Nos jeunes sont les premières victimes de la répression actuelle - TopicsExpress



          

Nos jeunes sont les premières victimes de la répression actuelle du régime djiboutien : · Hafaz Mohamed Hassan : 14 ans, mort le 30 décembre 2012 sous les balles assassines des services de sécurité. Tué pour s’être opposé à l’organisation des jeux omnisports. · Sahal Ali Youssouf : 24 ans, décédé le 7 juin 2013, des suites de torture de la part des éléments de la police nationale, Ils tuent nos enfants, l’avenir de notre pays. A ce jour, aucune enquête n’a abouti et les familles des victimes attendent que justice soit rendue. « Nous pouvons pardonner mais jamais oublier » (Tiken Jah Fokoly). Les parents de la victime n’oublieront jamais. Les frères et sœurs de la victime n’oublieront jamais. Les amis de la victime n’oublieront jamais. Le quartier de la victime n’oubliera jamais. Djibouti n’oubliera jamais ses martyrs. La rue continue leur combat et réclame justice et liberté à Hayableh, Cheik Moussa, Quartier 3, 4, 6, Gachamaleh,…. Au camp américain Lemonnier, les travailleurs réclament pacifiquement leurs droits. Devant le Parlement Fédéral du Canada, ils étaient nombreux hier à braver la pluie. Au Parlement Européen, ils organiseront une conférence sur les Droits de l’Homme à Djibouti le 27 juin prochain. Sur le Parvis de Droits de l’Homme à Paris, ils seront des centaines samedi 29 juin. Peuple Djiboutien, tu es débout, avance ! Avance sans oublier ton passé! Avance pour chercher un meilleur avenir! Avance pour Hafez et Sahal! Chers lecteurs, retrouvez dans nos colonnes les images de la mobilisation, un vibrant hommage à Abdourahman Barkad God et l’appel au dialogue d’un défenseur de droits de l’Homme.
Posted on: Mon, 24 Jun 2013 14:32:28 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015