MessageSujet: Les multiples mérites du verset du Trône - TopicsExpress



          

MessageSujet: Les multiples mérites du verset du Trône 29/2/2008, 08:06 Les multiples mérites du verset du Trône Phonétique : Allâhu là ilâha illâ huwa al-hayyu al-qayyûmu, là tahuduhu sinatun wa là nawmun lahu mâ fi assamâwâti wa mâ fi al-ardi, man dâ al-ladï yasfa`u `indahu illà bi-idnihi ya`lamu mâ bayna `aydihim wa mà halfahum wa là yuhitûna bi-Sayin min `ilmihi `illâ bimâ sâa wasi`a kursiyyuhu as-samâwâti wa al-arda wa là yaûduhu hifzuhumâ wa huwa al-aliyyu al-azim Traduction : Allah ! Point de divinité à part Lui, le Vivant, Celui qui subsiste par lui-même al-Qayyûm. Ni somnolence ni sommeil ne Le saisissent. A lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Qui peut intercéder auprès de Lui sans Sa permission ? Il connaît leur passé et leur futur. Et, de Sa science, ils nembrassent que ce quIl veut. Son Trône «Kursi » déborde les cieux et la terre, dont la garde ne Lui coûte aucune peine. Et Il est le Très Haut, le Très Grand. AlImâm As-Suyûtî a compilé Quarante Hadîth sur les mérites du verset du Trône, nous présentons ici les 15 mérites en deux parties Inchallah. Allah nous suffit et Il est le Meilleur Garant. 1 - Premier mérite : C’est le plus grand verset du Coran. Ubay Ibn Ka’b a rapporté ceci : « Le Prophète m’a demandé : Quel est le plus grand verset du Livre d’Allah ? J’ai répondu : Allah et Son Messager le savent mieux que quiconque. Il a répété sa question plusieurs fois. J’ai répondu finalement : C’est le verset du Trône. Il m’a dit alors : Félicitations pour ta science, Ô Abul Mundhir ! Par Celui qui détient le sort de mon âme, ce verset possède une langue et deux lèvres qui sanctifient le Roi au pied du Trône. » Ce Hadîth est recensé par Ahmad Ibn Hanbal dont nous suivons ici sa propre version et par Muslim, Abû Dawûd, Ibn adh-Dharis, Al-Harawî et Al-Hakîm. 2 - Deuxième mérite : Ce verset protège des Djinn, du matin au soir, et du soir au matin, celui qui le récite. Le même ‘Ubay a rapporté également qu’il avait un gros récipient rempli de dattes qu’il surveillait de temps a autre. Constatant que la quantité de datte avait diminué, il s’est mis un soir à surveiller l’endroit. Tout d’un coup, il vit apparaître une bête ayant la taille d’un jeune adolescent. Ubay poursuit alors son récit en disant : J’ai salué et cette bête a rendu la salutation. J’ai dit : Qui es-tu ? Es-tu un Djinn ou un humain ? Elle m’a dit : Un Djinn. J’ai dit : Fais voir ta main. Elle me l’a tendue, et j’ai constaté que sa main était des poils de chien. J’ai dit : Est-ce ainsi que les Djinn sont crées ? La bête m’a dit : Les Djinns savent qu’il n’y a pas parmi eux plus terrible que moi. J’ai dit : Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce que tu as fait ? La bête répondit : On m’a rapporté que tu es un homme qui aime faire l’aumône. Aussi avons-nous voulu toucher à ta nourriture. J’ai dit : Qu’est-ce qui nous protège de vous ? La bête répondit : C’est Ayatu Al-Kursî que se trouve dans la Surate l-Baqara (La vache). Celui qui le récite le soir est protège de nous jusqu’au matin, et celui qui le récite en se réveillant le matin est protège de nous jusqu’au soir. Le lendemain, matin Ubay rapporta cet épisode au Prophète qui lui a dit ceci : «Ce Djinn dit vrai, le pervers, bien qu’il soit un menteur. » (Recensé par An-Nassâ°î, Abû Y’alâ, Ibn Hibbân, Abu l-Shaykh, Tabarânî, Al-Hakîm, Abû Nu’aym et bayhaqî) 3 -Troisième mérite : Ce verset, ainsi que la Sourate Liminaire (al-Fâtiha) et deux versets de la Sourate âli ‘Imrân (la Famille de ‘Imrân), sont accrochés au Trône divin. Tout homme qui récite ces versets reçoit une immense récompense. Al-Hassan Al-Bassarî rapporte cette tradition en la faisant remonter directement au Prophète : «L’Envoyé d’Allah a dit : « On m’a donné la Sourate Al-Fatiha (La Liminaire), le verset du Trône (Ayatu l-Kursî) et les deux versets 18 et 26 de la sourate âl ‘Imarân (La Famille de ‘Imrân). Ces versets sont agrippés au Trône divin et disent : « Seigneur ! Tu nous fais descendre sur Terre vers celui qui Te désobéit ? Allah leur dit : Je vous ai conçus en sorte que chaque fois que l’un de Mes serviteurs vous récite a la fin de chaque prière, Je lui donne le Paradis comme lieu de séjour, Je l’installe dans la Demeure Sacro-sainte, Je le regarde chaque jour soixante-dix fois avec Mon œil, Je satisfais chaque jour pour lui soixante-dix besoins dont le moindre est le pardon, Je le fais triompher de tous ses ennemis et Je le protège contre eux» Cette tradition est recensée par Ibn al-Sani et Al-Shahami. 