaux sont en effet mis à disposition gratuitement. L’entretien, les dépenses d’énergie ainsi que la restauration des résidents sont eux aussi pris en charge par la ville, au travers de son centre communal d’action sociale, pour un montant annuel de l’ordre de 170 000 euros, équivalent à 25% des dépenses de fonctionnement assumées par l’État. M. Houpert, vous feriez mieux de travailler vos dossiers, que vous ne connaissez toujours pas !! Votre indignation aurait été plus utile pour défendre le centre d’accueil Sadi Carnot, en temps utile, auprès du conseil général dont vous êtes vice-président. Décidemment, Dijon n’est pas Salives. Pour prétendre administrer une ville, encore faut- il en connaître ses dossiers. Je me tiens à votre disposition pour vous les expliquer. M. Houpert, par opportunisme vous jouez avec la misère, ce n’est pas à votre honneur. Colette POPARD, Adjointe au maire de Dijon déléguée au logement Conseillère générale de la Côte d’Or Vendredi 23 août 2013 à 19:54:45 ,
Posted on: Sat, 24 Aug 2013 22:54:59 +0000

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