Point de vue : Une semaine après Ma-LAZA septembre 29, - TopicsExpress



          

Point de vue : Une semaine après Ma-LAZA septembre 29, 2013 Une semaine après Une semaine de propagande. Les candidats sont à pied-d’œuvre actuellement. Ceux qui ont les moyens ont sorti la grosse artillerie. Les aéronefs vont et viennent. Les voitures vont par monts et vaux. Les autres candidats, eux, préfèrent les contacts directs avec les populations. Ca aussi, c’est une autre stratégie payante, mais moins chère. Qui s’est démarqué ? Hery, Hajo, Roland, le Pr Alain, le Dr Robinson ? Les jeux ne sont pas encore faits, selon les observateurs. Tout dépendra du comportement des électeurs durant la propagande. Tout dépendra de leurs capacités d’assimilation des programmes de chaque candidat. Tout le monde semble dans de bonnes dispositions pour sortir rapidement Madagascar de la pauvreté. Pour restaurer la sécurité. Pour apporter une politique en matière d’éducation, pour rétablir l’Etat de droit, pour réconcilier les Malgaches… La Communauté internationale apporte son soutien politique, financier et logistique. Il ne faut pas oublier le soutien stratégique, car le débat se déplacera vers le jour du scrutin et vers l’acceptabilité des résultats électoraux. Oui, c’est un vrai débat. Le FFM n’a pas pu faire signer sa charte d’engagement et de paix aux candidats. Et personne n’est en mesure de garantir une situation post-électorale paisible. Tout est fonction de la qualité de l’organisation matérielle de vote. La moitié des éventuelles contestations habituelles en période électorale est éliminée avec le bulletin unique. Tous les candidats auront leur bulletin dans tous les bureaux de vote. C’est une bonne chose. L’autre débat réside dans la sécurisation de l’acheminement des résultats et dans la justesse de leurs traitements. Les candidats qui ont les moyens auront leurs propres « résultats provisoires ». Autrement dit, le rôle des observateurs sera déterminant. Et il ne faut pas que les observateurs étrangers, commme durant les précédentes élections, se pavanent dans des bureaux de vote des grandes villes. En 2006, Ravalomanana a gagné haut la main les élections présidentielles, dès le premire tour. Deux années après, il s’est fait évincer du pouvoir par la rue. Encore une fois, cette élection est une bonne chose à condition de mettre toutes les conditions requises à un niveau acceptable et accepté de la majorité. Les politiciens qui se sont écartés du processus, eux, ils n’y trouveront toujours rien de bon. matv.mg/?p=29110
Posted on: Mon, 30 Sep 2013 14:36:32 +0000

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