4 - Quatrième mérite : Ce verset équivaut au quart du Coran. Anas rapporte ceci : « L’Envoyé d’Allah a dit un jour à l’un de ses compagnons : Ô Untel ! Es-tu marié ? L’homme répondit: Non, Je ne possède rien pour pouvoir me marier. Il lui dit : Tu connais par cœur la surat Al-Ikhlass (Le Culte Pur), n’est-ce pas ? L’homme répondit : Certes, oui. Il lui dit : Elle constitue le quart du Coran. Puis il lui dit : Tu connais par cœur la Sourate Al-Zalzala (Le Tremblement de terre), n’est-ce pas ? L’homme répondit : Certes, oui. Il lui dit : Elle constitue le quart du Coran. Puis il lui dit : Tu connais par cœur la surat Al-Nasr (Le Secours), n’est-ce pas ? L’homme répondit : Certes, oui. Il lui dit : Elle constitue le quart du Coran. Puis il lui dit : Tu connais par cœur Ayatu l-Kursî, n’est-ce pas ? L’homme répondit : Certes, oui. Il lui dit: Ce verset constitue le quart du Coran. Puis il lui dit : Marie-toi, marie-toi, marie-toi (trois fois) » Ce Hadîth est recensé par Ahmad Ibn Hanbal. 5 - Cinquième mérite : Ce verset a une position tout a fait particulière. En effet celui qui le récite après une prière prescrite est préservé jusquà la prière suivante. Or seul un Prophète, ou un juste (siddîq), ou un chahîd (Témoin, Martyr, Saint) est en mesure d’observer les prières avec régularité car il est préservé. Anas rapporte ceci : « L’Envoyé d’Allah a dit : Celui qui récite ayatu l-Kursî à la fin de chaque prière prescrite restera préservé jusquà la prière suivante. Or la prière n’est observée avec régularité que par un Prophète ou par un juste ou par un témoin.» Ce Hadîth est recensé par Bayhaqî dans ses Shu’ab Al-Imân. 6 - Sixième mérite : Chaque fois qu’on récite ce verset sur une nourriture ou un condiment, il croît. Aïcha rapporte ceci : « Un homme est venu auprès du Prophète se plaindre du manque de bénédiction dont souffre tous ses biens dans sa maison. Il lui dit : Où en es-tu d’ayatu Al-kursî ? Chaque fois qu’on le récite sur une nourriture ou un condiment, Allah accroît la bénédiction de cette nourriture et de ce condiment»Ce Hadîth est recensé par Abu l-Hassan Muhammad Ibn Ahmad Ibn Mas’ud dans ses Am’Ali et par Ibn al-Najjâr. 7- Septième mérite : Ce verset est plus grand que les Cieux, la Terre, le Paradis et l’Enfer. Ibn Mas’ûd rapporte ceci : Le prophète a dit : « Allah n’a rien crée, comme ciel, terre, paradis ou enfer, de plus grand que Ayatu l-Kursî. » Cette Tradition est recensée par Abû ‘Ubayd, Ibn al-Dharis et Muhammad Ibn al-Dharr. 8 - Huitième mérite : Celui qui récite ce verset en entrant chez lui chasse le démon de sa maison. Car il s’agit du Maître verset du Coran qui protège celui qui le récite dans sa personne, ses enfants, ses biens et sa maison et le prémunit contre le mal de ses voisins. C’est aussi le plus grand verset du Coran et l’un des Trésors du Tout Miséricordieux qu’aucun Prophète n’a reçu avant notre Prophète . Celui qui le récite avec les deux derniers versets de la Sourate Al-Baqara (La Vache) chasse le démon de sa maison et empêche les Djinn et les voleurs de s’en approcher. Ibn Mas’ûd rapporte ceci : « En sortant de chez lui un humain a croisé un djinn. Ce dernier lui dit : veux-tu lutter contre moi ? Si tu arrives à me battre je t’apprendrai un verset qui, si tu le récites en entrant chez toi, aucun démon n’y pénétrera ! Ils se mesurèrent et l’homme parvint à battre le Djinn. Celui-ci lui dit : Récite Ayatu l-Kursî, car aucun homme ne le récite en entrant chez lui sans que le démon n’en sorte en pétant comme un âne. » On dit à Ibn mas’ûd : Cet homme ne pouvait être que ‘Omar Ibn al-Khattâb! Cette Tradition est recensée par Abû ‘Ubayd, Al-Daraqutani, Tabarânî, Abû Nu’aym et Bayhaqî. Il est dit dans la version que rapporte Abû Hurayra : «sourate Al-baqara (La Vache) renferme le Maître verset du Coran. Chaque fois qu’on le récite dans une maison, le démon la quitte. »
Posted on: Thu, 31 Oct 2013 12:43:36 +0000

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